BillGates s’est principalement concentrĂ© sur la philanthropie Ă  travers la fondation Bill et Melinda Gates, dont la mission est d’amĂ©liorer les soins de santĂ© et de rĂ©duire l'extrĂȘme
Bill Gates offre 100 000 dollars pour l'inventeur du prĂ©servatif du futur La fondation de Bill Gates offrirait cette somme Ă  celui qui inventera le prĂ©servatif de nouvelle gĂ©nĂ©ration. C'est un projet pour le moins original que le fondateur de Microsoft vient de lancer. AprĂšs avoir dĂ©jĂ  dĂ©pensĂ© 25 milliards de dollars pour combattre la pauvretĂ© et les maladies, rĂ©inventer le prĂ©servatif sera assorti d'une rĂ©compense de dollars, pouvant ĂȘtre complĂ©tĂ©e par la suite Ă  hauteur de 1 million de dollars. Ce concours est ouvert Ă  tout le monde Ă©tudiants, professeurs, scientifiques, ingĂ©nieurs. Peu d'amĂ©lioration technologiques La fondation Bill Gates a fait le constat de l'efficacitĂ© du prĂ©servatif en tant que contraceptif et que moyen de lutte contre le Sida. Mais elle note aussi que s'il est utilisĂ© depuis 400 ans, "il n'a bĂ©nĂ©ficiĂ© que de trĂšs petites amĂ©liorations technologiques au cours des 50 derniĂšres annĂ©es. Le progrĂšs principal ayant Ă©tĂ© le recours au latex comme matiĂšre de base et l'instauration d'un contrĂŽle qualitĂ©". "Accroitre le plaisir" L'appel Ă  projet spĂ©cifie Ă©galement que selon certains les sensations ne seraient pas les mĂȘmes selon qu'on utilise ou non un prĂ©servatif. "La prochaine gĂ©nĂ©ration de prĂ©servatif devrait donc viser Ă  accroĂźtre le plaisir", prĂ©cise la Fondation, pour encourager les hommes Ă  l'utiliser. Un objectif purement prophylactique bien Ă©videmment. PrĂ©servatif fĂ©minin Le prĂ©servatif fĂ©minin quant Ă  lui nĂ©cessite de l'expertise pour ĂȘtre correctement placĂ© et est sensiblement plus cher que son Ă©quivalent masculin. Aussi, la Fondation Bill et Melinda Gates encourage Ă©galement les chercheurs Ă  se pencher sur ses Ă©volutions futures. La Fondation prĂ©cise que toute suggestion visant Ă  amĂ©liorer les condoms devra se baser sur une hypothĂšse vĂ©rifiable et inclure des tests interprĂ©tables dans une base de donnĂ©es fiable.
Cest dans ce cadre que l'on a pu voir Bill Gates arborer le badge coloré symbolisant les 17 objectifs et que l'on retrouve à la vente sur un site des Nations Unies. En 2018, parmi les chefs d'Etat qui avaient répondu à l'invitation de la Fondation Gates, on retrouve notamment un certain Emmanuel Macron. Son intervention, en anglais, est toujours
La suite de la sĂ©rie sur Bill Gates et sa fondation. Le moins que l'on puisse dire, c'est que le bonhomme est rusĂ©. Vous allez ainsi comprendre comment il a pu prendre le contrĂŽle de l'OMS, et a infiltrĂ© bien des domaines. Du reste, c'est marrant, depuis qu'on fait ce dossier sur Bill Gates, on se mange attaque sur attaque, Chine, France, Italie, États-Unis etc. Et ils changent Ă  chaque fois d'adresse ip, donc ils ont des moyens.... Plusieurs sociĂ©tĂ©s comme CDN77 ou SCALAIR sont derriĂšre ces tentatives d'attaques j'ai les logs pas la peine de nier. Du reste, comme on est sous attaque j'ai dĂ» hisser le pont-levis, dĂ©solĂ© si certains n'ont pas accĂšs au site. Par Derrick Broze, The Last American Vagabond Cette piĂšce poursuivra notre examen de Bill Gates et de la Fondation Bill et Melinda Gates. Veuillez vous reporter Ă  la premiĂšre partie avant la lecture. Dans la deuxiĂšme partie, nous nous concentrerons sur le rĂŽle que la Fondation a jouĂ© dans la rĂ©ponse au COVID-19, ainsi que sur l'influence que l'organisation a sur les institutions de santĂ© mondiales. Avant de nous plonger dans la crise actuelle du COVID-19, il est nĂ©cessaire d'en savoir un peu plus sur la Fondation Gates. Dans le dernier article, nous avons abordĂ© l'historique des investissements de la Fondation Gates. Ce qu'il est important de noter, c'est qu'en utilisant la Fondation comme organisation de façade, Gates peut faire des dons et influencer les hĂŽpitaux, les universitĂ©s, les mĂ©dias, les gouvernements et les organisations de santĂ©. La Fondation a clairement la capacitĂ© de façonner les dĂ©cisions prises par certaines des institutions qu'elle finance, y compris lorsque ces dĂ©cisions vont Ă  l'encontre des dĂ©sirs des masses qu'elle prĂ©tend aider. Par exemple, en 2017, Independent Science News a publiĂ© un rapport dĂ©taillant comment la Fondation Bill et Melinda Gates a payĂ© la sociĂ©tĂ© de relations publiques Emerging Ag 1,6 million de dollars pour "recruter une coalition secrĂšte d'universitaires pour manipuler un processus de dĂ©cision des Nations unies sur les campagnes de recherche sur les gĂšnes". Les courriels publiĂ©s par la Freedom of Information Act Request rĂ©vĂšlent que l'effort de recrutement de la fondation Gates faisait partie d'un plan pour "lutter contre les partisans du moratoire sur la recherche gĂ©nĂ©tique". Les lecteurs de gĂšnes sont une technologie d'extinction gĂ©nĂ©tique controversĂ©e, promue comme un moyen d'Ă©liminer les moustiques atteints de malaria, les parasites agricoles et les espĂšces envahissantes. Lors de la Convention des Nations unies sur la diversitĂ© biologique de 2016, 179 organisations internationales ont appelĂ© Ă  un moratoire des Nations unies sur les campagnes de collecte de gĂšnes. Les opposants Ă  cette technologie ont Ă©galement fait circuler une lettre intitulĂ©e "Un appel Ă  la conservation avec une conscience" No Place for Gene Drives in Conservation", signĂ©e par 30 leaders environnementaux qui ont demandĂ© "l'arrĂȘt de toutes les propositions d'utilisation des technologies de transmission gĂ©nĂ©tique, mais surtout de conservation". La Fondation Gates est fortement investie dans les technologies de manipulation gĂ©nĂ©tique et n'a pas Ă©tĂ© heureuse de voir une opposition diverse et unifiĂ©e contre la manipulation gĂ©nĂ©tique. La Fondation a engagĂ© Emerging Ag - qui a son propre rĂ©seau de relations avec les Big Pharma et Big Ag - pour faire taire les opposants Ă  la manipulation gĂ©nĂ©tique. Emerging Ag a rĂ©ussi et le moratoire a Ă©tĂ© abattu. Par coĂŻncidence, en 2016, l'AcadĂ©mie nationale des sciences des États-Unis a publiĂ© un rapport sur la conduite gĂ©nĂ©tique, cofinancĂ© par l'Agence des projets de recherche avancĂ©e de la dĂ©fense DARPA et la Fondation Bill et Melinda Gates. La DARPA est Ă©galement investie dans la recherche sur la conduite gĂ©nĂ©tique. Comme l'a notĂ© The Guardian aprĂšs la publication du rapport de la NAS La mĂȘme agence de recherche de la dĂ©fense des États-Unis DARPA qui a financĂ© l'Ă©tude sur la NAS a fait savoir qu'elle s'investissait entiĂšrement dans la recherche sur la transmission gĂ©nĂ©tique et le dĂ©veloppement d'organismes synthĂ©tiques "robustes". Il y a de bonnes raisons d'ĂȘtre inquiet. De plus, Jim Thomas du groupe ETC, qui surveille l'impact des technologies Ă©mergentes et des stratĂ©gies des entreprises sur la biodiversitĂ©, l'agriculture et les droits de l'homme, a dĂ©clarĂ© Ă  l'ISN qu'il pense que les moteurs gĂ©nĂ©tiques sont des armes biologiques potentielles qui pourraient avoir un impact "dĂ©sastreux" sur la vie humaine et la sĂ©curitĂ© alimentaire. "Le fait que le dĂ©veloppement de la thĂ©rapie gĂ©nique soit maintenant principalement financĂ© et structurĂ© par l'armĂ©e amĂ©ricaine soulĂšve des questions alarmantes sur tout ce domaine", a-t-il dĂ©clarĂ©. Independent Science News a Ă©galement notĂ© Ce n'est pas non plus la premiĂšre fois que la Fondation Gates utilise des universitaires pour influencer l'opinion publique et privĂ©e sur les technologies du gĂ©nie gĂ©nĂ©tique, comme en tĂ©moigne son financement de la Cornell Alliance for Science. Les courriels privĂ©s obtenus par Independent Science News viennent s'ajouter aux montagnes de preuves dĂ©taillant la maniĂšre dont M. Gates est capable de faire pression sur les organisations pour qu'elles dĂ©fendent ses intĂ©rĂȘts et ceux de sa Fondation. La mafia mondiale de la santĂ© Compte tenu de ces rapports alarmants sur l'influence de M. Gates sur la politique de santĂ© publique, il est important de prendre un moment pour examiner la rĂ©ponse actuelle au COVID-19. Lorsque nous examinons les acteurs et les institutions impliquĂ©s, voyons-nous l'influence et l'argent de Gates ? Si oui, qu'est-ce que cela signifie pour la santĂ© publique ? L'influence et les finances Ă©normes de M. Gates lui permettront-elles de diriger personnellement le cours de la reprise post COVID-19 ? Commençons par examiner le Dr Anthony S. Fauci, directeur de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses NIAID, qui fait partie des National Institutes of Health, et qui est un leader dans la lutte contre le coronavirus. Malheureusement, lorsqu'il s'agit de Fauci et du NIAID, nous voyons clairement l'influence de Bill Gates. En 2010, le NIAID et la Fondation Bill et Melinda Gates ont annoncĂ© leur "DĂ©cennie de collaboration pour les vaccins", appelant Ă  la coordination de la "communautĂ© internationale des vaccins" et Ă  la crĂ©ation d'un "Plan d'action mondial pour les vaccins". Le Dr Fauci a Ă©tĂ© nommĂ© au Conseil de direction du partenariat. De mĂȘme, Bill Gates est partenaire du NIH depuis plusieurs annĂ©es. Fin avril, on a appris que le NIAID de Fauci avait fait don d'un total de 7,4 millions de dollars Ă  la recherche sur les coronavirus des chauves-souris. Ces investissements ont renforcĂ© la thĂ©orie selon laquelle le COVID-19 pourrait ĂȘtre un virus issu de la bio-ingĂ©nierie, libĂ©rĂ© volontairement ou accidentellement par l'Institut de virologie de Wuhan, en Chine. La nouvelle de ce financement soulĂšve une question Ă©vidente l'argent de M. Gates a-t-il influencĂ© ou financĂ© la recherche sur les coronavirus du NIAID ? L'avenir nous le dira. Le Dr Deborah Birx, mĂ©decin et diplomate amĂ©ricaine, est un autre acteur important ayant des liens avec M. Gates. Elle est le coordinateur amĂ©ricain de la lutte contre le sida pour les prĂ©sidents Barack Obama et Donald Trump depuis 2014. Elle est actuellement coordinatrice de la rĂ©ponse au coronavirus pour le groupe de travail de l'administration Trump Ă  la Maison Blanche. Birx siĂšge Ă©galement au conseil d'administration du Fonds mondial, une organisation Ă  laquelle la Fondation Bill et Melinda Gates a promis un investissement de 750 millions de dollars en 2012. Le Fonds mondial compte Ă©galement parmi ses membres Kieran Daly, directeur adjoint de la politique mondiale et du plaidoyer de la Fondation Gates. "La Fondation Bill & Melinda Gates est un partenaire clĂ© du Fonds mondial, qui fournit des contributions en espĂšces, participe activement Ă  son conseil d'administration et Ă  ses comitĂ©s, et soutient les efforts de plaidoyer, de communication et de collecte de fonds du Fonds mondial", dĂ©clare le Fonds mondial. L'universitĂ© Johns Hopkins a Ă©tĂ© un membre tout aussi important de la rĂ©ponse mondiale au COVID-19. Les calculs de l'universitĂ© concernant les taux d'infection et de mortalitĂ© dans le monde sont souvent citĂ©s dans les mĂ©dias grand public. Pourtant, une fois de plus, nous constatons que la Fondation Bill et Melinda Gates investit dans l'universitĂ© Johns Hopkins depuis deux dĂ©cennies. Enfin, il a Ă©tĂ© rĂ©cemment rapportĂ© que l'organisation connue sous le nom de Wellcome Trust s'est associĂ©e Ă  la Fondation Bill et Melinda Gates et Ă  MasterCard pour "catalyser le travail initial" de l'accĂ©lĂ©rateur thĂ©rapeutique du COVID-19. L'accĂ©lĂ©rateur est censĂ© accĂ©lĂ©rer et Ă©valuer "des mĂ©dicaments et des produits biologiques nouveaux et reconvertis pour traiter les patients atteints de COVID-19 dans l'immĂ©diat". Ce qui n'a pas Ă©tĂ© mentionnĂ©, c'est que la Fondation Gates a Ă©tĂ© un "Trustee" du Wellcome Trust pendant plusieurs annĂ©es. Il est intĂ©ressant de noter qu'en 2017, Mark Henderson, directeur de la communication du Wellcome Trust, a participĂ© Ă  un panel appelĂ© "Deep Dive" PrĂ©vention des pandĂ©mies". Le Dr Anthony Fauci a Ă©galement participĂ© Ă  cette table ronde. On pourrait considĂ©rer que l'implication de Fauci et du Wellcome Trust dans un panel sur les pandĂ©mies est parfaitement raisonnable - aprĂšs tout, ce sont des professionnels qui se concentrent sur la santĂ© mondiale. Cependant, ignorer que les empreintes digitales de Bill Gates sont partout dans l'industrie de la santĂ© mondiale serait une erreur. Au vu des antĂ©cĂ©dents de la Fondation Gates en matiĂšre d'embauche de sociĂ©tĂ©s de relations publiques pour faire taire les dĂ©tracteurs ou d'utilisation de leur argent pour influencer les institutions, on pourrait ĂȘtre pardonnĂ© de supposer que la fondation ne figurerait pas en tĂȘte de liste des leaders potentiels pour une crise de santĂ© publique. Malheureusement, en mai 2020, Bill Gates et sa Fondation sont toujours prĂ©sentĂ©s comme des hĂ©ros dans la lutte contre le coronavirus. Qui dirige l'OMS ? Depuis l'apparition du COVID-19, Bill Gates et l'Organisation mondiale de la santĂ© sont au centre de l'attention du monde entier, qui se tourne vers eux pour trouver des rĂ©ponses. Il est dĂ©sormais de notoriĂ©tĂ© publique que la Fondation Bill et Melinda Gates est le premier donateur non Ă©tatique de l'OMS. Les États-Unis ont Ă©tĂ© le premier donateur Ă©tatique, mais cela pourrait changer sous l'administration Trump. Mr Gates a Ă©galement Ă©tĂ© la premiĂšre personne non Ă©tatique Ă  prononcer un discours liminaire devant l'assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale de l'OMS. Selon un rapport de Politico, l'opinion et l'argent de Bill Gates a tellement d'influence sur l'OMS que les fonctionnaires l'appellent en privĂ© "le Bill Chill". Seize fonctionnaires s'exprimant sous le couvert de l'anonymat ont dĂ©clarĂ© Ă  Politico que Gates a une influence dĂ©mesurĂ©e sur la politique de l'OMS et que peu d'entre eux osent le contester. "Il est traitĂ© comme un chef d'État, non seulement Ă  l'OMS, mais aussi au G20", a dĂ©clarĂ© un reprĂ©sentant d'une ONG basĂ©e Ă  GenĂšve. Les accusations relatives Ă  l'influence de M. Gates ont Ă©tĂ© appuyĂ©es par les Affaires Ă©trangĂšres, qui ont indiquĂ© que "peu d'initiatives politiques ou de normes Ă©tablies par l'Organisation mondiale de la santĂ© sont annoncĂ©es avant d'avoir Ă©tĂ© officieusement examinĂ©es par le personnel de la Fondation Gates". Le directeur gĂ©nĂ©ral actuel de l'OMS est Tedros Adhanom, ancien ministre de la santĂ© d'Éthiopie et mĂ©decin. Pendant son mandat de ministre de la SantĂ© de l'Éthiopie, Tedros a collaborĂ© avec la Fondation Clinton et la Fondation Bill et Melinda Gates pour travailler sur les vaccins, entre autres mesures sanitaires. Politico a rapportĂ© qu'avant que Tedros ne soit sĂ©lectionnĂ© pour le poste de l'OMS en 2017, Gates a Ă©tĂ© accusĂ© de soutenir Tedros et d'utiliser son influence pour aider Ă  remporter la nomination. Si la plupart des dĂ©lĂ©guĂ©s des pays membres ont exprimĂ© leur conviction que M. Gates est bien intentionnĂ©, certains craignent que l'argent de la Fondation Gates ne provienne de "grandes entreprises" et ne serve de "cheval de Troie aux intĂ©rĂȘts des entreprises pour saper le rĂŽle de l'OMS dans l'Ă©tablissement de normes et la conception des politiques de santĂ©". Le plus important est que les cotisations versĂ©es par les pays membres de l'OMS reprĂ©sentent moins d'un quart du budget biennal de 4,5 milliards de dollars - laissant Ă  la Fondation Gates, aux gouvernements et aux autres fondations le soin de combler le vide. Ces dons sont affectĂ©s Ă  des projets spĂ©cifiques et l'OMS ne peut pas dĂ©cider de leur utilisation. Dans le cas de la Fondation Bill et Melinda Gates, ces fonds sont gĂ©nĂ©ralement consacrĂ©s Ă  des programmes de vaccination. Quelle que soit la maniĂšre dont vous abordez les solutions prĂ©sentĂ©es comme la rĂ©ponse Ă  la pandĂ©mie du COVID-19, vous trouverez les empreintes de Bill Gates. À maintes reprises, il a utilisĂ© son argent et son influence pour faire du profit et gagner rĂ©guliĂšrement du pouvoir sans jamais ĂȘtre Ă©lu Ă  un poste politique. Dans la troisiĂšme partie de cette enquĂȘte, nous examinerons les stratĂ©gies que Bill Gates a prĂ©conisĂ©es en rĂ©ponse Ă  la pandĂ©mie de COVID-19. Nous verrons Ă©galement comment Bill Gates et la famille Rockefeller ont tous deux prĂ©dit une situation comme celle Ă  laquelle nous assistons actuellement. Enfin, nous montrerons en quoi cette crise reprĂ©sente l'occasion idĂ©ale pour M. Gates et ses cohortes de rĂ©colter des bĂ©nĂ©fices massifs et de se positionner Ă  la tĂȘte d'un État technocratique Ă©mergent. 3eme Partie Source The Last American Vagabond Visitez le site Abonnez-vous Ă  l'actualitĂ© indĂ©pendante de TLAV diffusĂ©e sur YouTube ou iTunes. Suivez l'actualitĂ© sur Facebook, Twitter et Minds. Support chez Patreon ou PayPal. Derrick Broze, rĂ©dacteur de l'Ă©quipe de The Last American Vagabond, est journaliste, auteur, orateur et militant. Il est le co-animateur de Free Thinker Radio sur Houston, ainsi que le fondateur de The Conscious Resistance Network & The Houston Free Thinkers. C’est l’information d’aujourd’hui, c’est le monde dans lequel nous vivons, et c'est un article exclusif de Notre petit site web ne vous impose aucune publicitĂ©, nous ne revendons pas vos donnĂ©es, bref nous ne gagnons pas d’argent avec, par contre il propose des services et des infrastructures que nous vous offrons gratuitement. Cela coĂ»te de l’argent, aussi sachez que si vous le dĂ©sirez, vous pouvez nous soutenir financiĂšrement Ă  partir de 1€ mensuellement via Tipeee ou occasionnellement via Paypal. Merci par avance ; Informations complĂ©mentaires

Ainsi en Juin 2014, au 40cmc anniversaire de la BID Ă  Djeddah, Bill Gates, co-prĂ©sident de la fondation Bill & Melinda Gates (Fondation Gates) et le Dr Ahmad Mohammed Ali, PrĂ©sident du Groupe de la BID ont annoncĂ© qu’ils travail­lent Ă  mettre en place un fonds novateur pour combattre la pauvretĂ© dans les pays musulmans. Ce

PrioritĂ© santĂ© vous propose ce vendredi 4 avril une interview de Bill Gates. L'homme le plus riche du monde, cofondateur de Microsoft, a lancĂ© il y a plusieurs annĂ©es une fondation pour amĂ©liorer la santĂ© dans les pays en dĂ©veloppement, la Fondation Bill-et-Melinda-Gates. Bill Gates Ă©tait Ă  Paris mercredi 2 avril Ă  l’Institut Pasteur, pour une rencontre des membres du partenariat S’unir pour combattre les maladies tropicales nĂ©gligĂ©es ». L’objectif Ă©tant de faire le point sur les avancĂ©es dans ce domaine. ConstituĂ© Ă  Londres le 30 janvier 2012, le partenariat rassemble notamment 13 laboratoires pharmaceutiques, la Banque mondiale, les structures d’aide au dĂ©veloppement des gouvernements amĂ©ricain et britannique, et la Fondation Bill et Melinda Deux ans aprĂšs la dĂ©claration de Londres oĂč en est-on dans la lutte contre les maladies tropicales nĂ©gligĂ©es* ?Bill Gates Il y a deux ans, un certain nombre de partenaires se sont rĂ©unis et ont dĂ©cidĂ© d'investir davantage de moyens et d'innovation dans le traitement de ces dix maladies. L'annonce par les entreprises pharmaceutiques qu'elles feraient don en grande quantitĂ© des mĂ©dicaments les plus utilisĂ©s a Ă©galement marquĂ© les esprits. Le programme de distribution massive de mĂ©dicaments - qui consiste Ă  aller distribuer les mĂ©dicaments directement aux populations - concerne 5 de ces 10 maladies. GrĂące Ă  ces donations, aujourd'hui, tous nos donateurs peuvent voir qu'ils doivent maintenant financer des programmes de livraison de mĂ©dicaments. Et en fait, nous avons gagnĂ© en efficacitĂ© sur ce point dans notre travail avec les pays africains, avec qui on Ă©labore un mapping pour savoir quelles sont les diffĂ©rentes maladies qui les touchent. Et du coup, au lieu d'agir ponctuellement contre l'onchocercose ou la schistosomiase, on peut prĂ©parer les mĂ©dicaments pour n'importe laquelle de ces cinq maladies, en fonction de celles qui touchent rĂ©ellement les avez besoin de nouveaux partenaires pour ce projet. Vous avez rencontrĂ© François Hollande hier. Va-t-il donner plus d'argent pour la lutte contre les maladies tropicales nĂ©gligĂ©es ?La France a beaucoup donnĂ© au fil des annĂ©es, Ă  l'Ă©chelle europĂ©enne. Elle supporte l’Initiative pour des mĂ©dicaments pour les maladies nĂ©gligĂ©es DNDi et l'Institut Pasteur, qui travaille beaucoup sur ces questions. Elle a mĂȘme annoncĂ© un petit don supplĂ©mentaire au DNDi. C'Ă©tait gentil de la part des Français de le faire au moment oĂč on organise cet Ă©vĂ©nement, pour montrer leur solidaritĂ© et leur implication dans ce comme vous l'avez dit vous mĂȘme, c'est une petite somme. N'attendiez-vous pas un montant plus consĂ©quent de la part de la France ?La plupart de nos prĂ©visions budgĂ©taires sont calculĂ©es selon des cycles pluriannuels, donc Ă  l'heure de faire un bilan des progrĂšs, on n'a pas dit aux gens Hey ! On va faire le point sur les comptes ! ». Il s'agit plutĂŽt de faire un point sur la situation dans son ensemble. Nous avons obtenu une contribution de la Banque mondiale de 120 millions de dollars pour l'Afrique de l'Ouest, nous avons d’autres donateurs qui apportent 50 millions de dollars pour la lutte contre les vers parasites et nos donateurs privĂ©s nous versent un total de 125 millions. Et ce que nous montrons, c’est que l’impact par dollar investi est trĂšs clair nous rĂ©coltons plus d'argent, et mĂȘme si cela ne suffit pas Ă  financer la distribution massive de mĂ©dicaments pour ces cinq maladies partout oĂč on le voudrait, nous approchons du but grĂące Ă  la gratuitĂ© des mĂ©dicaments et Ă  un systĂšme de livraison plus sont les prochains objectifs sur le terrain des maladies tropicales nĂ©gligĂ©es ? D’ailleurs, doit-on toujours les qualifier de nĂ©gligĂ©es » ?Il faudra compter encore 4 Ă  6 ans et faire encore de gros progrĂšs avant de pouvoir dire que ces maladies ne sont plus nĂ©gligĂ©es ».Le ver de GuinĂ©e Ă©tait en voie d'Ă©radication, mais les Ă©vĂ©nements au Mali et au Soudan du Sud ont ralenti le processus il y a eu 148 cas l'annĂ©e derniĂšre. En ce qui concerne la maladie du sommeil, les chiffres ont beaucoup baissĂ©. C'est un exemple formidable d'innovation parce qu’aujourd'hui on a un test de dĂ©pistage qui se fait par un simple frottis sanguin, alors qu'avant il fallait faire des tests par centrifugation, puis une ponction lombaire, tout ça nĂ©cessitait une Ă©quipe mĂ©dicale et Ă©normĂ©ment de matĂ©riel. Aujourd'hui, le diagnostic est simple, nous avons mĂȘme un mĂ©dicament en phase d’essai, ça s'annonce plutĂŽt bien, et on peut espĂ©rer une homologation d'ici un an et demi. Il s'appelle le Fexinidazole, c'est un traitement par voie orale qui Ă©vitera aux patients atteints de quitter leur village pour aller se faire faire des piqures. Il suffira de leur fournir directement une boĂźte de mĂ©dicaments avec 10 comprimĂ©s. Cela nous permettra d’agir mĂȘme en RĂ©publique dĂ©mocratique du Congo RDC, trĂšs touchĂ©e par ces maladies, et oĂč l'acheminement des personnels soignants et du matĂ©riel est Ă©videmment trĂšs difficile. Ce projet, qui s'appelait programme de contrĂŽle » a Ă©tĂ© rebaptisĂ© programme d'Ă©limination ». VoilĂ  la nouveautĂ© de ces derniĂšres la plupart de ces maladies, notre objectif est de faire baisser les statistiques, par exemple en ce qui concerne l'helminthiase transmise par le sol. Les consĂ©quences sont trĂšs graves sur le dĂ©veloppement physique et mental des enfants. Le seul fait de pouvoir organiser une distribution massive et efficace des mĂ©dicaments ne nous a pas permis d'Ă©liminer la maladie, mais on a constatĂ© une nette diminution des groupes pharmaceutiques ont fait des dons pour de nombreux traitements, mais les dons ne sont pas une pratique durable. Ne devrait-on pas plutĂŽt pousser les entreprises Ă  vendre leurs mĂ©dicaments moins chers ?Ces donations se font sur le trĂšs long terme et en trĂšs grosses quantitĂ©s, et je peux vous assurer que ces entreprises amortissent leurs coĂ»ts. Par exemple, pour beaucoup de ces mĂ©dicaments, le coĂ»t de production par comprimĂ© a Ă©tĂ© rĂ©duit au maximum. Mais certains mĂ©dicaments sont chers Ă  produire, certains vaccins sont aussi trĂšs chers Ă  Ă©laborer. Par chance, les traitements dont nous parlons aujourd'hui l'Ivermectine, la MĂ©bendazole, le Praziquantel, l'Azithromycine ont des coĂ»ts de production trĂšs bas, et comme je vous le disais ces grandes entreprises pharmaceutiques arrivent Ă  amortir ces coĂ»ts. Parfois, les donateurs doivent financer directement la production de mĂ©dicaments, quand on travaille avec une petite entreprise, qui n'en a pas les moyens. Mais oui, c'est un programme qui s'inscrit dans la durĂ©e, nous n'allons pas supprimer des choses en cours de route. Ces entreprises doivent vraiment ĂȘtre reconnues pour ce qu'elles font, et j'admire vraiment leur travail. Beaucoup de gens ont la dent dure contre les groupes pharmaceutiques, mais pour moi, ils sont notre plus grand espoir, notamment Ă  travers ce genre d' Fondation Gates soutient le dĂ©veloppement de nouveaux traitements contre les maladies tropicales nĂ©gligĂ©es, par exemple via l’Initiative pour des mĂ©dicaments pour les maladies nĂ©gligĂ©es DNDi, dont vous avez parlĂ© prĂ©cĂ©demment. Ces nouveaux traitements ne sont pas protĂ©gĂ©s par des brevets. Faudrait-il aller dans ce sens ? J'en suis plutĂŽt Ă©tonnĂ©e, vu que vous avez justement construit votre fortune grĂące aux brevets. Auriez-vous changĂ© d'avis sur les brevets ?Les brevets sont trĂšs importants. DĂ©velopper des mĂ©dicaments coĂ»te trĂšs cher. Et pour la plupart des maladies, il existe un marchĂ© pour ces mĂ©dicaments. On peut donc adapter les prix en fonction du marchĂ© fixer des prix plus Ă©levĂ©s dans les pays riches, des prix moyens dans les pays Ă©mergents et vendre au prix de fabrication dans les pays les plus pauvres. Et ça marche ! Les plus pauvres les achĂštent Ă  un prix modique. On peut Ă©galement souvent obtenir des fonds de la part des gouvernements qui permettent la gratuitĂ© des traitements, tout en arrivant quand mĂȘme Ă  financer la recherche. L'avenir de la santĂ©, c'est quand les grands groupes pharmaceutiques pourront fournir de nouveaux traitements contre la tuberculose, de nouveaux vaccins contre le VIH et nous avons intĂ©rĂȘt Ă  ce qu'ils soient florissants et qu'ils puissent dĂ©penser tous ces y aussi des maladies qui ne touchent que les pays pauvres. Dans ce cas-lĂ , la tarification Ă©chelonnĂ©e n'est pas possible, et c'est lĂ  que les donateurs gouvernementaux et notre fondation interviennent. Par exemple, pour le traitement microfilaricide - qui tue le ver adulte dans des maladies comme l'onchocercose ou l'Ă©lĂ©phantiasis. LĂ , nous travaillons avec les groupes pharmaceutiques et nos donations leur permettent d'avancer sur ce terrain. Donc la majoritĂ© des mĂ©dicaments doivent ĂȘtre brevetĂ©s, ce qui permet de financer la recherche, c'est quand on travaille avec les pays pauvres, on dĂ©pend entiĂšrement des dons, et on ne cherche pas Ă  protĂ©ger quoi que ce semble que jusqu'Ă  prĂ©sent la fondation Gates soit plus prĂ©sente dans les pays d'Afrique anglophone. Quels sont vos projets vis-Ă -vis des pays d'Afrique francophone ?La Fondation Gates s'intĂ©resse plus aux maladies qu'Ă  des pays prĂ©cis. Par exemple, nous investissons des sommes colossales pour la lutte contre le paludisme. Malheureusement, le paludisme n'a pas de barriĂšres linguistiques, il est partout en Afrique subsaharienne, comme le VIH, la tuberculose, la diarrhĂ©e et la pneumonie. Nous finançons des vaccins pour faire baisser les taux de mortalitĂ© infantile. Dans beaucoup de ces pays, Ă  l'heure actuelle, prĂšs de 20% des enfants meurent avant l'Ăąge de 5 ans. Donc si nous pouvons apporter de nouveaux vaccins Ă  tous ces pays, qu'ils soient francophones, lusophones - sans faire d'exception, que ce soit pour la Somalie ou la RĂ©publique centrafricaine, nous visons TOUS les pays -, nous pourrions ramener le taux de mortalitĂ© infantile de 20% Ă  moins de 2%. Cela prendra plusieurs dizaines d'annĂ©es et cela demandera aux pays d'Ă©laborer leur propre systĂšme de santĂ© l'impression que la santĂ© avance plus vite dans les pays d’Afrique anglophone que dans les pays d'Afrique francophone. Est-ce plus compliquĂ© pour vous de travailler dans les pays francophones ? Je pense en particulier aux pays d'Afrique centrale, et notamment la RDC, dont vous parliez il y a quelques instants. Beaucoup de pays sans accĂšs Ă  la mer sont instables et n'ont pas d'infrastructures, donc ça n'a rien Ă  voir avec la langue qu'on y parle. Il y a aussi des contradictions le nord du Nigeria n'est pas considĂ©rĂ© comme trĂšs pauvre » selon les standards africains, et pourtant les statistiques de santĂ© y sont trĂšs, trĂšs, mauvaises. Nous avons Ă©radiquĂ© la polio partout en Afrique, sauf au Nigeria, et c'est de lĂ  que viennent toujours les nouveaux cas. Il y a eu nouvelle une Ă©pidĂ©mie en Somalie et une autre au Cameroun, et Ă  chaque fois cela venait du nord du NigĂ©ria. On y parle anglais et ce n'est pas une zone trĂšs pauvre, donc si on pouvait les aider Ă  crĂ©er et Ă  faire fonctionner leur systĂšme de santĂ© primaire, on sauverait des millions de vies, et on pourrait aussi Ă©radiquer la polio. C'est vrai que quand on voit les statistiques de santĂ© au Niger, au Tchad les chiffres sont vraiment catastrophiques? tout le monde voudrait voir de meilleurs rĂ©sultats, mais je ne crois pas que cela ait quoi que ce soit Ă  voir avec la langue française. Évidemment, la France pourrait donner davantage, et j'espĂšre qu'elle va augmenter ses dons, parce qu'on a besoin d'Ă©lĂšves modĂšles pour montrer l' rĂ©alitĂ© je ne parlais pas de la langue, mais plutĂŽt de l'aide. Il semble que les aides aux pays d'Afrique anglophone soient plus importantes que celles que reçoivent les pays francophones. L'aide bilatĂ©rale de la France est trĂšs France, l'aide publique au dĂ©veloppement est de 0,4 ou 0,5%, c'est plus que dans certains pays, c'est moins que dans d'autres. Si nous ne traversions pas une crise financiĂšre, l’objectif d’atteindre les 0,7% aurait dĂ» ĂȘtre concrĂ©tisĂ© aujourd’hui. Le Royaume-Uni a atteint 0,7%, et c'est assez incroyable. En parlant avec le prĂ©sident, j'ai Ă©tĂ© agrĂ©ablement surpris d'apprendre que cette aide va ĂȘtre maintenue, malgrĂ© les restrictions de budgets actuelles, c'est une belle victoire pour nous et nous espĂ©rons que l'Ă©conomie va bientĂŽt se redresser pour pouvoir demander une augmentation de ces on regarde le total des dons aux pays francophones, on s'aperçoit qu'ils sont Ă  peu prĂšs Ă©quivalents Ă  ceux faits dans les autres pays. Quand il y a des crises, ça entraĂźne parfois une augmentation des aides le Soudan du Sud en a reçu Ă©normĂ©ment. Parfois les gens sont si impressionnĂ©s qu'ils ne savent pas comment aider ni comment faire une contribution trĂšs nombreux donateurs non francophones envoient de l'aide Ă  ces pays. A chaque fois que les gens ont la possibilitĂ© d'aider, dans une optique purement humanitaire, ils vont le faire sans chercher Ă  savoir quel pays a colonisĂ© l'autre !Le budget annuel de la Fondation Gates, dites-moi si je me trompe, est quasiment celui de l'Organisation mondiale pour la santĂ©. OMS. Cela veut-il dire qu'en fait aujourd’hui, c'est vous qui dĂ©cidez de la santĂ© dans le monde ?Ce que nous faisons n'a rien Ă  voir avec ce que fait l'OMS. L'OMS est prĂ©sente dans tous ces pays et aide au dĂ©veloppement des systĂšmes de santĂ©. Nous, nous ne sommes pas lĂ -dessus. Nous dĂ©pendons de l'OMS, et c'est un partenaire formidable qui nous aide dans beaucoup de domaines. Nous finançons le dĂ©veloppement de mĂ©dicaments, de vaccins, la livraison des mĂ©dicaments, ou encore l’alliance pour la vaccination Gavi, toutes ces choses que ne fait pas l'OMS. En revanche, ce que fait l'OMS est trĂšs important. Elle dĂ©finit toutes les pratiques. Pas nous. Nous, nous sĂ©lectionnons des scientifiques que nous pensons capables d'Ă©laborer un mĂ©dicament contre le paludisme. C'est un pari risquĂ©, mais nous avons dĂ©cidĂ© que nous Ă©tions bons dans ce domaine. C'est notre votre fondation, vous luttez contre les maladies infectieuses et pourtant vous dĂ©tenez des actions dans des entreprises de l'industrie agrochimique comme Monsanto ou des compagnies pĂ©troliĂšres, qui sont accusĂ©es d'avoir polluĂ© le golfe de GuinĂ©e. Ça ne vous paraĂźt pas un peu contradictoire d'investir dans ces entreprises et en mĂȘme temps de travailler Ă  l'amĂ©lioration de la santĂ© dans le monde ?Vous savez, ces investissements sont faits Ă  travers des portefeuilles d'actions, donc ma part doit reprĂ©senter quelque chose comme 0,01 %. Je crois que
 je ne suis pas le policier de la planĂšte, qui va fureter partout, analyser tout ce que font les entreprises. Si ces entreprises ont de mauvaises pratiques, j'attends des autoritĂ©s qu'elles les remettent dans le droit chemin. Vous savez, la plupart de ces entreprises dĂ©pendent beaucoup de leur image et sont plutĂŽt prudentes dans leurs pratiques. C'est souvent les entreprises qui n'ont pas pignon sur rue, comme parfois des entreprises chinoises qui ne prĂȘtent pas attention Ă  ce qu'elles font... notre rĂŽle ici est de donner au monde un vaccin contre le paludisme, un vaccin contre la tuberculose. Nous ne sommes pas des agents de police, et le fait que je possĂšde ou non des actions ne va pas changer ce que je suis.* Les maladies tropicales nĂ©gligĂ©esLes maladies tropicales nĂ©gligĂ©es touchent une personne sur six dans le monde, c'est-Ă -dire plus d’un milliard d’habitants vivant des pays en dĂ©veloppement, ces maladies n’attirent guĂšre les bailleurs de fonds, en grande partie parce qu'elles sont rares dans les pays plus touchent les populations les plus pauvres et les plus vulnĂ©rables. Dans la dĂ©claration de Londres, le partenariat s’était donnĂ© l’objectif de contrĂŽler ou d’éliminer, d’ici Ă  la fin de la dĂ©cennie, 10 de ces maladies tropicales nĂ©gligĂ©es filariose lymphatique, onchocercose cĂ©citĂ© des riviĂšres, trachome, helminthiase vers intestinaux transmis par le sol, schistosomiase bilharziose, lĂšpre, leishmaniose viscĂ©rale, maladie de Chagas, trypanosomiase humaine africaine maladie du sommeil, maladie du ver de en haut de l'article Sivous souhaitez postuler pour les bourses d’études 2022-2023 de la Fondation Bill & Melinda Gates, vous devez rĂ©pondre aux critĂšres suivants: Être

Vues 9888 Source – 19 novembre 2021 – Mohamed Tahiri Abonnez-vous au canal Telegram Strategika pour ne rien rater de notre actualitĂ© Faites un don pour soutenir l’analyse stratĂ©gique indĂ©pendante Selon MintPress News, la Fondation Bill & Melinda Gates a fait un don d’au moins 319 millions de dollars pour financer des projets mĂ©diatiques dans des centaines d’organisations, dont CNN, NBC, NPR, PBS et The Atlantic, soulevant des questions sur la capacitĂ© de ces mĂ©dias Ă  faire des reportages objectifs sur Gates et son travail. Abonnez-vous aux meilleures nouvelles du jour de France mĂ©dias numĂ©rique . C’est gratuit. Jusqu’à son rĂ©cent divorce dĂ©sordonnĂ©, Bill Gates bĂ©nĂ©ficiait d’une sorte de laissez-passer gratuit dans les mĂ©dias d’entreprise. GĂ©nĂ©ralement prĂ©sentĂ© comme un gentil nerd qui veut sauver le monde, le cofondateur de Microsoft a mĂȘme Ă©tĂ© surnommĂ© sans ironie Saint Bill » par The Guardian. Alors que les empires mĂ©diatiques d’ autres milliardaires sont relativement bien connus, la mesure dans laquelle l’argent de Gates garantit le paysage mĂ©diatique moderne ne l’est pas. AprĂšs avoir triĂ© plus de 30 000 subventions individuelles, MintPress peut rĂ©vĂ©ler que la Fondation Bill & Melinda Gates BMGF a fait plus de 300 millions de dollars de dons pour financer des projets mĂ©diatiques. Les destinataires de cet argent comprennent bon nombre des mĂ©dias les plus importants des États-Unis, notamment CNN, NBC, NPR, PBS et The Atlantic. Gates parraine Ă©galement une myriade d’organisations Ă©trangĂšres influentes, dont la BBC, The Guardian, The Financial Times et The Daily Telegraph au Royaume-Uni ; des journaux europĂ©ens de premier plan tels que Le Monde France, Der Spiegel Allemagne et El PaĂ­s Espagne ; ainsi que de grands diffuseurs mondiaux comme Al-Jazeera. L’argent de la Fondation Gates destinĂ© aux programmes mĂ©diatiques a Ă©tĂ© divisĂ© en plusieurs sections, prĂ©sentĂ©es par ordre numĂ©rique dĂ©croissant, et comprend un lien vers la subvention correspondante sur le site Web de l’organisation. RĂ©compenses directement aux mĂ©dias Radio publique nationale — 24 663 066 $ .The Guardian y compris – 12 951 391 $ .MĂ©dias publics en cascade — 10 895 016 $ .Public Radio International — 7 719 113 $ .La conversation — 6 664 271 $ .Univision — 5 924 043 $ .Der Spiegel Allemagne — 5 437 294 $.Syndicat de projet — 5 280 186 $ .Semaine de l’éducation — 4 898 240 $ .WETA – 4 529 400 $ .NBCUniversal Media — 4 373 500 $ .Nation Media Group Kenya — 4 073 194 $ .Le Monde France — 4 014 512 $ .Bhekisisa Afrique du Sud — 3 990 182 $ .El PaĂ­s — 3 968 184 $ .BBC — 3 668 657 $ .CNN — 3 600 000 $ .KCET — 3 520 703 $ .Population Communications International — 3 500 000 $ .Le Daily Telegraph — 3 446 801 $ .Chalkbeat – 2 672 491 $ .The Education Post — 2 639 193 $ .Rockhopper Productions Royaume-Uni — 2 480 392 $ .SociĂ©tĂ© de radiodiffusion publique — 2 430 949 $ .Upworthy – 2 339 023 $ .Financial Times — 2 309 845 $ .Les 74 mĂ©dias — 2 275 344 $ .Texas Tribune — 2 317 163 $ .Punch NigĂ©ria — 2 175 675 $ .Nouvelles profondĂ©ment – 1 612 122 $ .L’Atlantique – – 1 403 453 $ .Radio publique du Minnesota — 1 290 898 $ .YR Media — 1 125 000 $ .Le nouvel humanitaire — 1 046 457 $ .Sheger FM Éthiopie – 1 004 600 $ .Al-Jazeera — 1 000 000 $ .ProPublica — 1 000 000 $ .MĂ©dias publics croisĂ©s — 810 000 $ .Magazine Grist — 750 000 $ .Kurzgesagt — 570 000 $ .Educational Broadcasting Corp — 506 504 $.Classique 98,1 — 500 000 $.PBS – 499 997 $ .Gannett – 499 651 $.Mail and Guardian Afrique du Sud — 492 974 $ .À l’intĂ©rieur de l’enseignement supĂ©rieur. — 439 910 $.Jour ouvrable NigĂ©ria — 416 900 $ . — 412 000 $ .Nutopia — 350 000 $.Independent Television Broadcasting Inc. — 300 000 $ .Service de tĂ©lĂ©vision indĂ©pendant, Inc. — 300 000 $ .Caixin Media Chine — 250 000 $ .Service d’information du Pacifique — 225 000 $ .Journal national — 220 638 $.Chronique de l’enseignement supĂ©rieur — 149 994 $.Belle et Wissell, Co. — 100 000 $.Fiducie des mĂ©dias — 100 000 $.Radio publique de New York — 77 290 $.KUOW – Radio publique Puget Sound – 5 310 $. Ensemble, ces dons totalisent 166 216 526 $. L’argent est gĂ©nĂ©ralement dirigĂ© vers des problĂšmes qui tiennent Ă  cƓur aux Gates. Par exemple, la subvention de 3,6 millions de dollars de CNN a Ă©tĂ© consacrĂ©e Ă  un reportage sur l’égalitĂ© des sexes avec un accent particulier sur les pays les moins avancĂ©s, en produisant du journalisme sur les inĂ©galitĂ©s quotidiennes subies par les femmes et les filles Ă  travers le monde », tandis que le Texas Tribune a reçu des millions pour accroĂźtre la sensibilisation et l’engagement du public sur les questions de rĂ©forme de l’éducation au Texas. » Étant donnĂ© que Bill est l’un des plus fervents partisans des Ă©coles Ă  charte , un cynique pourrait interprĂ©ter cela comme une propagande pro-entreprise des Ă©coles Ă  charte dans les mĂ©dias, dĂ©guisĂ©e en reportage objectif. La Fondation Gates a Ă©galement versĂ© prĂšs de 63 millions de dollars Ă  des organisations caritatives Ă©troitement liĂ©es aux grands mĂ©dias , dont prĂšs de 53 millions de dollars Ă  BBC Media Action, plus de 9 millions de dollars Ă  la Staying Alive Foundation de MTV et 1 million de dollars au New York Times Neediest Causes Fund. Bien qu’ils ne financent pas spĂ©cifiquement le journalisme, les dons Ă  la branche philanthropique d’un acteur multimĂ©dia doivent tout de mĂȘme ĂȘtre notĂ©s. Gates continue Ă©galement de souscrire Ă  un vaste rĂ©seau de centres de journalisme d’investigation, totalisant un peu plus de 38 millions de dollars, dont plus de la moitiĂ© sont allĂ©s au Centre international des journalistes basĂ© Ă  Washington pour Ă©tendre et dĂ©velopper les mĂ©dias africains. Ces centres comprennent Centre international des journalistes — 20 436 938 $ .Premium Times Center for Investigative Journalism NigĂ©ria — 3 800 357 $ .Le Pulitzer Center for Crisis Reporting — 2 432 552 $ .Fondation EurActiv Politech — 2 368 300 $ .Fondation internationale des femmes dans les mĂ©dias — 1 500 000 $ .Centre de reportage d’investigation — 1 446 639 $ .Institut InterMedia Survey — 1 297 545 $ .Le Bureau du journalisme d’investigation — 1 068 169 $ .RĂ©seau Internews — 985 126 $ .Centre des mĂ©dias du Consortium des communications — 858 000 $ .Institute for Nonprofit News — 650 021 $ .Le Poynter Institute for Media Studies — 382 997 $ .Centre Wole Soyinka pour le journalisme d’investigation NigĂ©ria — 360 211 $ .Institut d’études avancĂ©es en journalisme — 254 500 $ .Forum mondial pour le dĂ©veloppement des mĂ©dias Belgique — 124 823 $ .Mississippi Center for Investigative Reporting — 100 000 $ . En plus de cela, la Fondation Gates offre Ă©galement de l’argent aux associations de presse et de journalisme, Ă  hauteur d’au moins 12 millions de dollars. Par exemple, la National Newspaper Publishers Association — un groupe reprĂ©sentant plus de 200 points de vente — a reçu 3,2 millions de dollars. La liste de ces organisations comprend Association des Ă©crivains en Ă©ducation — 5 938 475 $ .Association nationale des Ă©diteurs de journaux — 3 249 176 $ .Fondation nationale de la presse — 1 916 172 $ .Conseil de l’information de Washington — 698 200 $ .Fondation de l’American Society of News Editors — 250 000 $ .ComitĂ© des journalistes pour la libertĂ© de la presse — 25 000 $ . Cela porte notre total cumulĂ© Ă  216,4 millions de dollars. La fondation finance Ă©galement la formation directe de journalistes du monde entier, sous forme de bourses, de cours et d’ateliers. Aujourd’hui, il est possible pour un individu de suivre une formation de journaliste grĂące Ă  une subvention de la Fondation Gates, de trouver du travail dans un point de vente financĂ© par Gates et d’appartenir Ă  une association de presse financĂ©e par Gates. Cela est particuliĂšrement vrai des journalistes travaillant dans les domaines de la santĂ©, de l’éducation et du dĂ©veloppement mondial, ceux dans lesquels Gates lui-mĂȘme est le plus actif et oĂč l’examen minutieux des actions et des motivations du milliardaire est le plus nĂ©cessaire. Les subventions de la Fondation Gates relatives Ă  l’instruction des journalistes comprennent UniversitĂ© Johns Hopkins — 1 866 408 $ .Teachers College, Columbia University – 1 462 500 $ .UniversitĂ© de Californie Ă  Berkeley – 767 800 $.UniversitĂ© Tsinghua Chine — 450 000 $ .UniversitĂ© de Seattle – 414 524 $ .Institut d’études avancĂ©es en journalisme — 254 500 $.UniversitĂ© de Rhodes Afrique du Sud — 189 000 $ .UniversitĂ© d’État de Montclair — 160 538 $ .Fondation universitaire panatlantique — 130 718 $ .Organisation mondiale de la santĂ© — 38 403 $ .Le projet Aftermath — 15 435 $ . La BMGF finance Ă©galement un large Ă©ventail de campagnes mĂ©diatiques spĂ©cifiques Ă  travers le monde. Par exemple, depuis 2014, elle a fait un don de 5,7 millions de dollars Ă  la Population Foundation of India afin de crĂ©er des piĂšces de théùtre qui promeuvent la santĂ© sexuelle et reproductive, dans le but d’augmenter les mĂ©thodes de planification familiale en Asie du Sud. Pendant ce temps, il a allouĂ© plus de 3,5 millions de dollars Ă  une organisation sĂ©nĂ©galaise pour dĂ©velopper des Ă©missions de radio et du contenu en ligne contenant des informations sur la santĂ©. Les partisans considĂšrent que cela aide des mĂ©dias gravement sous-financĂ©s, tandis que les opposants pourraient considĂ©rer qu’il s’agit d’un milliardaire utilisant son argent pour diffuser ses idĂ©es et ses opinions dans la presse. Projets mĂ©dias soutenus par la Fondation Gates Centre europĂ©en de journalisme — 20 060 048 $ .Entraide universitaire mondiale du Canada — 12 127 622 $ .Well Told Story Limited — 9 870 333 $ .Solutions Journalism Inc. — 7 254 755 $ .Fondation de l’industrie du divertissement — 6 688 208 $.Fondation de la population de l’Inde — 5 749 826 $ .MĂ©dias participants — 3 914 207 $ .RĂ©seau Africain de l’Éducation pour la santĂ©- — 3 561 683 $ .Nouvelle AmĂ©rique — 3 405 859 $ .Fondation AllAfrica — 2 311 529 $ .Étapes internationales — 2 208 265 $ .Centre de plaidoyer et de recherche — 2 200 630 $ .L’atelier de sĂ©same — 2 030 307 $ .Institut Panos Afrique de l’Ouest — 1 809 850 $.Laboratoire des villes ouvertes — 1 601 452 $.UniversitĂ© Harvard — 1 190,527 $ .Questions d’apprentissage — 1 078 048 $ .Le Centre de recherche Aaron Diamond sur le sida — 981 631 $ .Fondation des mĂ©dias Thomson — 860 628 $ .Centre des mĂ©dias du Consortium des communications — 858 000 $ .Histoires – 799 536 .Centre de stratĂ©gies rurales — 749 945 $ .Le nouveau fonds de capital-risque — 700 000 $.Helianthus Media — 575 064 $.UniversitĂ© de Californie du Sud — 550 000 $ .Organisation mondiale de la santĂ© — 530 095 $ .Phi Delta Kappa International — 446 000 $ .Ikana Media — 425 000 $ .Fondation de Seattle — 305 000 $ .ÉducationNC — 300 000 $ .PĂ©kin Guokr Interactive – 300 000 $.MontĂ©e en flĂšche — 246 918 $ .L’AcadĂ©mie africaine des sciences — 208 708 $.À la recherche d’applications modernes pour une transformation rĂ©elle SMART — 201 781 $ .Coalition vidĂ©o de la rĂ©gion de la baie — 190 000 $ .Fondation PowHERful — 185 953 $ .CongrĂšs des parents et des enseignants de la PTA en Floride — 150 000 $.ProSocial — 100 000 $.UniversitĂ© de Boston — 100 000 $ .Centre national pour l’apprentissage des familles — 100 000 $.Development Media International — 100 000 $ .UniversitĂ© Ahmadu Bello — 100 000 $ .SociĂ©tĂ© indonĂ©sienne de cybersantĂ© et de tĂ©lĂ©mĂ©decine — 100 000 $ .La collaboration des cinĂ©astes — 50 000 $ .Fondation pour la radiodiffusion publique en GĂ©orgie Inc. — 25 000 $ .SIFF — 13 000 $ . Total 97 315 ​​408 $ 319,4 millions de dollars et beaucoup plus Ensemble, ces projets mĂ©diatiques parrainĂ©s par Gates s’élĂšvent Ă  un total de 319,4 millions de dollars. Cependant, cette liste non exhaustive prĂ©sente des lacunes Ă©videntes, ce qui signifie que le chiffre rĂ©el est sans aucun doute bien plus Ă©levĂ©. PremiĂšrement, il ne compte pas les sous-subventions, c’est-Ă -dire l’argent donnĂ© par les bĂ©nĂ©ficiaires aux mĂ©dias du monde entier. Et tandis que la Fondation Gates favorise un air d’ouverture sur elle-mĂȘme, il existe en rĂ©alitĂ© peu d’informations publiques prĂ©cieuses sur ce qu’il advient de l’argent de chaque subvention, Ă  l’exception d’une courte description d’une ou deux phrases Ă©crite par la fondation elle-mĂȘme sur son site Web. . Seuls les dons aux organisations de presse elles-mĂȘmes ou aux projets pouvant ĂȘtre identifiĂ©s Ă  partir des informations sur le site Web de la Fondation Gates en tant que campagnes mĂ©diatiques ont Ă©tĂ© comptabilisĂ©s, ce qui signifie que des milliers de subventions comportant un Ă©lĂ©ment mĂ©diatique n’apparaissent pas dans cette liste. Un exemple est le partenariat de la BMGF avec ViacomCBS, la sociĂ©tĂ© qui contrĂŽle CBS News, MTV, VH1, Nickelodeon et BET. Les mĂ©dias de l’époque indiquaient que la Fondation Gates payait le gĂ©ant du divertissement pour insĂ©rer des informations et des messages d’intĂ©rĂȘt public dans sa programmation et que Gates Ă©tait intervenu pour modifier les scĂ©narios d’émissions populaires comme ER et Law & Order SVU. Cependant, lors de la vĂ©rification de la base de donnĂ©es des subventions de BMGF, Viacom » et CBS » sont introuvables, la subvention probable en question totalisant plus de 6 millions de dollars dĂ©crivant simplement le projet comme une campagne d’engagement public visant Ă  amĂ©liorer les taux d’obtention du diplĂŽme d’études secondaires et taux d’achĂšvement des Ă©tudes postsecondaires visant spĂ©cifiquement les parents et les Ă©tudiants », ce qui signifie qu’il n’a pas Ă©tĂ© comptĂ© dans le total officiel. Il y a sĂ»rement beaucoup d’autres exemples comme celui-ci. Pour une organisation caritative privilĂ©giĂ©e sur le plan fiscal qui clame si souvent l’importance de la transparence, il est remarquable Ă  quel point la Fondation Gates est extrĂȘmement secrĂšte Ă  propos de ses flux financiers » , a dĂ©clarĂ© Ă  MintPress Tim Schwab , l’un des rares journalistes d’investigation Ă  avoir scrutĂ© le milliardaire de la technologie. . Ne sont pas non plus incluses les subventions visant Ă  produire des articles pour des revues universitaires. Bien que ces articles ne soient pas destinĂ©s Ă  la consommation de masse, ils constituent rĂ©guliĂšrement la base d’articles dans la presse grand public et aident Ă  façonner les rĂ©cits autour de questions clĂ©s. La Fondation Gates a largement contribuĂ© aux sources universitaires, avec au moins 13,6 millions de dollars consacrĂ©s Ă  la crĂ©ation de contenu pour la prestigieuse revue mĂ©dicale The Lancet. Et, bien sĂ»r, mĂȘme l’argent donnĂ© aux universitĂ©s pour des projets purement de recherche finit par se retrouver dans des revues universitaires, et finalement, en aval dans les mĂ©dias de masse. Les universitaires subissent de fortes pressions pour imprimer leurs rĂ©sultats dans des revues prestigieuses ; publier ou pĂ©rir » est le mantra des dĂ©partements universitaires. Par consĂ©quent, mĂȘme ces types de subventions ont un effet sur nos mĂ©dias. Ni ceux-ci ni les subventions finançant l’impression de livres ou la crĂ©ation de sites Web ne comptent dans le total, bien qu’ils soient aussi des formes de mĂ©dias. Profil bas, longs tentacules Par rapport Ă  d’autres milliardaires de la technologie, Gates a gardĂ© son profil de contrĂŽleur des mĂ©dias relativement bas. L’ achat du Washington Post par le fondateur d’ Amazon Jeff Bezos pour 250 millions de dollars en 2013 Ă©tait une forme d’influence mĂ©diatique trĂšs claire et Ă©vidente, tout comme la crĂ©ation par le fondateur d’eBay Pierre Omidyar de First Look Media, la sociĂ©tĂ© propriĂ©taire de The Intercept. Bien qu’ils passent plus inaperçus, Gates et ses entreprises ont accumulĂ© une influence considĂ©rable dans les mĂ©dias. Nous comptons dĂ©jĂ  sur des produits appartenant Ă  Microsoft pour la communication par exemple, Skype, Hotmail, les mĂ©dias sociaux LinkedIn et le divertissement Microsoft XBox. De plus, le matĂ©riel et les logiciels que nous utilisons pour communiquer sont souvent fournis par le Seattleite de 66 ans. Combien de personnes lisant ceci le font sur un tĂ©lĂ©phone Microsoft Surface ou Windows et le font via le systĂšme d’exploitation Windows ? De plus, Microsoft dĂ©tient des participations dans des gĂ©ants des mĂ©dias tels que Comcast et AT&T . Et le MS » dans MSNBC signifie Microsoft. Les gardiens des portes des mĂ©dias Le fait que la Fondation Gates finance une partie importante de notre Ă©cosystĂšme mĂ©diatique entraĂźne de graves problĂšmes d’objectivitĂ©. Les subventions de la fondation aux organisations de mĂ©dias
 soulĂšvent des questions de conflit d’intĂ©rĂȘts Ă©videntes comment les reportages peuvent-ils ĂȘtre impartiaux lorsqu’un acteur majeur tient les cordons de la bourse ? » a Ă©crit le Seattle Times local de Gates en 2011. C’était avant que le journal n’accepte l’ argent de la BMGF pour financer sa section laboratoire d’éducation ». Les recherches de Schwab ont rĂ©vĂ©lĂ© que ce conflit d’intĂ©rĂȘts va jusqu’au sommet deux chroniqueurs du New York Times avaient Ă©crit avec enthousiasme sur la Fondation Gates pendant des annĂ©es sans rĂ©vĂ©ler qu’ils travaillaient Ă©galement pour un groupe – le Solutions Journalism Network – qui, comme le montre ci-dessus, a reçu plus de 7 millions de dollars de l’association caritative du milliardaire technologique. Plus tĂŽt cette annĂ©e, Schwab a Ă©galement refusĂ© de co-reporter une histoire sur COVAX pour le Bureau of Investigative Journalism, soupçonnant que l’argent que Gates avait injectĂ© dans le magasin rendrait impossible un reportage prĂ©cis sur un sujet si proche du cƓur de Gates. Effectivement, lorsque l’article a Ă©tĂ© publiĂ© le mois dernier, il a rĂ©pĂ©tĂ© l’affirmation selon laquelle Gates avait peu Ă  voir avec l’échec de COVAX, reflĂ©tant la position de la BMGF et les citant tout au long. Ce n’est qu’à la toute fin de l’histoire de plus de 5 000 mots qu’il a rĂ©vĂ©lĂ© que l’organisation qu’elle dĂ©fendait payait les salaires de son personnel. Je ne crois pas que Gates ait dit au Bureau of Investigative Journalism quoi Ă©crire. Je pense que le bureau savait implicitement, voire inconsciemment, qu’il devait trouver un moyen de raconter cette histoire qui ne visait pas son bailleur de fonds. Les effets biaisĂ©s des conflits financiers sont complexes mais trĂšs rĂ©els et fiables », a dĂ©clarĂ© Schwab, le dĂ©crivant comme une Ă©tude de cas sur les pĂ©rils du journalisme financĂ© par Gates ». Gates, qui a amassĂ© sa fortune en construisant un monopole et en protĂ©geant avec zĂšle sa propriĂ©tĂ© intellectuelle, porte une responsabilitĂ© importante dans l’échec du dĂ©ploiement du vaccin contre le coronavirus Ă  travers le monde. IndĂ©pendamment du fiasco du COVAX, il a fait pression sur l’UniversitĂ© d’Oxford pour qu’elle ne rende pas son vaccin financĂ© par l’État open source et accessible Ă  tous gratuitement, mais plutĂŽt pour s’associer Ă  la sociĂ©tĂ© privĂ©e AstraZeneca , une dĂ©cision qui signifiait que ceux qui ne pouvaient pas payer Ă©taient bloquĂ©s. de l’utiliser. Le fait que Gates ait fait plus de 100 dons Ă  l’universitĂ©, totalisant des centaines de millions de dollars, a probablement jouĂ© un rĂŽle dans la dĂ©cision. À ce jour, moins de 5 % des habitants des pays Ă  faible revenu ont reçu ne serait-ce qu’une seule dose de vaccin COVID. Le nombre de morts qui en dĂ©coule est immense. Malheureusement, bon nombre de ces vraies critiques de Gates et de son rĂ©seau sont obscurcies par des thĂ©ories du complot sauvages et fausses sur des choses telles que l’insertion de puces Ă©lectroniques dans les vaccins pour contrĂŽler la population. Cela signifie que les vĂ©ritables critiques du cofondateur de Microsoft sont souvent dĂ©monĂ©tisĂ©es et supprimĂ©es de maniĂšre algorithmique, ce qui signifie que les mĂ©dias sont fortement dissuadĂ©s de couvrir le sujet, sachant qu’ils perdront probablement de l’argent s’ils le font. Le manque d’examen minutieux du deuxiĂšme individu le plus riche du monde alimente Ă  son tour des soupçons farfelus. Gates le mĂ©rite certainement. IndĂ©pendamment de ses liens profonds et potentiellement de plusieurs dĂ©cennies avec le tristement cĂ©lĂšbre Jeffrey Epstein, ses tentatives pour changer radicalement la sociĂ©tĂ© africaine et ses investissement dans le gĂ©ant chimique controversĂ© Monsanto , il est peut-ĂȘtre le principal moteur du mouvement amĂ©ricain des Ă©coles Ă  charte – une tentative de privatiser essentiellement le systĂšme Ă©ducatif amĂ©ricain. Les Ă©coles Ă  charte sont profondĂ©ment impopulaires auprĂšs des syndicats d’enseignants, qui voient le mouvement comme une tentative de rĂ©duire leur autonomie et de rĂ©duire le contrĂŽle public sur la maniĂšre et la nature de l’enseignement aux enfants. Jusqu’à la banque Dans la plupart des reportages, les dons de Gates sont largement prĂ©sentĂ©s comme des gestes altruistes. Pourtant, beaucoup ont soulignĂ© les dĂ©fauts inhĂ©rents Ă  ce modĂšle, notant que permettre aux milliardaires de dĂ©cider ce qu’ils font avec leur argent leur permet de dĂ©finir l’agenda public, leur donnant un pouvoir Ă©norme sur la sociĂ©tĂ©. La philanthropie peut et est utilisĂ©e dĂ©libĂ©rĂ©ment pour dĂ©tourner l’attention des diffĂ©rentes formes d’exploitation Ă©conomique qui sous-tendent les inĂ©galitĂ©s mondiales aujourd’hui », a dĂ©clarĂ© Linsey McGoey , professeur de sociologie Ă  l’UniversitĂ© d’Essex, au Royaume-Uni, et auteur de No Such Thing as a Free Don La Fondation Gates et le Prix de la philanthropie. » Elle ajoute Le nouveau philanthrocapitalisme » menace la dĂ©mocratie en augmentant le pouvoir du secteur des entreprises au dĂ©triment des organisations du secteur public, qui sont de plus en plus confrontĂ©es Ă  des compressions budgĂ©taires, en partie en rĂ©munĂ©rant excessivement les organisations Ă  but lucratif pour fournir des services publics qui pourraient ĂȘtre fournis Ă  moindre coĂ»t sans la participation du secteur privĂ©. La charitĂ©, comme l’a notĂ© l’ancien Premier ministre britannique Clement Attlee, est une chose sans amour et gris froid. Si un homme riche veut aider les pauvres, il doit payer ses impĂŽts avec plaisir, et non pas distribuer de l’argent sur un coup de tĂȘte. Rien de tout cela ne signifie que les organisations qui reçoivent l’argent de Gates – mĂ©dias ou autres – sont irrĂ©mĂ©diablement corrompues, ni que la Fondation Gates ne fait aucun bien dans le monde. Mais cela introduit un conflit d’intĂ©rĂȘts flagrant par lequel les institutions mĂȘmes sur lesquelles nous comptons pour tenir responsable l’un des hommes les plus riches et les plus puissants de l’histoire de la planĂšte sont discrĂštement financĂ©es par lui. Ce conflit d’intĂ©rĂȘts est un conflit que les mĂ©dias d’entreprise ont largement essayĂ© d’ignorer, tandis que le philanthrope prĂ©tendument altruiste Gates ne cesse de s’enrichir, riant jusqu’à la banque. PubliĂ© Ă  l’origine par MintPress News .

Lafondation Bill Gates, diffĂ©rente de la philanthropie belge Le couple de philanthropes Bill et Melinda Gates a annoncĂ© lundi que leur mariage de 27 ans prenait “Gates a une vision napolĂ©onienne de lui-mĂȘme, un appĂ©tit qui rĂ©sulte du pouvoir et d’un succĂšs sans partage, sans aucune expĂ©rience Ă©prouvante, sans revers.”– Le juge Thomas Penfield Jackson, qui prĂ©side l’affaire Gates/Microsoft contre la fraude Ă  la concurrence Les confinements mondiaux que Bill Gates a contribuĂ© Ă  orchestrer et Ă  encadrer ont mis en faillite plus de 100 000 entreprises rien qu’aux aux États-Unis plongĂ© un milliard de personnes dans la pauvretĂ© et une insĂ©curitĂ© alimentaire mortelle qui, entre autres dommages dĂ©vastateurs, tuent 10 000 enfants africains chaque mois , tout en augmentant la richesse de Gates de 20 milliards de dollars. Sa fortune de 133 milliards de dollars le place au rang de quatriĂšme homme le plus richedu monde. Gates a utilisĂ© cet argent frais pour accroĂźtre son pouvoir sur les populations mondiales en achetant des actifs dĂ©valuĂ©s Ă  des prix de vente au rabais, tout en manƓuvrant pour le acquĂ©rir le contrĂŽle monopolistique sur la santĂ© publique, privatiser les prisons, l’éducationen ligne et les communications mondiales tout en faisant la promotion des monnaiesnumĂ©riques, de la surveillance de haute technologie,des systĂšmes de collecte de donnĂ©es et de l’intelligence artificielle. Pour un homme obsĂ©dĂ© par le contrĂŽle des monopoles, la possibilitĂ© de dominer Ă©galement la production alimentaire doit sembler irrĂ©sistible. Selon le dernier numĂ©ro de The Land Report, Gates s’est tranquillement imposĂ© comme le plus grand propriĂ©taire de terres agricoles aux États-Unis. Le portfolio de Gates comprend maintenant environ 242 000 acres 1 acre = environ 4047 m2 de terres agricoles amĂ©ricaines ainsi queprĂšs de 27 000 acres d’autres terres en Louisiane, en Arkansas, au Nebraska, en Arizona, en Floride, À Washington et dans18 autres États. Thomas Jefferson considĂ©rait que le succĂšs de la lutte exemplaire menĂ©e par l’AmĂ©rique pour remplacer le modĂšle du joug fĂ©odal europĂ©en par une magnifique expĂ©rience d’autogestion dĂ©pendait du contrĂŽle perpĂ©tuel des terres de la nation par des dizaines de milliers d’agriculteurs indĂ©pendants, chacun d’entre eux ayant un intĂ©rĂȘt marquĂ© pour notre dĂ©mocratie. Donc, au mieux, la campagne de M. Gates visant Ă  dĂ©pouiller l’immobilier agricole amĂ©ricain est un signal que le fĂ©odalisme pourrait bien ĂȘtre de nouveau dans l’air du temps. Au pire, sa frĂ©nĂ©sie d’achats est le signe avant-coureur de quelque chose de bien plus alarmant le contrĂŽle des rĂ©serves alimentaires mondiales par un mĂ©galomane avide de pouvoir et dotĂ© d’un complexe napolĂ©onien. Examinons le contexte des achats furtifs de M. Gates dans le cadre de sa stratĂ©gie Ă  long terme de domination de l’agriculture et de la production alimentaire, et ce Ă  l’échelle mondiale. À partir de 1994, Gates a lancĂ© une campagne internationale de bio-piraterieafin de parvenir Ă  une domination verticalement intĂ©grĂ©e sur la production agricole mondiale. Son empire comprend maintenant de vastes terres agricoles et des investissements importants dans les cultures OGM, les brevets sur les graines, les aliments synthĂ©tiques, l’intelligence artificielle, y compris les ouvriers agricoles robotisĂ©s, et les positions dominantes au sein des mastodontes de l’alimentation, notamment Coca-Cola, Unilever, Philip Morris Kraft, General Foods, Kellogg’s, Procter & Gamble et Amazonaliments pour animaux, et dans des multinationales comme Monsanto et Bayer qui commercialise les pesticides chimiques et les engrais pĂ©trochimiques. Comme d’habitude, Gates combine ces investissements personnels avec des subventions financĂ©es par le contribuable, redistribuĂ©es par la Fondation Bill & Melinda Gates, l’organisation la plus riche et la plus puissante de toute l’aide internationale, ses partenariats financiers avec Big Ag, les mastodontes de l’agriculture, Big Chemical, les gĂ©ants de la chimie, et Big Food, de l’agro-alimentaire, et son contrĂŽle des agences internationales – y compris certaines de sa propre crĂ©ation – avec un pouvoir impressionnant pour crĂ©er des marchĂ©s forcĂ©s, obligeant ainsi Ă  passer par ses produits L’ancien secrĂ©taire d’État Henry Kissinger, protĂ©gĂ© et partenaire de David Rockefeller, a observĂ© que celui qui contrĂŽle l’approvisionnement alimentaire contrĂŽle le peuple». En 2006, les Fondations Bill & Melinda Gates et Rockefeller ont lancĂ© l’Alliance pour une rĂ©volution verte en Afrique AGRA, d’une valeur de 424 millions de dollars, en promettant de doubler la productivitĂ© des cultures et d’accroĂźtre les revenus de 30 millions de petits agriculteurs d’ici 2020 tout en rĂ©duisant de moitiĂ© l’insĂ©curitĂ© alimentaire. De maniĂšre tout Ă  fait rĂ©currente, l’approche de M. Gates pour rĂ©soudre des problĂšmes mondiaux place la technologie et ses propres partenaires des industries chimique, pharmaceutique et pĂ©troliĂšre au centre de chaque solution. Il s’est avĂ©rĂ© que la dite “stratĂ©gie innovante” de M. Gates pour la production alimentaire consistait tout simplement Ă  imposer aux agriculteurs africains les plus pauvres un systĂšme amĂ©ricain d’agriculture Ă  base d’OGM, de produits chimiques et de combustibles fossilesqui avait Ă©chouĂ© aux États-Unis. Les pratiques agricoles africaines ont Ă©voluĂ© Ă  partir de leurs terres pendant 10 000 ans sous des formes qui favorisent la diversitĂ© des cultures, la dĂ©centralisation, la durabilitĂ©, la propriĂ©tĂ© privĂ©e, l’auto-organisation et le contrĂŽle local des semences. La libertĂ© personnelle inhĂ©rente Ă  ces systĂšmes localisĂ©s laisse les familles d’agriculteurs prendre leurs propres dĂ©cisions ils sont maĂźtres sur leurs terres, et donc souverains de leur destin. L’innovation continue de millions de petits agriculteurs a permis de maximiser les rendements durables tout autant que la biodiversitĂ©. Dans son impitoyable rĂ©invention du colonialisme, Gates a dĂ©pensĂ© 4,9 milliards de dollars pour dĂ©manteler cet ancien systĂšme et le remplacer par une agriculture high-tech industrialisĂ©e et dirigĂ©e par les multinationales, des monocultures dĂ©pendantes des produits chimiques, une centralisation extrĂȘme et un contrĂŽle du haut vers le bas. Il a forcĂ© les petites exploitations agricoles africaines Ă  faire la transition vers les semences commerciales importĂ©es,les engrais pĂ©troliers et les pesticides. M. Gates a construit l’infrastructure de la chaĂźne d’approvisionnement en produits chimiques et en semences et a fait pression sur les gouvernements africains pour qu’ils dĂ©pensent des sommes Ă©normes en subventions et utilisent des sanctions draconiennes et un contrĂŽle autoritaire pour forcer les agriculteurs Ă  acheter ses intrants coĂ»teux et Ă  se conformer Ă  ses diktats. M. Gates a obligĂ© les agriculteurs Ă  remplacer leurs cultures traditionnelles de subsistance nourrissantes, comme le sorgho, le millet, la patate douce et le manioc, par des cultures au rendement industriel Ă©levĂ©, comme le soja et le maĂŻs, qui profitent Ă  l’élite des nĂ©gociants en produits de base mais laissent les Africains pauvres avec peu de nourriture. La nutrition et la productivitĂ© ont chutĂ©. Les sols se sont acidifiĂ©s Ă  chaque application d’engrais pĂ©trochimiques. Comme pour l’entreprise africaine de vaccins Gates, il n’y a eu bien sĂ»r ni Ă©valuation interne, ni responsabilitĂ© publique. L’étude de 2020 False Promises The Alliance for a Green Revolution in Africa AGRA» est un rapport qui dĂ©crit les 14 annĂ©es des “efforts” du cartel Gates. L’enquĂȘte conclut que le nombre d’Africains souffrant d’une faim extrĂȘme a augmentĂ© de 30 pour cent dans les 18 pays visĂ©s par Gates. La pauvretĂ© rurale s’est mĂ©tastasĂ©e de façon spectaculaire, et le nombre de personnes souffrant de la faim dans ces pays est passĂ© Ă  131 millions. Sous le systĂšme de production de Gates, les populations rurales africaines sont devenues esclaves sur leurs propres terres, soumises Ă  un servage tyrannique d’intrants de haute technologie, de mĂ©canisation, de calendriers rigides, de contraintes lourdes, de crĂ©dits et de subventions qui sont les caractĂ©ristiques de la “RĂ©volution verte” de Bill Gates. Les seules entitĂ©s qui bĂ©nĂ©ficient du programme de M. Gates sont ses entreprises partenaires internationales – et en particulier Monsanto, dont le “Gates Foundation Trust” a achetĂ© 500 000 actions d’une valeur de 23 millions de dollars en 2010 mais s’est ensuite dĂ©parti de ces actions sous la pression de groupes de la sociĂ©tĂ© civile. Gates lui-mĂȘme a mĂȘme fait produire des publicitĂ©s pour les OGM de Monsanto,les vantant comme la solution » Ă  la faim dans le monde. Dans un exemple typique de l’étrange gĂ©nĂ©rositĂ© de M. Gates, sa fondation a apparemment accordĂ© ses subventions “caritatives”, subventionnĂ©es par les contribuables, d’un montant de 10 millions de dollars au mastodonte du Big Ag, Cargill, afin de construire ses chaĂźnes d’approvisionnement en soja OGM en Afrique du Sud. Les Africains appellent le programme de Gates nĂ©ocolonialisme » ou colonialisme de multinationale». L’initiative AGRA Watch de la Community Alliance for Global Justice basĂ©e Ă  Seattle observe attentivement les stratĂ©gies de la politique agricole et alimentaire de Gates. La Fondation Gates et l’AGRA se disent pro-pauvres » et pro-environnement », mais leur approche est Ă©troitement alignĂ©e sur les sociĂ©tĂ©s transnationales, telles que Monsanto, et les acteurs de la politique Ă©trangĂšre comme l’USAID. [United States Agency for International Development] Ils profitent des crises alimentaires et climatiques mondiales pour promouvoir l’agriculture industrielle de haute technologie, basĂ©e sur le marchĂ© et gĂ©nĂ©rer des bĂ©nĂ©fices pour les entreprises, mĂȘme en dĂ©gradant l’environnement et en dĂ©reponsabilisant les agriculteurs. Leurs programmes sont une forme de philanthrocapitalisme basĂ© sur la biopirapiraie. L’activisme climatique de Gates Un petit mot destinĂ© Ă  mes collĂšgues de l’environnement Pour mieux dissimuler ses plans dystopiques pour l’humanitĂ© sous des intentions louables, Gates a carrĂ©ment dĂ©tournĂ© la rhĂ©torique de la “durabilitĂ©â€, de la “biodiversitĂ©â€, de la “bonne gouvernance” et du “climat”. Ces causes sont toutes de sinistres rĂ©alitĂ©s qui constituent des menaces existentielles pour nos enfants et requiĂšrent une intervention urgente. Quoi qu’il en soit, le palmarĂšs de Gates rĂ©vĂšle que ses intentions charitables ne sont que des impostures servant Ă  son agenda et visant Ă  maximiser et son gain et son contrĂŽle personnel. Je suis dĂ©concertĂ© de voir que tant de mes amis du mouvement Ă©cologiste sont tombĂ©s dans le panneau et ont gobĂ© la mascarade de Gates. Au cours de mes 40 annĂ©es de militantisme en faveur du climat, je n’ai trouvĂ© aucune preuve du financement par Gates d’un vĂ©ritable plaidoyer en faveur du climat ; la Fondation Gates est complĂštement absente des conflits climatiques. Les principaux groupes de dĂ©fense du climat, le National Resource Defense Council, l’Environmental Defense Fund, le Sierra Club, Greenpeace, Waterkeepers, etc. ne reçoivent pratiquement rien de la plus grande philanthropie du monde. Son histoire d’investissement suggĂšre que la crise climatique, pour Gates et ses copains, n’est rien de plus qu’un alibi pour un contrĂŽle social intrusif »,La “Grande RĂ©initialisation, le Big Reset” comme systĂšme de surveillance Ă  grande Ă©chelle, et la grosse science-fiction de la gĂ©o-ingĂ©nierie, y compris ses projets d’une vanitĂ© dĂ©mente et terrifiante tels que pulvĂ©riser la stratosphĂšre avec du chlorure de calcium ou de l’eau de mer pour ralentir le rĂ©chauffement, ou dĂ©ployer des ballons gĂ©ants pour saturer notre atmosphĂšre de particules rĂ©flĂ©chissantes, ou mĂȘme bloquer le soleil ,ou sa tactique pĂ©rilleuse de lĂącher des millions de moustiques gĂ©nĂ©tiquement modifiĂ©s dans le sud de la Floride. Si l’on resitue ces projets cauchemardesques dans le contexte de la batterie de vaccins expĂ©rimentaux qu’il impose chaque annĂ©e Ă  161 millions d’enfants africains, il est assez clair que M. Gates nous considĂšre tous comme ses rats de laboratoire. Gates a Ă©galement suivi Ă  la lettre le conseil de Kissinger, “ContrĂŽlez le pĂ©trole et vous contrĂŽlez les nations” ; ses participations dans le domaine de l’énergie ne reflĂštent Ă  aucun moment son antipathie affichĂ©e envers les gaz Ă  effet de serre. En effet, les investissements personnels de M. Gates dans les hydrocarbures comprennent des participations massives dans toutes les grandes compagnies pĂ©troliĂšres Exxon, Chevron, ConocoPhillips et Shell. Il est propriĂ©taire de la plus grande compagnie de jets privĂ©s au monde. Son engagement hors normes dans le domaine du charbon comprend des investissements considĂ©rables dans les centrales de production de charbon les plus polluantes, dont la Compagnie des chemins de fer nationaux du Canada et la CSX Richmond, qui est le plus grand transporteur de charbon Ă  l’est du Mississippi. Gates mise beaucoup sur l’avenir du carbone. Les centres de collecte, de traitement et d’analyse des donnĂ©es de Gates figurent parmi les secteurs qui connaissent la croissance la plus rapide au monde en matiĂšre de consommation d’énergie. Et, bien sĂ»r, les entreprises agricoles chimiques et industrielles de Gates reprĂ©sentent l’antithĂšse d’une agriculture respectueuse du climat. Son maĂŻs OGM nĂ©cessite de substantielles quantitĂ©s d’engrais, de pesticides, de produits agrochimiques fabriquĂ©s Ă  partir de gaz naturel et d’autres combustibles fossiles. Il a effectivement forcĂ© les Africains, selon les mots de Michael Pollan, Ă  ” bouffer du pĂ©trole “. Les agriculteurs africains nomment le programme de Gates littĂ©ralement “agriculture stupide pour le climat“. M. Gates a appris Ă  s’engraisser systĂ©matiquement sur les crises mondiales, qu’il s’agisse de pandĂ©mies, de climat, de famine ou d’extinction massive. Le changement climatique a fourni Ă  M. Gates une excuse pour crĂ©er des monopoles sur les graines, l’alimentation et l’agriculture. En 2008, la Fondation Bill & Melinda Gates a annoncĂ© 306 millions de dollars de subventions pour promouvoir l’agriculture durable Ă  haut rendement chez les petits exploitants agricoles d’Afrique subsaharienne et d’Asie du Sud. Les plans de la fondation comprenaient la crĂ©ation, via des manipulations gĂ©nĂ©tiques, de vaches laitiĂšres Ă  haute production et rĂ©sistantes Ă  la sĂ©cheresse, ainsi que le dĂ©veloppement et la prolifĂ©ration de super culturesrĂ©sistantes au changement climatique. En d’autres termes, le changement climatique n’était que le prĂ©texte Ă  une gĂ©o-ingĂ©nierie plus sournoise. Pendant ce temps, les politiques agricoles de Gates dĂ©truisent les systĂšmes climatiques de notre planĂšte, poussant des millions d’espĂšces Ă  l’extinction, dĂ©sertifiant les sols, dĂ©truisant les systĂšmes d’eau et enrichissant le Cartel du Poison. Donc, une note Ă  l’attention de mes collĂšgues responsables de l’environnement RĂ©veillons-nous, Bill Gates n’est pas de notre cĂŽtĂ© ! En outre, M. Gates a mis tout essai de rĂ©forme climatique en porte-Ă -faux pour des millions d’AmĂ©ricains, qui voient ses simulacres de climat dans le contexte de ses ambitions personnelles de contrĂŽler l’humanitĂ© et de mettre un terme Ă  l’activitĂ© Ă©conomique et Ă  la libertĂ© individuelle. C’est en grande partie Ă  cause de Gates que dĂ©sormais la moitiĂ© de l’AmĂ©rique considĂšre le changement climatique comme un coup du “Great Reset” visant Ă  transfĂ©rer la richesse vers le haut, ou comme un canular de gĂ©o-ingĂ©nierie. C’est Ă  cause de cela qu’ils ne sont pas conscients du grave danger que reprĂ©sente le changement climatique. C’est pourquoi nous semblons dĂ©libĂ©rĂ©ment aveuglĂ©s par le vĂ©ritable danger que reprĂ©sente Bill Gates. Gates profite de toute cette embrouille ; la polarisation du dĂ©bat sur le climat paralyse les efforts de rĂ©forme, tout en prĂ©servant ainsi la valeur de ses participations dans le marchĂ© du charbon. Il est urgent que nous reconnaissions tous qui se cache rĂ©ellement derriĂšre ce camouflage Ă©cologique ! Subscribe to The Defender - It’s Free! Bio-piraterie “Une nation qui dĂ©truit ses sols se dĂ©truit elle-mĂȘme.” – Lettre du prĂ©sident Franklin D. Roosevelt Ă  tous les gouverneurs des États, fĂ©vrier 1937 Toute la recherche scientifique aussi bien qu’une longue tradition ont dĂ©montrĂ© que l’agroĂ©cologie basĂ©e sur la biodiversitĂ©, la libertĂ© des semences et la libertĂ© alimentaire est essentielle non seulement pour les libertĂ©s civiles et la dĂ©mocratie, mais aussi pour l’avenir de l’alimentation et de l’agriculture. Pendant des milliers d’annĂ©es, l’innovation des agriculteurs et la biodiversitĂ© ont Ă©voluĂ© ensemble pour crĂ©er les pratiques les plus efficaces en matiĂšre de production alimentaire durable et de biodiversitĂ©. L’étude phare des Nations unies rĂ©alisĂ©e en 2009 par l’Évaluation internationale des connaissances, des sciences et des technologies agricoles pour le dĂ©veloppement IAASTD documente les preuves irrĂ©futables attestant de l’échec abject de la “RĂ©volution verte” Gates/Rockefeller Ă  amĂ©liorer l’agriculture traditionnelle. L’IAASTD a mobilisĂ© une Ă©quipe de 900 scientifiques, agronomes et chercheurs de premier plan pour Ă©tudier la question de la faim dans le monde. Leur rapport complet et dĂ©finitif a montrĂ© que les cultures OGM ne sont pas la rĂ©ponse aux pĂ©nuries alimentaires ou Ă  la pauvretĂ© rurale. Ce rapport conclut formellement que ni la rĂ©volution verte de Gates, ni ses OGM ne peuvent nourrir le monde, et en mĂȘme temps protĂ©ger la planĂšte. L’analyse exhaustive de l’IAASTD dĂ©montre que la rĂ©volution verte lancĂ©e par la Fondation Rockefeller en Inde et au Mexique dans les annĂ©es 1960 a Ă©tĂ© une vĂ©ritable catastrophe ; la voie chimique des monocultures a sapĂ© la capacitĂ© de la Terre Ă  prĂ©server la vie et la production alimentaire en en dĂ©truisant aussi bien la biodiversitĂ© que le sol et l’eau, tout en aggravant le changement climatique Les politiques menĂ©es dans le cadre de la dite RĂ©volution verte compromettent la sĂ©curitĂ© alimentaire et nutritionnelle et dĂ©possĂšdent les petits agriculteurs en les endettant puisqu’ils doivent acheter des intrants importĂ©s. L’IAASTD et de nombreuses autres Ă©tudes montrent que la souverainetĂ© des semences, la souverainetĂ© alimentaire et la souverainetĂ© des connaissancessont le seul avenir viable pour l’alimentation et l’agriculture. Les Nations unies et les plus Ă©minents agronomes du monde ont admis que les OGM ne permettent pas de lutter contre la faim aussi efficacement que l’agriculture traditionnelle. Bill Gates a choisi de faire fi de cette rĂ©alitĂ©, rejetant toutes les preuves scientifiques existantes pour privilĂ©gier sa foi messianique selon laquelle il serait quasi l’envoyĂ© – de Dieu ? – sur terre pour sauver le monde par la technologie. Selon le Dr Gates, la bonne santĂ© ne peut que passer par une seringue il est le plus grand producteur de vaccins au monde. De mĂȘme, Farmer Bill prĂȘche que la bonne nourriture provient uniquement des monocultures, des pesticides et des engrais chimiques, des cultures OGM et des semences brevetĂ©es qu’il possĂšde. En construisant son empire agricole, Gates s’est montrĂ© Ă  plusieurs reprises prĂȘt Ă  faire fi de la voix des scientifiques et des agriculteurs, et Ă  fouler aux pieds les lois, les traitĂ©s, les traditions, les droits civils, la science et les sensibilitĂ©s. Vol de semences Depuis le dĂ©but de la la rĂ©volution nĂ©olithique, il y a environ 10 000 ans, les agriculteurs et les communautĂ©s ont constamment travaillĂ© pour amĂ©liorer le rendement, le goĂ»t, la nutrition, les qualitĂ©s de rĂ©sistance des semences qui favorisent une croissance optimale, la sauvegarde des vertus mĂ©dicinales et nutritionnelles, et la rĂ©silience gĂ©nĂ©tique grĂące auxquelles certaines semences peuvent pousser dans des conditions particuliĂšres des sols et de l’eau ou rĂ©sister aux prĂ©dateurs. Ces gĂšnes vigoureux et ingĂ©nieux sont le fruit d’une collaboration miraculeuse entre les humains, la nature et leur CrĂ©ateur au cours des 1000 gĂ©nĂ©rations d’innovations agricoles continues de l’humanitĂ©. Le libre Ă©change de connaissances et de semences entre les agriculteurs a permis de tout temps de prĂ©server la biodiversitĂ© et la sĂ©curitĂ© alimentaire. Depuis 1979, sous le parrainage de la Banque mondiale, un consortium de centres de recherche agricole connu sous le nom de Groupe consultatif pour la recherche agricole internationale CGIAR collecte ces semences de premier choix auprĂšs des petits agriculteurs du monde entier et les conserve dans 15 banques de semences publiques indĂ©pendantes, implantĂ©es dans diffĂ©rents pays. Cette initiative visait Ă  archiver un inventaire complet des stocks de semences du patrimoine au profit de l’humanitĂ© tout entiĂšre, afin de prĂ©server la diversitĂ© des cultures pour les millĂ©naires Ă  venir. Au cours des 17 derniĂšres annĂ©es, Gates a rĂ©ussi Ă  prendre le contrĂŽle de ces collections – comprenant 768 578 semences – et Ă  revendiquer le monopole des stocks de semences les plus importants au monde. À compter de 2003, en collaboration avec la Fondation Rockefeller, la Fondation Bill & Melinda Gates a versĂ© 720 millions de dollars au projet seed bank du CGIAR. En tant que principal bailleur de fonds du CGIAR, Gates a utilisĂ© son levier financier pour forcer la fusion des 15 centres juridiquement indĂ©pendants du CGIAR en une seule entitĂ© juridique, une sinistre initiative qu’il appelle “Gates Ag One”. Il s’est ensuite employĂ© Ă  orchestrer le transfert de la recherche et des semences des instituts de recherche scientifique vers des sociĂ©tĂ©s basĂ©es sur les matiĂšres premiĂšres comme Bayer et Cargill, avec lesquelles il est en partenariat. Ainsi, il pille et privatise les stocks de semences les plus prometteurs des agriculteurs locaux du monde entier. Le directeur de Gates Ag One, Joe Cornelius, est un ancien dirigeant de Bayer Crop Science. Auparavant, il Ă©tait directeur du dĂ©veloppement international de Monsanto. En collaboration avec Cornelius, Gates a perfectionnĂ© les techniques dont Monsanto a Ă©tĂ© le pionnier dans les annĂ©es 1980, lorsqu’il a menĂ© la campagne de propagation des OGM et de brevetage des semences. Gates s’est dĂ©signĂ© lui-mĂȘme comme commandant gĂ©nĂ©ral dans la guerre des pirates de Big Data pour saccager et monopoliser les informations gĂ©nĂ©tiques communes de millions de plantes cultivĂ©es par les paysans au cours des millĂ©naires. M. Gates finance le projet Diversity Seek DivSeek, un projet mondial qu’il a lancĂ© en 2015 pour cartographier les gĂ©nomes et les sĂ©quences des gĂ©nomes des stocks de graines paysannes conservĂ©s dans les banques de semences. DivSeek et Gates Ag One sont les pointes de ses harpons, qui “exploitent” les donnĂ©es sur les graines pour ” exproprier ” les biens communs. En d’autres termes – pour mettre fin aux revendications de propriĂ©tĂ© du public. GrĂące Ă  l’intelligence artificielle IA et aux technologies numĂ©riques, les larbins de Gates Ă  DivSeek et Gates AG One scannent ces graines et classent leurs donnĂ©es gĂ©nĂ©tiques pour cartographier, breveter et voler le patrimoine mondial de semences de l’humanitĂ©. M. Gates Ă©taye son argumentaire en matiĂšre de brevets en utilisant la technologie CRISPR pour modifier sĂ©lectivement les gĂ©nomes des semences patrimoniales, en apportant des modifications suffisantes pour rĂ©sister Ă  toute contestation de brevet. L’objectif principal de Gates est de sĂ©lectionner des variĂ©tĂ©s de la rĂ©volution verte conçues pour rĂ©pondre aux intrants chimiques produits par les partenaires du “cartel du poison” de Gates Monsanto, Bayer, Dow/DuPont, CropLife, BASF, Syngenta, Corteva, etc. Bref, Gates vole dĂ©libĂ©rĂ©ment aux graines leur intĂ©gritĂ© et leur diversitĂ©, effaçant ainsi toute l’histoire de l’évolution et de ses liens avec le sol, en rĂ©duisant le tout Ă  un simple “code”. Ainsi, Gates s’empare de la diversitĂ© gĂ©nĂ©tique de notre planĂšte, la réécrit, fait breveter son code, vole les semences Ă  l’humanitĂ© et les transmet aux conglomĂ©rats chimiques. En centralisant les banques de graines et en manipulant les lois sur la propriĂ©tĂ© intellectuelle, Gates a lancĂ© une campagne de “colonialisme gĂ©nĂ©tique” pour voler aux paysans du monde entier et aux agriculteurs locaux leurs semences et leurs connaissances durement acquises. Gates Ag One a pour objectif de prendre le contrĂŽle de la diversitĂ© gĂ©nĂ©tique de cette planĂšte », m’a confiĂ© le Dr. Vandana Shiva, militante pour la libertĂ© agricole. Selon Shiva, Gates “continue de corrompre et de saboter Ă  la fois la souverainetĂ© des agriculteurs sur les graines et la souverainetĂ© des pays sur les semences. Gates Ag One” est une dĂ©claration claire de son intention de crĂ©er un empire sur la vie et la biodiversitĂ©, sur l’alimentation et l’agriculture, et sur notre subsistance”. Dans ce processus, dit Shiva, “Gates finance des expĂ©riences diaboliques qui souillent la crĂ©ation de Dieu”. Les citoyens, les gouvernements et les organisations agricoles ont Ă©laborĂ© de nombreuses lois et les gouvernements ont adoptĂ© des traitĂ©s internationaux sur la protection de la biodiversitĂ©, notamment la Convention sur la diversitĂ© biologique CDB et le Protocole de CarthagĂšne sur la biosĂ©curitĂ© de la CDB. En manipulant les fonctionnaires, en dĂ©tournant le droit de la propriĂ©tĂ© intellectuelle et en réécrivant la rĂ©glementation sur les semences, M. Gates a rĂ©ussi Ă  contourner ou piĂ©tiner ces lois et traitĂ©s, et Ă  se soustraire aux structures de gouvernance multilatĂ©rales que les gouvernements ont mises en place pour empĂȘcher les multinationales de voler la biodiversitĂ© de la planĂšte et le patrimoine semencier des paysans et des agriculteurs. Organismes gĂ©nĂ©tiquement modifiĂ©s OGM La foi quasi religieuse de M. Gates en la technologie comme solution Ă  tous les maux de l’humanitĂ©, de l’insĂ©curitĂ© alimentaire et des maladies Ă  la santĂ© climatique, explique sa promotion obsessionnelle des OGM. Le zĂšle de M. Gates et son idolĂątrie des OGM et des technologies d’édition gĂ©nĂ©tique le rendent sourd tant aux montagnes de preuves scientifiques Ă©valuĂ©es dans nombre de publications qu’aux mises en garde des agronomes, nutritionnistes, toxicologues et autres scientifiques qui mettent en doute leur innocuitĂ©. Les vaccins et les mĂ©dicaments OGM sont les piliers de son entreprise de santĂ© publique, et M. Gates finance la recherche, le dĂ©veloppement et la prolifĂ©ration des OGM comme solution Ă  tous les problĂšmes agricoles. Il a financĂ©, par exemple, Emmanuelle Charpentier et Jennifer Doudna, les deux chimistes qui ont reçu le prix Nobel 2020 pour leur technique de modification du gĂ©nome CRISPR. Gates a Ă©galement Ă©tĂ© l’un des plus grands actionnaires de Monsanto , le promoteur le plus agressif au monde d’OGM et de pesticides. La vocation principale de Gates Ag One est de contrecarrer pratiquement toutes les Ă©valuations scientifiques et de sĂ©curitĂ© indĂ©pendantes dans une course aveugle pour imposer Ă  l’humanitĂ© les OGM non testĂ©s, les semences brevetĂ©es, les aliments synthĂ©tiques et les mĂ©dicaments expĂ©rimentaux de Gates. On pourrait s’attendre Ă  ce que sa participation dans Monsanto et ses partenariats avec des entreprisesd’aliments transformĂ©s, de produits chimiques et pĂ©troliers discrĂ©ditent les prĂ©tentions de Gates en tant que dĂ©fenseur de la santĂ© publique. Mais les investissements massifs de Gates dans le journalisme mĂ©diatique mars 2020 L’exposĂ© du magazine NationrĂ©vĂšle que la Fondation Gates a achetĂ© des gages de couverture mĂ©diatique favorable Ă  Gates Ă  hauteur de 250 millions de dollars en subventions aux mĂ©dias, y compris NBC/Universal, BBC, NPR, The Guardian, Le Monde, Der Spiegel, Al Jazeera, et bien d’autres “pour influencer les infos” l’ont mis Ă  l’abri de la vigilance et du scepticisme que les mĂ©dias appliquaient historiquement aux projets de profit diaboliques et Ă  l’hypocrisie des milliardaires fous du pouvoir. L’argent parle, et les milliards que Gates et ses alliĂ©s de Big Pharma versent chaque annĂ©e dans le journalisme de masse et la presse spĂ©cialisĂ©e ont fait de Gates le chouchou des mĂ©dias. Il utilise ses ” visites-tournĂ©es via le satellite ” bi-hebdomadaires des principales Ă©missions d’information du cĂąble et des rĂ©seaux pour dĂ©montrer son pouvoir hypnotisant Ă  obtenir des questions qui n’en sont pas, et la dĂ©fĂ©rence des animateurs obsĂ©quieux exception faite de Norah O’Donnell y compris Anderson Cooper CNN, David Muir ABC, Ari Melber MSNBC, et Chuck Todd NBC, qui accueille avec reconnaissance son auguste pronostic sur des sujets allant de la santĂ© publique Ă  l’économie en passant par la politique agricole. Échapper Ă  la rĂ©glementation gouvernementale La fortune et le pouvoir de Gates lui permettent Ă©galement de se soustraire aux efforts du gouvernement pour rĂ©glementer la prolifĂ©ration des OGM. En 2011, lorsque l’Inde a introduit un moratoire sur le coton Bt gĂ©nĂ©tiquement modifiĂ© et les plantes Roundup Ready, M. Gates a transfĂ©rĂ© ses activitĂ©s au Bangladesh. Lorsque la Cour EuropĂ©enne de Justice a statuĂ© que les organismes gĂ©nĂ©tiquement modifiĂ©s et les OGM devaient ĂȘtre fortement rĂ©glementĂ©s pour protĂ©ger la santĂ© publique, M. Gates a lancĂ© une campagne de lobbying en faveur de la dĂ©rĂ©glementation dans toute la communautĂ© europĂ©enne. M. Gates dĂ©ploie actuellement ses milliards pour orchestrer des attaques ciblĂ©es contre les lois sur les OGM et la modification gĂ©nĂ©tique dans de nombreux pays qui ont imposĂ© des normes de sĂ©curitĂ©. Lorsque les scientifiques et les autoritĂ©s de rĂ©glementationaffirment que le temps est essentiel pour Ă©valuer avec prĂ©cision la sĂ©curitĂ© de la modification gĂ©nĂ©tique et des OGM, M. Gates dĂ©clare que “le temps est l’ennemi”. En 2017, un groupe allemand de dĂ©fense des droits de l’Homme, la fondation Heinrich Böll Stiftung HBS, a publiĂ© les preuves d’une campagne secrĂšte de M. Gates visant Ă  contourner les restrictions imposĂ©es dĂ©mocratiquement sur ses expĂ©riences de modification gĂ©nĂ©tique Ă  haut risque. HBS a publiĂ© plus de 1 200 courriels que le groupe a obtenus en vertu des lois amĂ©ricaines sur la libertĂ© de l’information. Ces documents rĂ©vĂšlent que la Fondation Bill & Melinda Gates a recrutĂ© un groupe d’espionnage et de propagande Big Ag/Biotech pour monter une attaque d’infiltration sous couverture visant Ă  corrompre les fonctionnaires des Nations Unies et Ă  saboter les efforts internationaux pour interdire une nouvelle technologie diabolique appelĂ©e “gene drive”. Les Gene drives, ou “guidage de gĂšnes”, sont Ă  la pointe du gĂ©nie gĂ©nĂ©tique, de la biologie synthĂ©tique et de la modification gĂ©nĂ©tique. Ils reprĂ©sentent des outils de choix pour les eugĂ©nistes et pour ceux qui cherchent Ă  construire l’avenir transhumaniste » technocratique dĂ©fendu par Gates et ses copains de la Silicon Valley. Les scientifiques utilisent la technologie du CRISPR pour modifier les gĂšnes dans les chromosomes d’un organisme afin de reprogrammer l’ADN de maniĂšre Ă  dĂ©sactiver les principes du patrimoine gĂ©nĂ©tique et Ă  ” stimuler ” le trait introduit artificiellement dans une population entiĂšre et le transmettre Ă  toutes les gĂ©nĂ©rations futures. Leur capacitĂ© Ă  modifier de façon permanente le gĂ©nome d’une espĂšce entiĂšre fait du gĂšne le moteur de l’instrument biologique du pouvoir ultime. La technologie de manipulation gĂ©nĂ©tique pourrait faciliter les projets de M. Gates visant Ă  crĂ©er et Ă  breveter des espĂšces nouvelles et amĂ©liorĂ©es de plantes et d’animaux, ou Ă  exterminer des espĂšces qu’il rejette. Un de ses objectifs est d’utiliser des lecteurs de gĂšnes pour insĂ©rer »gĂšnes du suicide» pour Ă©radiquer des espĂšces entiĂšres de moustiques qui propagent le Virus Zika ou le paludisme , un objectif de la Target Malaria Project, dans lequel la Fondation Gates a investi 40 millions de dollars. Le Dr Anthony Fauci, un protĂ©gĂ© et partenaire de longue date de Gates et un fervent partisan de la recherche gĂ©nĂ©tique, a dĂ©clarĂ© Ă  StatNews, Se dĂ©barrasser d’eux serait une bĂ©nĂ©diction. » Les critiques affirment que les manipulations gĂ©nĂ©tiques reprĂ©sentent un risque existentiel pour la biosĂ©curitĂ© de l’humanitĂ© en raison de leur capacitĂ© Ă  modifier ou Ă  Ă©liminer des espĂšces entiĂšres et Ă  modifier les Ă©cosystĂšmes de maniĂšre dĂ©sastreuse. Ils constituent Ă©galement l’arme biologique ultime ; les esprits les plus sataniques des diverses agences militaires et de renseignement convoitent les gĂšnes pour produire des supersoldatsou pour fabriquer des “gĂšnes de l’apocalypse”. Les critiques craignent que les nations pourraient un jour utiliser des gĂšnes de gĂ©nocide » pour Ă©radiquer certaines races ou traits indĂ©sirables. Les dossiers de la Heinrich-Böll-Stiftung sur le guidage de gĂšnes » exposent le rĂŽle prĂ©pondĂ©rant de l’armĂ©e amĂ©ricaine dans le dĂ©veloppement de la technologie de manipulation gĂ©nĂ©tique. La Defense Advanced Research Projects Agency DARPA des États-Unis a dĂ©pensĂ© environ 100 millions de dollars pour la recherche sur le “guidage des gĂšnes”. Les autres investisseurs principaux de Gene Drive sont le National Institutes of Health NIH du Dr Fauci et la Fondation Bill & Melinda Gates, qui a investi 75 millions de dollars dans la recherche sur les gĂšnes du suicide et de la lutte contre la fertilitĂ©. Lors de la Convention des Nations Unies sur la diversitĂ© biologique COP 13 de 2016 Ă  CancĂșn, 179 organisations internationales, dont la Fondation Heinrich Böll, ont votĂ© pour que l’ONU impose un moratoire mondial sur les modifcations gĂ©nĂ©tiques. Les opposants Ă  cette technologie ont Ă©galement fait circuler une lettre intitulĂ©e Un appel Ă  la conservation avec une conscience Pas de place pour les manipulations gĂ©nĂ©tiques dans la conservation. » Les dĂ©fenseurs de l’environnement s’inquiĂštent des consĂ©quences non intentionnelles si les gĂšnes de suicide ou d’extinction font disparaĂźtre des espĂšces entiĂšres. Les courriels de la Gene Drive rĂ©vĂšlent qu’en rĂ©action Ă  la rĂ©solution de la COP 13, la Fondation Gates a engagĂ© “Emerging Ag“, une entreprise d’espionnage sinistre, avec ses propres liens avec les Big Pharma et Big Ag, pour saboter et mettre fin Ă  la coalition internationale diversifiĂ©e et unifiĂ©e qui s’oppose Ă  la Gene Drive. La Fondation Gates a versĂ© 1,6 million de dollars Ă  Emerging Ag pour recruter une coalition secrĂšte d’universitaires pour manipuler le processus dĂ©cisionnel de l’ONU au-dessus des pulsions gĂ©nĂ©tiques ». Les e-mails rĂ©vĂšlent que la campagne des Gates faisait partie du plan du milliardaire de »lutter contre les partisans du moratoire sur les gĂšnes. Emerging Ag a mobilisĂ© dans le secret 65 soi-disant “scientifiques indĂ©pendants” Ă  louer – appelĂ©s “biostitutes” dans le jargon de l’industrie – et des fonctionnaires Ă  un groupe d’experts en ligne, le Forum en ligne de la CDB des Nations Unies sur la biologie synthĂ©tique. Un haut responsable de la Fondation Gates a fourni Ă  ces agents vĂ©reux des instructions quotidiennes sur la maniĂšre de saboter les rĂšglements, de saper la science, de discrĂ©diter les dĂ©fenseurs, de corrompre le processus et de subvertir la dĂ©mocratie. Dans le cadre de sa campagne, Gates a financĂ© simultanĂ©ment un rapport de 2016 de la National Academy of Sciences des États-Unis approuvant le guidage gĂ©nĂ©tique. La DARPA a cofinancĂ© le rapport de blanchiment avec la Fondation Gates. Comme l’a notĂ© The GuardianaprĂšs la publication du rapport NAS La mĂȘme agence de recherche de la dĂ©fense amĂ©ricaine DARPA qui a payĂ© pour l’étude de la NAS a fait savoir qu’elle se consacrait entiĂšrement Ă  la recherche sur les gĂšnes et au dĂ©veloppement d’organismes synthĂ©tiques “robustes”. Il y a de sĂ©rieuses raisons de s’inquiĂ©ter”. Comme l’a fait remarquerJim Thomas du groupe ETC “Le fait que le dĂ©veloppement de la manipulation gĂ©nĂ©tique soit dĂ©sormais principalement financĂ© et structurĂ© par l’armĂ©e amĂ©ricaine soulĂšve des questions alarmantes sur l’ensemble de ce domaine”. Dans la foulĂ©e de sa campagne coordonnĂ©e avec Emerging Ag, la Fondation Gates a manipulĂ© trois membres, qui Ă©taient sous le contrĂŽle de Gates, du comitĂ© d’experts des Nations unies concernĂ©, connu sous le nom de AHTEG Ad Hoc Technical Expert Groupon Synthetic Biology. Gates et Emerging Ag ont rĂ©ussi et l’ONU a supprimĂ© le moratoire. Le rĂŽle de la Fondation Gates, rĂ©vĂ©lĂ© par les dossiers Gene Drives, consistant Ă  saboter la campagne du mouvement environnemental contre cette technologie dangereuse confirme que Gates et sa fondation sont un cartel hors-la-loi au mĂ©pris de la loi, de la dĂ©mocratie, de la science, du droit, de l’opinion publique, de la santĂ© publique et de la sĂ©curitĂ© de l’humanitĂ©. Subscribe to The Defender - It’s Free! La guerre chimique contre la santĂ© humaine Des indices de plus en plus nombreux montrent que les aliments cultivĂ©s et transformĂ©s industriellement que M. Gates prĂ©conise sont les principaux responsables des Ă©pidĂ©mies de maladies chroniques qui dĂ©vastent la santĂ© humaine et affaiblissent les enfants dans le monde entier. Les OGM les plus populaires au monde fonctionnent pour faciliter la pulvĂ©risation aĂ©rienne de pesticides. La technique de Monsanto consistant Ă  insĂ©rer des gĂšnes pour rendre les cultures agricoles rĂ©sistantes aux poisons qui tuent les mauvaises herbes permet Ă  Big Ag de licencier les ouvriers agricoles au sol, en les remplaçant par des avions ou des drones qui saturent les paysages et la nourriture de toxines en aĂ©rosol comme le glyphosate et les nĂ©onicotinoĂŻdes. Depuis la prolifĂ©ration des pesticides chimiques dans les annĂ©es 1940, plus de la moitiĂ© des oiseaux chanteurs des États-Unis ont disparu, la plupart des populations d’abeilles et d’insectes de par le monde se sont Ă©teintes et le taux de maladies chroniques en AmĂ©rique est passĂ© Ă  54 %, parallĂšlement Ă  l’utilisation accrue de pesticides. Comme l’a soulignĂ© Vandana Shiva, “Gates a dĂ©clarĂ© une guerre chimique non seulement contre la nature mais aussi contre les systĂšmes mĂ©taboliques de notre corps et la symbiose dans le microbiome intestinalavec son obsession des pesticides et des herbicides, et sa campagne pour faire passer l’humanitĂ© aux OGM”. Aliments synthĂ©tiques Soleil Vert, Soylent Gates’ Le pouvoir, le profit et la volontĂ© de contrĂŽle de M. Gates semblent ĂȘtre Ă  l’origine de son engagement Ă  synthĂ©tiser des aliments de laboratoire dits “trans-humains” et de ses investissements massifs dans la fabrication d’aliments transformĂ©s. Gates appelle la viande synthĂ©tique l’avenir de l’alimentation. » Il dĂ©tient des investissements dans des entreprises qui fabriquent des poulets et des Ɠufs Ă  base de plantes et d’autres qui fabriquent des aliments Ă  partir d’insectes. Gates possĂšde des brevets ou a des brevets en cours d’obtention pour plus de 100 animaux de substitution, du poulet au poisson. Il a investi des sommes considĂ©rables dans Motif FoodWorks, une entreprise qui fabrique une variĂ©tĂ© d’aliments et d’ingrĂ©dients de laboratoire synthĂ©tisĂ©s. Il a co-fondĂ© Breakthrough Energy en 2015 avec ses amis milliardaires Jeff Bezos, Michael Bloomberg et Mark Zuckerberg – le fameux “Pandemic Profiteers Club”. Les milliardaires amĂ©ricains ont augmentĂ© leur richesse de 1,1 trillionde dollars depuis le dĂ©but du lock-out, alors que le nombre d’AmĂ©ricains appauvris a augmentĂ© de 8 millions. Cette collaboration a des participations importantes dans Beyond Meat, dont ils sont copropriĂ©taires avec Tyson Foodset Cargill. Beyond Meatfabrique des tacos au poulet Ă  base de plantes, d’OGM et de pesticides. M. Gates et son Billionaire Boys Club ont Ă©galement des participations substantielles dans Impossible Foods, qui utilise la chaleur et la pression pour produire des hamburgers synthĂ©tiques et des saucisses genre bratwurst Ă  partir de soja OGM. Les rĂ©sultats de l’analyse en laboratoire montrent que l’ersatz de viande produit par cette sociĂ©tĂ© contient des niveaux de glyphosate 11 fois plus Ă©levĂ©s que son plus proche concurrent. Seth Itzkan de Soil4Climate a Ă©crit Impossible Foods devrait plutĂŽt se nommer “brevets impossibles”. Ce n’est pas de la nourriture, c’est du logiciel, de la propriĂ©tĂ© intellectuelle – 14 brevets, en fait, dans chaque bouchĂ©e d’Impossible Burger. C’est IFood, la prochaine application qui tue. Il suffit de tĂ©lĂ©charger votre saveur. C’est l’attrait qu’elle exerce probablement sur Bill Gates, leur super investisseur”. Une autre entreprise de Breakthrough, Memphis Meats, Ă©labore un produit Ă  base de viande artificielle sur un substrat de sang de veau. Un Bloomberg Ă  la hausse prĂ©dit que les revenus gĂ©nĂ©rĂ©s par la viande synthĂ©tique atteindront 3,5 milliards de dollars d’ici 2026. En juin 2020, la “Breakthrough Bros” a investi 3,5 millions de dollars dans Biomilq, une entreprise qui produit du lait maternel synthĂ©tique Ă  partir de “glandes mammaires humaines et de cellules Ă©pithĂ©liales cultivĂ©es”. M. Gates n’a pas expliquĂ© si le lait contiendra les anticorps maternels – prĂ©sents dans le vĂ©ritable lait maternel – qui ont pour fonction de protĂ©ger les nourrissons des maladies infectieuses, ou si les gĂ©nĂ©rations d’enfants Biomilq Ă  venir devront plutĂŽt compter sur les batteries supplĂ©mentaires de ses vaccins OGM. Sans se laisser impressionner, Vandana Shiva observe que Bill Gates “veut nous priver de bonnes protĂ©ines et de graisses saines et nous rendre accros Ă  ses dĂ©chets synthĂ©tiques cultivĂ©s en laboratoire”. Gates est le fondateur et le plus grand donateur de la filiale des Nations Unies, GAVI, une fausse agence gouvernementale qu’il a créée pour faire passer ses diaboliques concoctions chimiques, mĂ©dicales et alimentaires, et pour mener de sinistres expĂ©rimentations de vaccinssur les Africains et les Indiens. Depuis 2014, l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture, financĂ©e par la Fondation Gates Ă  hauteur de prĂšs de850 000 dollars, s’efforce de promouvoir l’utilisation de protĂ©ines À base d’insectes, destinĂ©s aux populations pauvres en particulier. GAVI dĂ©finit les guĂȘpes, les colĂ©optĂšres, les grillons et autres insectes comme des sources de nourriture ” insuffisamment exploitĂ©es “. Dans le sillage de M. Gates, GAVI estime que les insectes constitueront bientĂŽt un complĂ©ment alimentaire important pour les enfants pauvres et sous-alimentĂ©s. Probablement en prĂ©vision de ce grand jour, la Fondation Gates a investi dans une entreprise sud-africaine qui fabrique des protĂ©ines comestibles Ă  partir d’asticots cultivĂ©s. L’usine de cette sociĂ©tĂ© abrite un milliard de mouches et produit quotidiennement 22 tonnes d’asticots qui, eux, se nourrissent des dĂ©chets des abattoirs, des municipalitĂ©s et des mĂ©nages. Puisque les marchĂ©s ne sont pas encore prĂȘts pour les asticots comme nourriture humaine, Gates vend en attendant sa farine d’asticots Ă  des usines de transformation de la viande comme celles que possĂšde son partenaire, Tyson Foods, pour nourrir des poulets Ă©levĂ©s en batterie, et aux grandes piscicultures, comme celles appartenant Ă  Unilever, une multinationale de 58 milliards de dollars, qui est Ă  la fois un partenaire commercial de M. Gates et un bĂ©nĂ©ficiaire d’une subvention de son singulier organisme caritatif public. Comme Ă  son habitude, Gates a bien sĂ»r Ă©galement mobilisĂ© les agences internationales qu’il contrĂŽle et les grandes entreprises avec lesquelles il collabore pour mener Ă  bien son programme de faux produits alimentaires, notamment les programmes financĂ©s par le mĂȘme Gates, comme le Forum Ă©conomique mondial WEF, qui rĂ©unit chaque annĂ©e Ă  Davos les milliardaires du monde entier pour planifier et tracer l’avenir politique et Ă©conomique de l’humanitĂ©. Le prĂ©sident du WEF, Klaus Schwab, est l’auteur du livre influent “COVID-19″ The Great Reset”, la grande rĂ©initialisation, que le WEF a apparemment envoyĂ© non seulement Ă  la plupart des reprĂ©sentants politiques Ă©lus du monde entier, mais aussi aux responsables rĂ©gionaux. Schwab soutient que les puissants devraient profiter de la crise de la COVID pour imposer des contrĂŽles autoritaires, une surveillance omniprĂ©sente, de nouveaux modĂšles Ă©conomiques rĂ©pressifs et un gouvernement mondial Ă  une humanitĂ© en plein chaos, terrorisĂ©e et soumise. La Grande RĂ©initialisation est le plan du WEF pour reconstruire systĂ©matiquement une nouvelle Ă©conomie contrĂŽlĂ©e aprĂšs la pandĂ©mie covid-19. Schwab et le prince Charles ont dĂ©voilĂ© La Grande RĂ©initialisation » lors d’un sommet du WEF en mai 2020. C’est une vision pour transposer le monde dans un État de surveillance totalitaire et autoritaire, manipulĂ© par des technocrates en vue de gĂ©rer des populations traumatisĂ©es, de transfĂ©rer la richesse vers le haut et de desservir les intĂ©rĂȘts de l’élite que forment les oligarques milliardaires. Pour “rĂ©initialiser” les politiques alimentaires mondiales, le WEF a promu et s’est associĂ© Ă  une organisation appelĂ©e EAT Forum, qui se prĂ©sente comme le “Davos de l’alimentation”. Le co-fondateur de l’EAT est le Wellcome Trust, une organisation fondĂ©e, financĂ©e et stratĂ©giquement liĂ©e au fabricant de vaccins GlaxoSmithKline, laboratoire pharmaceutique dans lequel Gates a massivement investi. La plus grande initiative de EAT se nomme FReSH, que l’organisation dĂ©finit comme un outil pour piloter la transformation du systĂšme alimentaire. Les partenaires du projet sont Bayer, Cargill, Syngenta, Unilever et le gĂ©ant de la technologie Google. Le Forum EAT travaille avec ces multinationales pour “ajouter de la valeur aux affaires et Ă  l’industrie” et ” fixer l’agenda politique”. Pour faire avancer cette entreprise Ă  but lucratif, l’EAT collabore avec prĂšs de 40 administrations mĂ©tropolitaines en Europe, en Afrique, en Asie, en AmĂ©rique du Nord, en AmĂ©rique du Sud et en Australie. L’organisation aide Ă©galement le Fonds des Nations unies pour l’enfance UNICEF, financĂ© par Gates, Ă  Ă©laborer de nouvelles directives en matiĂšre d’alimentation et Ă  mettre en place des initiatives de dĂ©veloppement durable. Selon FrĂ©dĂ©ric Leroy, professeur de sciences nutritionnelles et de biotechnologie Ă  l’UniversitĂ© de Bruxelles, le rĂ©seau EAT travaille en Ă©troite concertation avec certaines des plus grandes sociĂ©tĂ©s spĂ©cialisĂ©es dans la viande artificielle, dont Impossible Foods et d’autres sociĂ©tĂ©s de biotechnologie, afin de remplacer les aliments nutritifs et sains par des mixtures gĂ©nĂ©tiquement modifiĂ©es issues des laboratoires de Gates. “Ils prĂ©sentent cela comme de la nourriture saine et durable, ce qui bien sĂ»r n’est ni l’un ni l’autre”, a dĂ©clarĂ© M. Leroy Ă  The Defender. Le Dr Shiva raille Ă©galement de la propagande constante de Gates qui prĂ©tend que ses viandes OGM servent Ă  nourrir les enfants et Ă  faire reculer le changement climatique “Ces aliments, ces contrefaçons fabriquĂ©es en laboratoire, sont en fait des brevets sur notre nourriture, et il n’est pas du tout question de nourrir les gens ou de sauver le climat, comme le prĂ©tendent M. Gates et ses amis biotechs. Le programme alimentaire proposĂ© par EAT n’a rien Ă  voir avec de la nutrition, mais beaucoup en revanche avec les multinationales et le rachat du systĂšme alimentaire par ces derniĂšres”. prĂ©cisĂ© “Des sociĂ©tĂ©s comme Unilever et Bayer et d’autres compagnies pharmaceutiques sont dĂ©jĂ  des transformateurs chimiques, donc beaucoup de ces firmes sont trĂšs bien placĂ©es pour profiter de ce nouveau commerce alimentaire qui tourne autour de la transformation des produits chimiques et des ingrĂ©dients nĂ©cessaires Ă  la production de ces aliments fabriquĂ©s en laboratoire Ă  l’échelle mondiale”. DenrĂ©es alimentaires enrichies Les aliments de synthĂšse et les OGM ont tendance Ă  ĂȘtre pauvres en micronutriments vitaux pour la santĂ© humaine. Le glyphosate, par exemple, fonctionne comme un chĂ©lateur. *Produit chimique qui forme avec les ions positifs bi- et trivalents notamment les mĂ©taux lourds toxiques des complexes stables, non toxiques, Ă©liminables, dans les urines. Les chĂ©lateurs sont surtout utilisĂ©s dans le traitement des intoxications par les mĂ©taux et les corps radioactifs. Il tue les adventices en Ă©liminant par lessivage les Ă©lĂ©ments minĂ©raux constitutifs de la vie. Les cultures agricoles exposĂ©es au glyphosate ont une valeur nutritionnelle bien infĂ©rieure Ă  celle des aliments naturels. Les personnes qui se nourrissent des aliments transformĂ©s, artificiels et Ă  base d’OGM de Gates peuvent avoir l’estomac plein, tout en souffrant, cliniquement parlant, de malnutrition. M. Gates se dĂ©pĂȘche de rĂ©soudre ce problĂšme en achetant des technologies et en s’associant Ă  des entreprises comme Roche et Kraftqui ajoutent artificiellement des minĂ©raux et des vitamines aux aliments qu’ils commercialisent. Il travaille en parallĂšle Ă  la promotion de lois dans les pays en dĂ©veloppementpour rendre obligatoire ce type de fortification alimentaire. Ces lois profitent aux fabricants de pesticides et de produits alimentaires transformĂ©s au dĂ©triment des paysans qui travaillent de maniĂšre traditionnelle et en agriculture biologique. Comme des entreprises amĂ©ricaines comme Roche, Kraft, General Foods et Philip Morris produisent dĂ©jĂ  leur fromage fondu et leurs cĂ©rĂ©ales en les “fortifiant”, elles sont bien sĂ»r les partenaires enthousiastes de M. Gates dans cette arnaque Ă  grande Ă©chelle. J’ai dĂ©jĂ  assistĂ© Ă  une arnaque de cette envergure d’un autre escroc issu de la Big Food dans ma carriĂšre. En 2003, je reprĂ©sentais des milliers de petits exploitants agricoles polonais dans lalutte contre l’implantation de porcheries industrielles de Smithfield Foods en Pologne. Le vice-premier ministre polonais, Andrzej Lepper, m’a racontĂ© que les responsables de Smithfield lui avaient offert un pot-de-vin d’un million de dollars pour soutenir une loi obligeant les abattoirs Ă  installer des technologies d’hygiĂšne de pointe, notamment des robinets de toilettes Ă  fonctionnement laser. Smithfield savait pertinemment que cette loi aurait pour effet de faire fermer les 2 600 abattoirs familiaux qui fabriquaient la saucisse de kielbasa, spĂ©cialitĂ© polonaise. En Ă©tant alors la seule sociĂ©tĂ© qui puisse se permettre d’acheter ces lasers, Smithfield obtiendrait ainsi le contrĂŽle exclusif de la totalitĂ© des abattoirs polonais et des exportations lucratives de kielbasa. Gates a empruntĂ© ses rĂ©glementations sur la fortification des aliments au manuel de Smithfield. En exigeant que tous les aliments soient obligatoirement fortifiĂ©s, les produits Kraft comme le Cheez Whiz et l’American Singles, et ses produits Kool-Aidet Tang contenant des supplĂ©ments vitaminiques, se mettent en position de remplacer le fromage de chĂšvre et le lait de chĂšvre produits localement sur les marchĂ©s des villages et de mettre les petits agriculteurs africains en faillite. Pour faire avancer son programme d’aliments fortifiĂ©s obligatoires, M. Gates a créé une autre de ses organisations quasi-gouvernementales incontournables, la Global Alliance for Improved Nutrition GAIN visant Ă  aider les multinationales alimentaires partenaires commerciaux de Gates Ă  faire pression pour obtenir des tarifs et des taux d’imposition favorables pour les aliments transformĂ©s et fortifiĂ©s, ainsi qu’un examen accĂ©lĂ©rĂ© de la rĂ©glementation de ses nouveaux produits dans les pays ciblĂ©s. Le consortium GAIN de Gates donne Ă©galement de l’argent aux gouvernements locaux pour stimuler la demande d’aliments fortifiĂ©s, par le biais de campagnes de relations publiques Ă  grande Ă©chelle, ou en offrant des labels d’approbation» gouvernementaux pour les produits alimentaires de ces sociĂ©tĂ©s. Gates, GAVI et GAIN Gates a modĂ©lisĂ© son projet GAIN d’aprĂšs son programme mondial de vaccins d’un milliard de dollars GAVI. En se faisant passer pour une agence de santĂ© publique, GAVI a rĂ©ussi Ă  mobiliser les agences publiques et l’industrie privĂ©e pour Ă©couler avec profit des vaccins non testĂ©s, expĂ©rimentaux ou discrĂ©ditĂ©s, et souvent mortels, afin d’inoculerdes enfants pauvres dans les pays en dĂ©veloppement. Suivant le modĂšle GAVI, M. Gates a lancĂ© son programme GAIN de 70 millions de dollars lors de la Session extraordinaire de l’AssemblĂ©e gĂ©nĂ©rale des Nations Unies sur les enfants. GAIN collabore notamment avec les agences des Nations unies contrĂŽlĂ©es par Gates, telles que la Banque mondiale, l’Organisation mondiale de la santĂ© et l’UNICEF, ainsi qu’avec les grandes sociĂ©tĂ©s de produits alimentaires transformĂ©s comme Philip Morris et Kraft, dans lesquelles il a investi. Selon Vandana Shiva, l’objectif de GAIN est de “coordonner les campagnes qui font pression sur les pays africains et asiatiques pour qu’ils accordent des subventions absolument indĂ©centes, des allĂšgements fiscaux et des exemptions tarifaires ainsi que d’autres privilĂšges aux aliments industriels”. Certains experts sont prĂ©occupĂ©s par le fait que Bill Gates et les multinationales alimentaires s’associent pour coloniser les systĂšmes alimentaires des pays sous-dĂ©veloppĂ©s et vendre des aliments transformĂ©s sous la banniĂšre de la santĂ© publique. Le Dr Mark Hyman, auteur Ă  succĂšs du New York Times et responsable de la StratĂ©gie et de l’Innovation au Centre de mĂ©decine fonctionnelle de la Clinique de Cleveland, m’a dit ” 
 bien qu’ils soient parfois enrichis en vitamines et minĂ©raux, les aliments transformĂ©s sont chargĂ©s de sucre, d’amidon, d’huiles transformĂ©es, de colorants artificiels, de conservateurs, de pesticides et de sodium, qui contribuent au double fardeau de l’obĂ©sitĂ© et de la malnutrition, et Ă  l’épidĂ©mie de maladies chroniques. Dans le monde, 11 millions de personnes meurent chaque annĂ©e Ă  cause d’un excĂšs en aliments ultra-traitĂ©s et d’un manque d’aliments complets protecteurs, ce qui fait des aliments transformĂ©s la premiĂšre cause de mortalitĂ© dans le monde”. Dr Hyman appelle ces aliments lecontraire » de la nutrition. Shiva est bien d’accord avec lui “Le programme GAIN”, dit-elle, “vise moins Ă  rĂ©soudre la malnutrition qu’à forcer les nations pauvres Ă  ouvrir l’accĂšs Ă  leurs marchĂ©s, et Ă  anĂ©antir les producteurs locaux”. “Les aliments dits enrichis sont des solutions techniques illusoires Ă  des problĂšmes socio-Ă©conomiques complexes. Des solutions sociales et Ă©conomiques fonctionneraient mieux Ă  long terme”, affirme le professeur Marion Nestle. Marion Nestle, professeur Ă©mĂ©rite au dĂ©partement Nutrition, Ă©tudes alimentaires et santĂ© publique », Ă  l’universitĂ© de New York chaire Paulette Goddard, est l’icĂŽne vĂ©nĂ©rĂ©e de l’alimentation et de la nutrition. Nestle, l’auteur de Food Politics How the Food Industry Influences Nutrition and Health, m’a dit “À une exception prĂšs, le sel iodĂ©, les aliments enrichis coĂ»tent trop cher, n’atteignent pas les objectifs fixĂ©s ou ont une portĂ©e trop limitĂ©e pour faire ce qu’ils sont censĂ©s faire. Je considĂšre que ces lois rĂ©solvent un problĂšme pour les entreprises qui fabriquent ces produits, mais ne remĂ©dient pas aux carences en nutriments et en calories. Je ne suis pas un fan des aliments enrichis. Je souhaite qu’une grande variĂ©tĂ© d’aliments naturels soit rendue plus disponible et moins chĂšre, et qu’ils soient produits localement. Je suis donc d’accord avec les critiques. Je souhaite que la Fondation Gates investisse dans des projets visant Ă  promouvoir la production alimentaire locale Ă  petite Ă©chelle”. Intelligence artificielle Ou comment dĂ©barrasser le monde des agriculteurs Gates dit qu’il veut relancer l’économie agricole entransformant l’agriculturegrĂące Ă  une IA de haute technologie trĂšs efficace pour crĂ©er les “fermes du futur”. Selon Gates “Autrefois, nous devions tous aller cultiver la terre. Nous avions Ă  peine de quoi manger, quand le temps Ă©tait mauvais, les gens mouraient de faim. Maintenant, grĂące Ă  de meilleures semences, des engrais, beaucoup de choses, la plupart des gens ne sont plus agriculteurs. Et donc l’IA va nous apporter une nouvelle productivitĂ© formidable.” Par-dessus tout, il veut que tout cela soit mis rapidement en place. L'”accĂ©lĂ©ration informatique” de M. Gates permettrait d’accĂ©lĂ©rer l’adoption de ces innovations bĂ©nĂ©fiques pour rĂ©aliser ses projets ambitieux en apportant des percĂ©es scientifiques aux petits agriculteurs avant que le changement climatique ne dĂ©truise leurs rĂ©coltes. Mais Shiva met en garde les agriculteurs amĂ©ricains, dĂ©jĂ  noyĂ©s sous les dettes, de se mĂ©fier des promesses de Gates de leur lancer un hameçon “Lorsque Bill Gates a imposĂ© ses technologies de “sauvetage” diaboliques aux agriculteurs indiens, les seuls Ă  en bĂ©nĂ©ficier ont Ă©tĂ© Gates et ses partenaires multinationaux. Il a donnĂ© de l’argent au gouvernement et Ă  une entreprise appelĂ©e Digital Green, et il a fait des promesses extravagantes, entre autres de transformer l’agriculture indienne grĂące au numĂ©rique. Ensuite, la coopĂ©ration avec les fonctionnaires gouvernementaux achetĂ©s. “Bill Gates a installĂ© des camĂ©ras et des capteurs Ă©lectroniques dans les maisons et les champs des agriculteurs indiens. Il a utilisĂ© leurs tĂ©lĂ©phones portables, qu’il leur a donnĂ©s gratuitement, et ses installations Ă  fibre optique et 5G – qu’il a persuadĂ© la sociĂ©tĂ© indienne de tĂ©lĂ©communications de financer – pour cataloguer, Ă©tudier et voler gratuitement les donnĂ©es sur les rĂ©coltes des agriculteurs, les pratiques locales et les connaissances agricoles. Puis il les leur a revendues comme de nouvelles donnĂ©es. Au lieu de transformer numĂ©riquement les exploitations agricoles comme il l’avait promis, il a transformĂ© les agriculteurs indiens en informations numĂ©riques. Il a privatisĂ© leurs semences et rĂ©coltĂ© le travail du systĂšme public. Il les a dĂ©pouillĂ©s de leur capital de connaissances et de leur patrimoine hĂ©rĂ©ditaire gĂ©nĂ©tique, et il a installĂ© des semences OGM ainsi que diverses autres pratiques insensĂ©es”. Shiva ajoute “Son programme clair Ă©tait de chasser les petits agriculteurs de leurs terres et, Ă  terme, de mĂ©caniser et de privatiser la production alimentaire”. Christian Westbrook, chercheur agricole et fondateur du podcast en ligne Ice Age Farmerse donne du courage en mentionnant le fait que les agriculteurs amĂ©ricains connaissent l’identitĂ© de Bill Gates “Nous sommes conscients des prĂ©judices qu’il a causĂ©s aux petits agriculteurs du Mexique, d’Afrique et de l’Inde. Nous savons que ses rĂ©cents achats de terres ici ne sont que le dĂ©but de la RĂ©volution verte Il veut faire disparaĂźtre le caractĂšre vĂ©ritablement dĂ©mocratique des paysages champĂȘtres amĂ©ricains et de nos familles de paysans – pour nous voler nos moyens de subsistance, nos connaissances, nos graines et nos terres”. Westbrook prend note du fait que, comme tous les malfaiteurs, Gates est toujours trĂšs pressĂ© “Sa stratĂ©gie est de faire en sorte que tout le monde avance si vite en besogne, que personne ne puisse voir l’arnaque. Il nous dit toujours que le changement climatique ne peut pas attendre, que nous devons accĂ©lĂ©rer l’accĂšs Ă  ces produits et l’adoption de ses technologies, que la recherche n’avance pas assez vite”. Westbrook m’a dit que le discours sans fin de M. Gates sur “l’accĂ©lĂ©ration du processus” et ses promesses extravagantes de nouvelles technologies miraculeuses, d'”investissements” et de partenariats “public-privĂ©â€ font toutes partie de son escroquerie. Il ne cesse de dire Ă  tout le monde que nous avons besoin d’accĂ©lĂ©rer, d’accĂ©lĂ©rer, d’accĂ©lĂ©rer. » Beaucoup d’agriculteurs disent qu’ils ne tiennent absolument pas Ă  ĂȘtre sauvĂ©s par Gates. Westbrook dit qu’il pense que Gates a l’intention de faire de ses exploitations coloniales amĂ©ricaines des fleurons – des vitrines pour sa gamme de technologies numĂ©riques destinĂ©es aux agriculteurs amĂ©ricains. “Il le fait pour les mĂȘmes raisons qui l’ont poussĂ© Ă  apporter sa technologie dans les fermes indiennes – pour voler leur savoir, et les dĂ©loger de leurs terres.” Trent Loos, un Ă©leveur en sixiĂšme gĂ©nĂ©ration et activiste agricole du Midwest, m’a dit que les agriculteurs ont une rĂ©action instinctive contre les milliardaires qui “jouent au Monopoly” avec les terres agricoles amĂ©ricaines “Il est difficile pour de jeunes agriculteurs, voire pour ceux qui travaillent dans l’agriculture depuis des gĂ©nĂ©rations, de rivaliser avec des personnes qui ont les poches si bien garnies. Cela constitue assurĂ©ment une entrave pour eux. Lorsque des personnes possĂ©dant ce type de richesse commencent Ă  acheter des fermes, on se demande ce qu’elles manigancent vraiment. Personne ne veut louer de terres Ă  Bill Gates, ou travailler comme son mĂ©tayer”. Westbrook dit qu’il pense que Gates poursuit un dessein beaucoup plus sombre encore. Tout comme Shiva, Westbrook pense que Gates et les autres gentlemen voleurs de son acabit utilisent les prĂ©textes du climat, de la biodiversitĂ© et de la menace de pandĂ©mie zoonotique pour Ă©liminer les ĂȘtres humains de la filiĂšre agricole et les chasser de leurs propriĂ©tĂ©s. Et il y a suffisamment de donnĂ©es pour le prouver. La Fondation Gates est largement impliquĂ©e dans Alphabet, la sociĂ©tĂ© mĂšre de Google. Dans le cadre de son projet “Mineral”, Alphabet a inventĂ© des robots “renifleurs de rĂ©coltes”, conçus pour remplacer les agriculteurs et les Ă©leveurs. Son projet “Moonshot” consiste Ă  “dĂ©velopper et tester une sĂ©rie de prototypes logiciels et matĂ©riels basĂ©s sur des avancĂ©es en matiĂšre d’intelligence artificielle, de simulation, de capteurs, de robotique, etc. Moins d’un an aprĂšs avoir achetĂ© Whole Foods, Jeff Bezos – et Gates a un investissement considĂ©rable dans Amazon – a Ă©galement investi massivement dans des fermes verticales contrĂŽlĂ©es par des robots qui minimisent Ă©galement l’implication humaine dans l’agriculture. Westbrook dit “Il veut faire disparaĂźtre les gens des fermes, faire disparaĂźtre les animaux, et nous faire tous manger sa viande Ă  base de plantes et de protĂ©ines d’insectes”. “Gates parle de l’agriculture comme d’un vestige archaĂŻque, pittoresque, sale, dangereux, inefficace et barbare, passĂ©iste, qui nous menacerait en augmentant la menace du changement climatique et les risques de pandĂ©mies mondiales tout en mettant les humains en contact dangereux avec des microbes”, dĂ©clare Howard Vlieger, un agriculteur de l’Iowa qui a travaillĂ© comme consultant en cultures et en bĂ©tail aux États-Unis et au Canada depuis 1992. Subscribe to The Defender - It’s Free! Vlieger est un expert des impacts des pesticides et des OGM sur les produits alimentaires et les sols. “L’objectif de M. Gates est d’éloigner le monde “d’une agriculture animale durable et humaine qui valorise notre contact avec le sol et trouve un bon Ă©quilibre dans notre interaction respectueuse avec la nature – pour le rapprocher des vaches artificielles et d’un sinistre paradigme chimique qui sont autant de caractĂ©ristiques de la dystopie du haut vers le bas. Sa vision est celle d’une alimentation contaminĂ©e et malsaine et d’une sĂ©paration entre l’homme et la nature”. “Gates semble n’avoir aucune idĂ©e de la joie que les gens ordinaires – des gens comme notre famille – ressentent en pratiquant l’agriculture”, m’a dit Nicolette Niman. Niman est Ă©leveuse et agricultrice en Californie, et l’auteur des livres “Righteous Porkchop” et “Defending Beef”. Son mari Bill est le fondateur du Niman Ranch, une coopĂ©rative de centaines de petits Ă©leveurs amĂ©ricains de bovins et de porcs respectueux de la durabilitĂ©, qui commercialisent du bƓuf et du porc biologiques de haute qualitĂ© provenant d’exploitations herbagĂšres durables. L’agriculture et lĂ©levage rĂ©gĂ©nĂ©ratifs enrichissent considĂ©rablement la vie des hommes. C’est un travail stimulant, fondĂ© sur notre contact intime avec la terre. Au mieux, une bonne agriculture est une quĂȘte pour comprendre et suivre les modĂšles de la nature”, a dĂ©clarĂ© Niman. Niman dit aussi que Gates semble s’intĂ©resser fort peu Ă  la sagesse de la nature “Il ne semble pas comprendre que notre engagement vis-Ă -vis de la terre, et la joie que nous retirons de notre contact avec elle, notre relation complexe avec nos animaux, mĂȘme avec toutes les Ă©preuves et les difficultĂ©s que nous pouvons rencontrer, sont les sources-mĂȘmes de notre libertĂ©, de notre dignitĂ©, et de notre bonheur d’ĂȘtre les maĂźtres de notre destin. “Nous devons crĂ©er un monde qui respecte la souverainetĂ© individuelle, le traitement respectueux des animaux et la protection de nos sols. Nous devons comprendre qu’une relation saine avec la nature n’est pas seulement vitale pour notre santĂ© et notre climat, c’est aussi la source de notre dignitĂ©, de notre libertĂ© et de notre prospĂ©ritĂ© Ă  l’ùre post-industrielle”. En utilisant des technologies de pointe, tous ces militants de divers continents ont exprimĂ© leur malaise face Ă  la tendance de Gates Ă  considĂ©rer la population, plutĂŽt que les gens, et Ă  considĂ©rer la gestion de la population comme un problĂšme qui aurait un besoin urgent de ses solutions technologiques Ă  lui. Gates voit la forĂȘt, pas les arbres », observe Vlieger. “Et mĂȘme lorsqu’il regarde la forĂȘt, il semble n’y voir que des planches de bois – et comment il pourrait tirer parti des espaces naturels pour faire de l’argent et commercialiser les gens. Vlieger poursuit “L’habitude de Gates de voir chaque dĂ©fi humain Ă  travers la lorgnette d’une solution technologique quelconque dont il pourrait tirer profit va bien au-delĂ  de la myopie. C’est de la pathologie – de la sociopathologie, pour ĂȘtre prĂ©cis. Gates est un sociopathe dangereusement puissant qui dispose de 137 milliards de dollars et qui a la vision d’une technocratie du haut vers le bas. Est-ce que cela n’inquiĂšte personne ?” Westbrook affirme que Gates, Cargill et Tyson sont un puissant cartel qui a pour mission de mettre fin Ă  l’agriculture animale et d’expulser les ĂȘtres humains des fermes. Il s’agit en fait d’une agriculture de remplacement », dit M. Westbrook. “Ils utilisent mĂȘme ce terme, d’ “agriculture alternative”.” La vision de Westbrook sur l’avenir dystopique du totalitarisme technocratique envisagĂ© par Bill Gates pourrait ressembler Ă  une thĂ©orie conspirationniste sans fondement – Ă  condition toutefois de faire fi de tous les faits qui viennent l’étayer. Il prĂ©dit que nous assisterons trĂšs bientĂŽt – dans quelques mois, et non dans des annĂ©es – Ă  des pĂ©nuries alimentaires artificielles et Ă  des pressions visant Ă  faire disparaĂźtre, puis Ă  “amĂ©liorer” les paysages ruraux en laissant les terres agricoles tourner au ralenti et en remplaçant les emplois agricoles par des robots et l’intelligence artificielle. Westbrook prĂ©dit Ă©galement les actions menĂ©es par les gouvernements pour pousser les populations vers les mĂ©ga-citĂ©s et les villes intelligentes oĂč les entreprises sont fermĂ©es, les emplois rares et oĂč la plupart d’entre nous dĂ©pendront d’un revenu de base universel payĂ© en devises numĂ©riques – rĂ©vocable, bien sĂ»r, en cas de non-conformitĂ© et de dĂ©sobĂ©issance. Westbrook dĂ©crit un scĂ©nario “oĂč le bĂ©tail humain dĂ©pend entiĂšrement du gouvernement pour l’argent et la nourriture, et oĂč tous les gens sont tous regroupĂ©s au mĂȘme endroit dans les villes intelligentes et donc aisĂ©ment surveillĂ©s par les technocrates de la Grande RĂ©initialisation de Gates”. Westbrook enchaĂźne “Ils sont en train de suspendre la production alimentaire et, plus largement, ils ferment toute activitĂ© Ă©conomique, toute activitĂ© humaine, en nous enfermant dans leurs villes intelligentes. C’est assez effroyable. Et maintenant que nous avons ces pandĂ©mies, nous avons dĂ» appliquer la loi martiale mĂ©dicale, et puisque tout cela est une crise sanitaire, nous allons Ă©galement devoir prendre en charge toutes vos productions alimentaires et vos besoins nutritionnels. Ils ont conjuguĂ© ces deux aspects”. Le temps nous dira si le cauchemar dĂ©crit par Westbrook n’est qu’une thĂ©orie complotiste parano – j’ose l’espĂ©rer. Sommet sur les systĂšmes alimentaires En 2009, Bill Gates, un milliardaire non Ă©lu, sans fonction gouvernementale ni portefeuille diplomatique, a lancĂ© son entreprise mondiale de vaccins par un discours aux Nations unies. Il a annoncĂ© le versement de 10 milliards de dollars et a proclamĂ© le lancement de sa “DĂ©cennie des vaccins“. Son projet s’est dĂ©roulĂ© comme sur des roulettes. Les contributions financiĂšres de Monsieur Gates lui ont permis d’exercer un contrĂŽle absolu sur l’OMS. Comme l’ont rapportĂ© les services des Affaires Ă©trangĂšres, “Peu d’initiatives politiques ou de normes Ă©tablies par l’Organisation mondiale de la santĂ© sont annoncĂ©es avant d’avoir Ă©tĂ© officieusement approuvĂ©es par le personnel de la Fondation Gates”. M. Gates a créé et financĂ© de puissantes fausses agences gouvernementales comme PATH, GAVI, CEPI et la Brighton Collaboration, afin de promouvoir les vaccins dans les pays en dĂ©veloppement, de consolider son contrĂŽle sur la santĂ© publique et de prĂ©parer le terrain pour le putsch mondial sur les vaccins qu’il avait prĂ©vu pour 2020. En janvier 2019, lOMS a soigneusement dĂ©clarĂ© – en ne citant aucune preuve spĂ©cifique – que “l’hĂ©sitation Ă  se faire vacciner” Ă©tait l’une des principales menaces pour la santĂ© mondiale. Le cartel mĂ©dical de Gates a repris cette dĂ©claration avec des campagnes orchestrĂ©es dans tous les États amĂ©ricains et dans des pays du monde entier par des politiciens financĂ©s par l’industrie pharmaceutique qui ont introduit des lois pour rendre les vaccins obligatoires et mettre fin aux exemptions. Deux mois plus tard, le puissant prĂ©sident de la commission du renseignement de la Chambre des reprĂ©sentants, Adam Schiff – un autre des bĂ©nĂ©ficiaires financiers de Gates – a exigĂ© que les mĂ©dias sociaux et les sociĂ©tĂ©s de mĂ©dias commencent Ă  censurer la “dĂ©sinformation sur les vaccins” – un euphĂ©misme pour toute affirmation qui s’écarterait des dĂ©clarations officielles de l’industrie pharmaceutique et du gouvernement. M. Gates a des intĂ©rĂȘts considĂ©rables dans Google, Apple, Amazon et Facebook. Ces compagnies ont toutes commencĂ© Ă  censurer allĂšgrement toute critique au sujet des vaccins. Un an plus tard, l’épidĂ©mie de COVID-19 a fourni Ă  Gates et Ă  son cartel du vaccin une occasion bien pratique de consolider leur contrĂŽle sur l’humanitĂ© tout entiĂšre. Un article de Derrick Broze paru en mai 2020 dans The Last American Vagabond observe que “En retraçant les investissements de sa Fondation et les relations de Gates, nous constatons que pratiquement chaque personne impliquĂ©e dans la lutte contre COVID-19 est liĂ©e Ă  Gates ou Ă  sa Fondation au moins Ă  deux niveaux”. Leur relation a donnĂ© Ă  Bill Gates et Ă  sa Fondation une influence sans prĂ©cĂ©dent sur la maniĂšre de faire face Ă  cette pandĂ©mie. M. Gates a dĂ©clarĂ© Ă  plusieurs reprises, lors d’apparitions sur pratiquement tous les rĂ©seaux, sur toutes les Ă©missions du cĂąble et sur toutes les plateformes mĂ©diatiques, que toute activitĂ© Ă©conomique devrait cesser jusqu’à ce que les 7 milliards d’ĂȘtres humains soient vaccinĂ©s et possĂšdent des passeports de vaccination. Sa “DĂ©cennie de la Vaccination” proclamĂ©e lors de son apparition Ă  l’ONU en 2009 s’est donc dĂ©roulĂ©e sans le moindre heurt. Sous la houlette de l’ancien protĂ©gĂ© et fidĂšle partisan de M. Gates, M. Fauci, le ministĂšre amĂ©ricain de la santĂ© et des services sociaux a organisĂ© la garantie de non-responsabilitĂ© pour les vaccins COVID et a affectĂ© 48 milliards de dollars de l’argent des contribuables Ă  l’achat et Ă  la distribution d’une sĂ©rie de nouveaux vaccins expĂ©rimentaux, dont beaucoup appartiennent Ă  M. Gates. Le contrĂŽle complet du processus par M. Gates a donc ainsi pu ĂȘtre menĂ© Ă  bien. La mise en Ɠuvre de sa dĂ©claration prĂ©dictive de vaccination aura Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e de maniĂšre Ă©lĂ©gante et sans faille. Et maintenant, les substituts de Gates dĂ©ploient le mĂȘme scĂ©nario pour faire avancer son programme alimentaire totalitaire. Lors de la sĂ©ance plĂ©niĂšre des 14 et 18 octobre de la 46e session du ComitĂ© de la sĂ©curitĂ© alimentaire mondiale des Nations unies, le secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral de l’ONU, AntĂłnio Guterres, a annoncĂ© la prĂ©paration d’un sommet des Nations unies sur les systĂšmes alimentaires en 2021. AntĂłnio Guterres a admis que le sommet avait Ă©tĂ© demandĂ© conjointement par l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture FAO, le Fonds international de dĂ©veloppement agricole FIDA, le Programme alimentaire mondial PAM et le Forum Ă©conomique mondial FEM. Bill Gates via sa fondation finance grassement et contrĂŽle ces quatre organisations. Le sommet des Nations unies consacrĂ© aux systĂšmes alimentaires a effectivement annoncĂ© un programme parallĂšle Ă  celui lancĂ© par le WEF lorsqu’il a accueilli sa ConfĂ©rence du Great Reset, grande réénitialisation, en juin 2020. Dans le cadre de ses investigations sur le Sommet des Nations unies consacrĂ© aux systĂšmes alimentaires, AGRA Watch le groupe de dĂ©fense des intĂ©rĂȘts de la population qui suit de trĂšs prĂšs les activitĂ©s de Gates et de sa fondation depuis l’échec de sa RĂ©volution verte en Afrique a dĂ©couvert que parmi les 12 personnes participant au Sommet, 11 avaient des liens Ă©troits avec la Fondation Gates. Selon Heather Day, de AGRA Watch, dans certains cas, ces organisations ont Ă©tĂ© directement financĂ©es par la Fondation Gates ainsi que par d’autres programmes spĂ©cifiques financĂ©s par Gates, et qui ont jouĂ© un rĂŽle prĂ©pondĂ©rant “Donc il faut non seulement parler de Bill Gates, mais bien de tous les participants, qui travaillent presque tous pour lui. Ce sont eux les initiateurs du sommet des Nations unies sur les systĂšmes alimentaires”. Lors de la nomination de Kalibata, plus de 500 organisations ont envoyĂ© deux lettres au secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral AntĂłnio Guterres, lui demandant de rĂ©voquer Kalibata de son rĂŽle de leader en raison de ses liens avec des personnalitĂ©s du monde des affaires, et exprimant d’autre part leur inquiĂ©tude quant Ă  l’influence croissante des sociĂ©tĂ©s transnationales aux Nations unies. En rĂ©ponse Ă  ces demandes de la part de la sociĂ©tĂ© civile, 12 dirigeants reprĂ©sentant des banques, des institutions acadĂ©miques et le secteur privĂ© ont Ă©crit une lettre pour annoncer leur soutien Ă  Kalibata. Dans leurs recherches sur le Sommet des Nations Unies sur les systĂšmes alimentaires, AGRA Watch le groupe de dĂ©fense de la base qui suit Gates et la rĂ©volution verte ratĂ©e de sa fondation en Afrique a constatĂ© que sur les 12 personnes impliquĂ©es dans le Sommet, 11 ont des liens Ă©troits avec la Fondation Gates. Dans certains cas, ces organismes ont Ă©tĂ© directement financĂ©s par la Fondation Gates et d’autres Gates ont financĂ© des programmes spĂ©cifiques qui avaient des rĂŽles importants. Il y a pire encore Antoine Guterres a nommĂ© le Dr. AgnĂšs Kalibata en tant qu’envoyĂ©e spĂ©ciale du Sommet des Nations unies sur les systĂšmes alimentaires. Kalibata, la prĂ©sidente du programme AGRA de Gates/Rockefellerqui a donc orchestrĂ© la tristement cĂ©lĂšbre rĂ©volution verte en Afrique, laquelle se solda par un Ă©chec total. Kalibata est donc le responsable idĂ©al pour faire connaĂźtre l’AGRA au monde entier. Le sommet, prĂ©dit-elle, rĂ©unira toutes les principales parties prenantes dans un partenariat public-privĂ© “pour rendre les systĂšmes alimentaires inclusifs, adaptĂ©s au climat et rĂ©sistants, et apporter le soutien nĂ©cessaire Ă  une paix durable Kalibata n’a pas manquĂ© de rappeler l’urgence de la situation aux participants du Sommet sur les systĂšmes alimentaires. Il ne leur reste que dix ans pour accĂ©lĂ©rer la transformation de nos systĂšmes alimentaires afin d’atteindre les objectifs de dĂ©veloppement durable en matiĂšre de climat, de nutrition et de lutte contre les pandĂ©mies. Le sommet des Nations unies sur les systĂšmes alimentaires dĂ©finira le plan de la “DĂ©cennie de l’alimentation” de Gates pour l’agenda alimentaire mondial qui doit ĂȘtre accompli d’ici 2030. Nous ne pouvons que prier pour que le prochain programme sanitaire de Gates pour l’humanitĂ© ne se caractĂ©rise pas par le mĂȘme niveau de violence traumatisante pour nos droits civils, notre Ă©conomie mondiale, les traditions de notre civilisation, l’idĂ©alisme des dĂ©mocraties et notre autodĂ©termination que celui qui a marquĂ© sa “DĂ©cennie des vaccins” de 2020. Conclusion La Fondation Gates ne constitue pas un organisme de philanthropie comme nous l’entendons habituellement. Elle apporte un soutien infime, voire nul, Ă  des causes sociales comme la Wounded Warrior Foundation, l’ASPCA American Society for the Prevention of Cruelty to Animals, sociĂ©tĂ© amĂ©ricaine telle la SPA, l’environnement ou les groupes de dĂ©fense du droit de vote ou des droits civils. Il s’agit en rĂ©alitĂ© d’une philanthropie que l’on peut qualifier de philanthropie armĂ©e, que M. Gates a lancĂ©e en 1994 pour redorer son blason aprĂšs que l’affaire antitrust de Microsoft l’ait dĂ©masquĂ© en tant que menteur, tricheur, voleur et manipulateur visant Ă  exercer un contrĂŽle monopolistique criminel sur tous les circuits d’information dans le monde entier. Gates a depuis investi 36 milliards de dollars dans la Fondation Gates, qui a une valeur de 46,9 milliards de dollars sur laquelle lui et sa femme exercent un contrĂŽle total. La fondation n’a distribuĂ© que 23,6 milliards de dollars de subventions caritatives, et ces “dons” comprennent des milliards de dollars de dons dĂ©ductibles des impĂŽts Ă  des multinationales dans lesquelles Gates dĂ©tient des participations, comme Merck, GlaxoSmithKline, Novartis, Sanofi. Le cerveau ingĂ©nieux de M. Gates a conçu ce plan afin de crĂ©er une fondation qui d’une part protĂšge ses revenus et lui permette d’autre part de puiser dans l’argent des contribuables en investissant les gains de la fondation dans des projets qui multiplient sa richesse Ă  lui, et accroissent son pouvoir et son prestige auprĂšs du public, tout en lui Ă©vitant de payer des impĂŽts. GrĂące Ă  cette structure, il peut faire des dons dĂ©ductibles d’impĂŽt Ă  des sociĂ©tĂ©s dont il est partiellement propriĂ©taire, engranger des bĂ©nĂ©fices Ă  titre personnel et pour la fondation, Ă©viter de payer des impĂŽts et dissimuler ainsi sa fortune de mille et une façons. C’est ce qu’on appelle gagnant-gagnant ! Gates a fait de sa fondation l’incarnation-mĂȘme de son aspiration au monopole et au contrĂŽle – un instrument de philanthro-capitalisme impitoyable qui dĂ©tourne les ressources publiques et gomme les frontiĂšres entre les intĂ©rĂȘts des entreprises et ceux de la population, qui dissimule ses ambitions de profit privĂ© par une rhĂ©torique pseudo-bienveillante et s’octroie le contrĂŽle exclusifde la santĂ© publique, des systĂšmes de subsistance de notre planĂšte, de notre Ă©conomie et de notre population. Gates a fait de sa fondation un outil pour coordonner les activitĂ©sde ses collĂšgues milliardaires, des rĂ©gulateurs pris en otage et de ses partenaires commerciaux des secteurs des industries pharmaceutiques, de l’énergie sale, des aliments gĂ©nĂ©tiquement modifiĂ©s, des tĂ©lĂ©communications et de Big Data, ainsi que des journalistes achetĂ©s et en Ă©tat de mort cĂ©rĂ©brale qui profitent collectivement des misĂšres croissantes du monde dystopique qu’ils ont arrangĂ© pour le reste d’entre nous. Gates et ses acolytes, sbires et autres suppĂŽts, attise dans un premier temps la peur des pandĂ©mies, du changement climatique, des extinctions massives – pour imposer sa vision des nouvelles technologies comme l’unique planche de salut, qu’il est bien sĂ»r le seul Ă  pouvoir mettre en Ɠuvre. Alors mĂȘme qu’il consolide son contrĂŽle sur nos systĂšmes de santĂ© et d’alimentation, M. Gates promeut les monnaies numĂ©risĂ©es, en qualifiant ces systĂšmes de “prioritĂ© humanitaire mondiale. L’adjuration finale de Kissinger est, »Qui contrĂŽle l’argent contrĂŽle le monde» et dans le financement infrastructures terrestres et spatiales et 5G, des centres d’analyse de la taille d’une ville,et puces RFID ou biomĂ©triques pour extraire et rĂ©colter nos donnĂ©es et bio-donnĂ©es et comme mĂ©canismes de surveillance, de profit et de contrĂŽle. Gates prĂ©voit une flotte de satellites qui sera en mesure d’arpenter chaque pouce carrĂ© de la planĂšte 24 heures par jour. De tels systĂšmes seront sans doute nĂ©cessaires au moment oĂč les populations commenceront Ă  se soulever contre des structures politiques et Ă©conomiques qui dĂ©pouillent les citoyens de leur pouvoir, transfĂšrent la richesse vers le haut et condamnent la majeure partie de l’humanitĂ© Ă  une survie sans espoir et dĂ©nuĂ©e de sens. Le Dr Vandana Shiva, militante pour la dĂ©mocratie et la libertĂ© agricole, affirme que le philanthro-capitalisme de Gates est une “une force de destruction avec le potentiel de pousser l’avenir de notre planĂšte vers l’extinction et l’effondrement Ă©cologique”. Shiva accuse Gates d’utiliser le capitalisme philanthropique pour accĂ©lĂ©rer le rachat par les multinationales de nos semences, de notre agriculture, de notre alimentation, de nos connaissances et de nos systĂšmes de santĂ©, et ce Ă  l’échelle planĂ©taire. “Il finance la manipulation de l’information et stimule l’érosion de la dĂ©mocratie – tout cela dans le but d’obtenir le pouvoir et des profits personnels.” Selon Shiva, la Fondation Gates a Ă©tĂ© le moteur d’une “alliance malĂ©fique” entre le grand capital, les institutions scientifiques et technologiques et les gouvernements pour Ă©tablir un empire mondial sur la vie, par le biais de monocultures, de brevets et de monopoles conçus pour dĂ©truire le monde naturel de la diversitĂ©, de l’auto-organisation et de la libertĂ©. “Vous avez vu la perversitĂ© dont ils peuvent faire preuve dans le domaine des vaccins au nom de la santĂ© publique”, m’a dit Shiva. Eh bien, maintenant il contrĂŽle la terre. Il contrĂŽle la graine. Il contrĂŽle la nourriture. Il a le pouvoir ultime de nous affamer tous Ă  mort. The views and opinions expressed in this article are those of the authors and do not necessarily reflect the views of Children's Health Defense. LaFondation Bill et Melinda Gates a Ă©galement abordĂ© avec le Premier ministre d’autres partenariats notamment celui avec l’Office national de l’assainissement du SĂ©nĂ©gal (ONAS).

Bill Gates, le fondateur de la sociĂ©tĂ© amĂ©ricaine Microsoft, va investir la totalitĂ© des ressources de sa Fondation Bill & Melinda Gates dans la lutte contre le coronavirus. Article rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s PubliĂ© le 28/04/2020 Ă  1328 Temps de lecture 3 min MalgrĂ© la gĂ©nĂ©rositĂ© de vos projets philanthropiques, vous dĂ©clenchez la haine. Les thĂ©oriciens du complot vous accusent d’avoir inventĂ© le virus pour vendre vos vaccins » ! Pourquoi tant de virulence ? Cet article est rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s Avec cette offre, profitez de L’accĂšs illimitĂ© Ă  tous les articles, dossiers et reportages de la rĂ©daction Le journal en version numĂ©rique Un confort de lecture avec publicitĂ© limitĂ©e Le fil info La Une Tous Voir tout le Fil info Aussi en LĂ©NA DĂ©codage Les images colorĂ©es du tĂ©lescope James Webb ne sont-elles qu’une illusion? Le tĂ©lescope spatial Ă©bahit le monde par ses fantastiques clichĂ©s de l’espace aux couleurs scintillantes. Pourtant, cet instrument de recherche ne perçoit pas la lumiĂšre visible. Dans quelle mesure ces reprĂ©sentations sont-elles donc fidĂšles Ă  la rĂ©alitĂ© de l’espace ? Avec LĂ©NA, dĂ©couvrez le meilleur du journalisme europĂ©en. DĂ©codage La rĂ©cupĂ©ration des Ă©chantillons prĂ©levĂ©s sur Mars sera un fameux challenge Entretien Mary McCartney Mon enfance fait partie de mon identitĂ© d’artiste» Entretien Guerre en Ukraine La rĂ©partition de mon temps entre champs de bataille et stades semble surrĂ©aliste» Entretien Yanis Varoufakis sur la crise Ă©nergĂ©tique Quand j’entends solidaritĂ© europĂ©enne, je bondis de ma chaise!» Voir plus d'articles Allez au-delĂ  de l'actualitĂ© DĂ©couvrez tous les changements DĂ©couvrir À la Une Nafi Thiam plane aussi sur l’Europe Championnats europĂ©ens Dylan BorlĂ©e termine 5e de la finale du 400m, Matthew Hudson-Smith prend l’or Pourquoi les dĂ©pliants papiers des supermarchĂ©s vont lentement disparaĂźtre Par Julien Bosseler IntempĂ©ries la ville de Gand sous eau photos et vidĂ©o

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