Depuisle 11 mai 2016, une oeuvre colorée de Daniel Buren se déploie sur l’ensemble des verrières de la Fondation Vuitton, changeant totalement son allure.

Nos stories Nos experiences Inscription Connexion NOUS CONTACTER PRESSE MENTIONS LÉGALES CGUP COOKIES QUI SOMMES-NOUS ? POLITIQUE DE CONFIDENTIALITÉ Suivez-nous STORY PICTO ARTISTE Created with Sketch. Avec près de 2 000 expositions dans le monde entier, Daniel Buren fait partie des artistes les plus actifs et reconnus de l'art contemporain. Son travail jouant sur les rapports entre le fond et la forme suscite souvent des polémiques mais a été accueilli par de grandes institutions comme, récemment, le Palais de l’Elysée. Retour sur les œuvres emblématiques du lauréat 2017 du Praemium Impériale le prix Nobel » des Arts Visuels. Une approche pluridisciplinaire Né en 1938 à Boulogne-Billancourt, Daniel Buren intègre à 20 ans l’École des métiers d’arts où il étudie la peinture et la décoration générale. Assez vite sa réflexion s’oriente sur les modes de présentation de la peinture et, bien avant le street art, sur l’environnement dans lequel les œuvres sont présentées. Que ce soit pour un intérieur galerie, monument ou l’extérieur paysage, architecture, il développe ainsi la notion de travail in situ » et mets au point sa marque artistique l’utilisation de bandes alternées, blanches ou colorées et dans des matériaux variés, permettant de renouveler la vision d’un site. En mixant peinture, sculpture et architecture, Daniel Buren mise sur le pouvoir décoratif de l’art et a par exemple transfiguré le Guggenheim de New York image ci-dessous et la Fondation Vuitton. Couleurs, lumière, mouvement, espaces ses installations jouent sur les points de vue et a valu à l’artiste le Lion d’Or à la Biennale de Venise en 1986. Un scandale retentissant Entre admiration et polémique, le travail de Daniel Buren ne laisse jamais indifférent. Ce fut particulièrement le cas en 1986 avec Les Deux Plateaux, commande publique pour la Cour d’honneur du Palais Royal. Située près du ministère de la Culture et de la Comédie-Française, cette œuvre communément appelée colonnes de Buren » occupe 3 000 m2 de ce site classé monument historique et est constituée d'un maillage de 260 cylindres tronqués. Toutes en marbre blanc de Carrare matériau de prédilection de Michel-Ange et Rodin et d'une largeur unique 8,7 cm, ces colonnes de 3 hauteurs différentes sont couvertes de rayures blanches et noires et sont dynamiquement disposées sur cette place ayant précédemment servi de parking pour les institutions attenantes. A la fois référence à la statuaire antique et hommage à l’histoire du site, un haut lieu du divertissement parisien au 17ème siècle, l’œuvre de Daniel Buren a été conçue pour que le public investisse librement l’endroit. Et cela fonctionne ! La disposition en sorte de damier attire les enfants qui s’amusent à escalader les colonnes mais aussi les touristes qui font de cet endroit l’un des plus instagramés de la capitale. Mais avant ce plébiscite populaire, Les Deux Plateaux ont fait couler beaucoup d’encre ! Trop moderne et intellectuel pour la Commission supérieure des monuments historiques, inesthétique et irrespectueux du patrimoine pour les riverains, le projet a fait l’objet de nombreuses pétitions et articles à charge 225 dans 45 journaux ! au point qu’il a failli être totalement avorté mais, de nombreuses procédures juridiques et un budget de 9 millions de francs plus tard, les 1ères colonnes n’ont pas été détruites et l’œuvre complète enfin inaugurée le 30 juillet 1986. Son œuvre répond magnifiquement à l’architecture dans la continuité d’un travail où se croisent couleurs, transparence et lumière Des œuvres monumentales Redécouvrir la lumière du Grand Palais, c’est le défi relevé par Daniel Buren lors de l’édition 2017 du Monumenta. Les 13 500 m2 du bâtiment au célèbre dôme en verre ont été investis par l’artiste d’une forêt » de disques plastiques colorés offrant aux visiteurs une multitude de jeux sur la lumière. Haut de 3 m, chaque disque fonctionnait un peu comme un parasol avec, vu d’en dessous, de nombreuses variations de couleurs au sol et, en regardant de haut, de magnifiques effets de miroir dans tout l’espace. Une oeuvre globale totalement en phase avec les caractéristiques du site et dans laquelle le public pouvait, là aussi, déambuler en toute liberté. Autre célèbre travail de Daniel Buren L’Observatoire de la lumière » déployé sur les verrières de la Fondation Louis Vuitton. Constituées de 3 600 verres, les 12 voiles du bâtiment créé par Frank Gehry ont été recouvertes, en quinconce, de filtres colorés constitués de bandes alternativement blanches et vides. Selon les heures et les saisons, les 13 couleurs sélectionnées par l’artiste faisaient ainsi apparaître et disparaître des formes toujours changeantes. Jouer sur le contraste, la transparence, les reflets et les couleurs Daniel Buren est définitivement un plasticien moderne s’étant, pour notre plus grand plaisir, totalement affranchi du cadre de la toile ! Pour en savoir plus sur cet artiste français mondialement connu, rendez-vous ici ou découvrez, en vidéo, son approche artistique lors de l’édition 2017 du Monumenta.
Depuisle 11 mai 2016, une oeuvre colorée de Daniel Buren se déploie sur l’ensemble des verrières de la Fondation Vuitton, changeant totalement son allure. Depuis le 11 mai 2016, une oeuvre colorée de Daniel Buren se déploie sur l’ensemble des verrières de la Fondation Vuitton, changeant totalement son allure. TousLesMusées Un site dédié aux musées et aux

Monsieur le Président, Madame la ministre, Mesdames Messieurs les ministres, Mesdames Messieurs, Merci beaucoup d’être là pour Daniel BUREN et cette exposition Pavoisé ». Tout a été dit sur l’œuvre à l’instant par Donatien GRAU et merci beaucoup de ces mots. Tout cela naît d’une idée folle qui n’est pas du tout une idée qui est celle de mon épouse ou de moi-même, je dois rétablir la vérité, c’était une certitude déjà établie de Daniel BUREN - mais comme tous les grands artistes, il finit par vous faire croire que c’est la vôtre. Donc je vais essayer ici de rétablir la vérité c’est d’abord la sienne. Avec Ora-ïto, ils sont venus un 5 avril dernier, innocemment, pour discuter de la situation, de la vie artistique, de ce qui fait votre quotidien et vos convictions. Il a demandé à cheminer dans les lieux, il est arrivé ici et, l’air de rien, comme souvent avec lui, il a dit J’ai peut-être une idée ». J’ai compris très vite que les choses étaient déjà écrites et pensées. Puis chaque étape s’est ainsi révélée avec une forme de mécanique précise de la création. Il est ensuite venu, il a ensuite proposé, et comme par hasard, le chiffre tombait juste, ce qui a été rappelé à l’instant, c'est-à-dire ces séries de 4 couvraient parfaitement, parfaitement, ce Jardin d’hiver. Cette idée folle est devenue réalité à travers cette œuvre, ce Pavoisé ». C’est votre œuvre et nous sommes très heureux et fiers avec mon épouse de vous accueillir aujourd’hui dans ce lieu qui a été réinventé, comme vous le voyez, il y a maintenant plus de 2 ans par Isabelle STANISLAS qui est avec nous ici, et dont je salue le travail dans la Salle des fêtes, le Jardin d’hiver et le Salon Napoléon III, parce que tout cela vient s’inscrire dans un travail profond qui a ici été fait. Au fond, ce que vous avez su faire, cher Daniel, est aussi je crois un moment qui correspond à la création contemporaine. Je dis que c’est un moment parce que cela correspond à ce que l’on ressent tous et ce que vous avez voulu signifier, qui est un moment à la fois de liberté retrouvée, de besoin de voir le jour et peut-être le retrouver d’une autre façon ; ensuite d’assumer un moment patriotique parce qu’en effet c’est le drapeau, ça a été dit, et le Pavoisé » signe et assume, si je puis dire, la chose, et de le faire dans cette référence artistique, en effet, au MONET et à La Rue Montorgueil du 30 juin 1878 qui est le moment patriotique et républicain d'avant le 14 juillet retrouvé, mais qui est celui qui signe cette réconciliation de la Nation avec elle-même, avec la République, avec sa stabilité. Par cette référence, je trouve qu’il y a un double clin d'œil parce que vous faites passer du Salon des refusés au Jardin d'hiver, une forme de référence artistique en la mettant au cœur d'un lieu républicain. Alors, je sais qu'il y a une crainte - qu’il n’avouera pas aujourd’hui - qui serait de devenir, ce faisant, une forme d’artiste officiel, ce qui serait peut-être la pire des choses. Mais par cette œuvre et par sa fugacité, je pense que Daniel BUREN signe une œuvre résolument patriotique, profondément éphémère et éminemment libre. Vous êtes dans un lieu de la République, ce Jardin d'hiver, ce Palais de l'Elysée, mais vous l'êtes profondément fugace et libre, créant à nouveau un lieu d'observation de la lumière dont vous avez plusieurs fois parlé et poursuivant ce cheminement dans l'histoire de l'art et cette liberté. Là où je suis très heureux, en ce moment, de vous accueillir, c’est d’abord que ce lieu va constamment changer en votre présence, par aussi le miroir que Daniel a voulu mettre au bout de cette salle et la démultiplication à l’infini des reflets ; il va changer et il traduit quelque chose de ce que je voudrais que nous puissions réussir à faire collectivement dans le moment que vit la Nation. Nous avons tous résisté pendant ces 18 derniers mois. Je veux vraiment saluer le travail de tous et toutes, parce que vous avez continué à créer et à recevoir au maximum du public à chaque fois que c'était possible, à mener les projets. Je veux saluer le travail de la ministre et de son ministère parce que nous avons continué à accompagner la création avec un effort sans précédent et qui était légitime pour permettre d'aider les artistes comme les institutions. Mais dans ce moment où la vie va reprendre tous ses droits, cette œuvre s'inscrit dans une volonté non seulement de faire de l'Elysée un lieu de la créativité contemporaine, mais de demander à chacune et chacun d'avoir cette part d'insolence, de liberté et de réinvention de notre pays. Parce que je crois que c’est profondément le rôle des artistes. Nous avions passé une commande à Messieurs KIEFER et DUSAPIN au Panthéon, c'était la première fois qu’on passait une commande depuis plus 100 ans au Panthéon. Ils ont, là aussi, contribué à réinventer ce lieu en faisant rentrer GENEVOIX. Il y a aujourd’hui cette exposition qui va durer plusieurs mois, ici même, et qui est un temps important. Nous aurons ensemble à inaugurer Christo à l’Arc de Triomphe, qui est un projet que l'artiste avait commencé plusieurs années avant de disparaître. Il y a les commandes que nous avons assumées de repasser, cher Bernard, avec les mondes nouveaux » et ce groupe baroque que vous avez constitué autour de vous, et qui a vocation à assumer, non pas là encore de faire de la commande publique, mais de continuer à faire travailler des artistes de toutes générations pour inventer ces mondes nouveaux qui vont sortir. Et puis, il y a également le renouvellement profond de beaucoup d'institutions culturelles que les visages ici présents incarnent, et que nous allons continuer de penser, auquel nous allons continuer d’œuvrer avec vous. Tout ça constitue, si je puis dire, les soubassements de quelque chose qui vous appartient, mais qui est, je crois, profondément une énergie créatrice qui doit s'emparer de notre pays dans les temps qui viennent. Parce que je pense que les formes de création, quelles qu'elles soient, et tous les arts convoqués, contribuent de ce que notre pays, ce que notre Nation, a à dire dans cette sortie de crise. Je ne sais pas quand elle adviendra véritablement, je ne sais pas si elle se fera en un beau jour, je suis convaincu qu'elle a déjà commencé, et que la vocation de la France est de pouvoir assumer avec beaucoup fierté ce qu’elle est, cette œuvre le montre ô combien, de savoir assumer, de réadmirer, mais de savoir aussi assumer de recréer et d'inventer, y compris les lieux qui peuvent paraître comme étant les plus intimidants. A cet égard, Daniel, merci d'avoir dans ce lieu, cédé avant tout à l'esprit de liberté et à la volonté d'avancer et de créer. C’est de cela dont a besoin, et c’est cela qui est souhaité, attendu de chacune et chacun d'entre vous là où vous êtes. Merci infiniment, et merci à Daniel et à Ora-ïto.

Lartiste français Daniel Buren, présente son projet artistique grandiose, « L’Observatoire de la lumière », sur l’ensemble des verrières, élément emblématique de l’édifice qui rappelle un bateau gigantesque perdu dans un océan de verdure. Les douze voiles, constituées de 3600 verres, ont été recouvertes de filtres colorés qui sont à leur tour, ponctués à distances

A propos de cet article Paris, Editions Xavier Barral / Fondation Louis Vuitton, 2016. 24,3 x 17,5 cm, laminated hardcover. Very fine copy. N° de réf. du vendeur 21699 Poser une question au libraire Détails bibliographiques Titre Daniel Buren L'Observatoire de la lumière Description de la librairie Situated in the center of Ghent, the shop offers a fine selection of art books, photographs and graphics. Visitez la page d’accueil du vendeur Conditions de vente Books are described as well as possible. Transport and insurance costs are not included. Goods are only dispatched after the payment in full of the price. Payment should be made by banc transfer or creditcard. Conditions de livraison Shipping costs are based on books weighing LB, or 1 KG. If your book order is heavy or oversized, we may contact you to let you know extra shipping is required. Afficher le catalogue du vendeur Modes de paiement acceptés par le vendeur American Express En espèce Traite bancaire Virement bancaire

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DanielBuren, L'Observatoire de la lumière, Fondation Louis Vuitton Conçue en dialogue avec le bâtiment de Frank Gehry, l'oeuvre de Daniel Buren intitulée L'Observatoire de la lumière se déploie sur l'ensemble des verrières, élément emblématique de l'édifice.

L’Hôtel Le Bristol Paris, en association avec la galerie Kamel Mennour invite deux acteurs incontournables de l’art à investir le jardin et le bar. Le Bristol Paris – Photo Le premier, Daniel Buren, l’un des artistes les plus renommés au monde, qui depuis les années soixante, utilise des bandes verticales blanches et colorées de 8,7 cm de large pour développer son travail dans toutes sortes de lieux privés et publics. Chacune de ses expositions suscite l’événement. Pour son invitation au Bristol, Buren installe une pergola spectaculaire et inédite face à la colonnade du restaurant trois étoiles Epicure, une oeuvre dite in situ, créée précisément pour le jardin de l’hôtel. La pergola est une construction légère qui sert généralement de support aux plantes grimpantes et permet d’ombrager son environnement. L’artiste contrarie ici son usage commun en accrochant non pas des fleurs mais cinq couleurs disposées par ordre alphabétique au-dessus de nos têtes. Les couleurs jouent avec la lumière et en présence du soleil, se projettent aux alentours. Daniel Buren, Dessin technique pour Une pause colorée, travail in situ pour Le Bristol, Paris, mai 2016 © Jean-Christophe Denise. Courtesy the artist and kamel mennour, Paris L’artiste invite le spectateur à parcourir cette architecture temporaire et propose d’y recevoir les clients du restaurant Epicure, et ainsi faire entrer en conversation cet environnement avec la cuisine du chef triplement étoilé Eric Frechon. Hicham Berrada, quant à lui éclaire le grand écran miroir du Bar du Bristol à la lumière d’une sélection de ses vidéos. Nourri d’une double formation artistique et scientifique, son travail associe intuition et connaissance, science et poésie. Il explore des protocoles scientifiques qui imitent au plus près différents processus naturels ou atmosphériques dans une démarche proche d’un peintre. Les oeuvres éthérées et vaporeuses d’Hicham Berrada rencontrent le temps de la projection les cocktails de Maxime Hoerth, autre alchimiste, chef barman et Meilleur Ouvrier de France. Cette exposition est initiée par Kamel Mennour et la curatrice Florence Parot, en parallèle de l’ouverture du nouvel espace de la galerie, 28 avenue Matignon, Paris 8. Daniel Buren, Photos-souvenirs Pergola, travail situé, Hôtel de la Monnaie, Paris, juin – septembre 2009 L’hôtel initie depuis trois ans ce rendez-vous particulier autour de la création contemporaine la plus exigeante. Des artistes à la renommée internationale sont invités à investir le bar et le jardin, le tout en collaboration avec les plus grandes galeries d’art contemporain parisiennes. Le Bristol a accueilli d’octobre 2013 à juillet 2014 les artistes Adrien Missika, Louidgi Beltrame, Christophe Herreros, Philippe Terrier-Hermann, Xavier Veillan, Ange Leccia et Isabelle Cornaro. Entre septembre 2014 et mars 2015 la Galleria Continua et la Galerie Perrotin ont assuré chacune leur tour le commissariat de l’écran miroir du Bar et exposé les artistes Daniel Buren, Ai Weiwei, Anish Kapoor, Pascale Marthine Tayou, Hans Op de Beeck, Jesper Just, Laurent Grasso, Gianni Motti, John Henderson ou JR à réagir à ce contexte singulier. En avril dernier c’était au tour du commissaire d’exposition Timothée Chaillou et de l’artiste Matthieu Mercier, en partenariat avec la Maison de ventes aux enchères Piasa, de proposer une sélection de vidéos, comptant parmi elles les oeuvres de Claude Lévêque, d’Olivier Dollinger, de Pierre Bismuth, de Guillaume Paris, de Pascal Goblot ou de Natacha Lesueur. Puis enfin en octobre dernier notre curatrice Florence Parot a proposé une programmation autour de la ville de Beyrouth et invité les artistes Mehdi Meddaci, Lorde Selys et Marcel Dinahet, en partenariat avec L’Office du Tourisme Liban. Fondée en 1999, la galerie kamel mennour présente au sein de ses espaces du 6ème arrondissement 47, rue Saint-André des Arts et 6 rue du Pont de Lodi le travail d’une trentaine d’artistes contemporains, jeunes et internationalement consacrés. Kamel Mennour inaugure le 24 mai prochain son troisième espace, jouxtant l’Hôtel Bristol, 28 Avenue Matignon, avec une exposition personnelle de l’artiste d’origine chinoise Huang Yong Ping en parallèle de son Monumenta Empires » qui ouvre le 8 mai au Grand Palais. Artistes représentés Hicham Berrada, Mohamed Bourouissa, Marie Bovo, Daniel Buren, Pier Paolo Calzolari, Valentin Carron, Jake & Dinos Chapman, Latifa Echakhch, Michel François, Alberto Garcia-Alix, Alberto Giacometti, Johan Grimonprez, Petrit Halilaj, Camille Henrot, David Hominal, Huang Yong Ping, Alfredo Jaar, Ann Veronica Janssens, Anish Kapoor, Tadashi Kawamata, Alicja Kwade, Lee Ufan, Claude Lévêque, François Morellet, Christodoulos Panayiotou, Gina Pane, Martin Parr, Martial Raysse, Lili Reynaud-Dewar, Zineb Sedira, Shen Yuan. Hicham Berrada, Oiseaux, 2014. Still. Vidéo couleur, 3 min 55 s. © ADAGP Hicham Berrada. Courtesy the artist and kamel mennour, Paris Florence Parot est commissaire d’exposition. Vivant entre Paris et Amsterdam, son parcours inclut le poste d’attachée de conservation de la collection vidéo du Centre Pompidou pendant douze ans, où elle a notamment co-conçu l’exposition Vidéo Vintage et supervisé son itinérance au ZKM à Karlsruhe Allemagne, au Beirut Art Center à Beyrouth Liban et au Musée National d’Art Moderne et Contemporain à Séoul Corée du Sud. Actuellement en préparation d’un doctorat sur l’histoire de la performance d’artistes, elle initie depuis 2011 Châteaux Secrets, un campement d’artistes inspiré par les utopies défendant l’auto-construction, la coopération et le retour à la nature. À Amsterdam, elle enseigne au Sandberg Instituut, et collabore avec Krux Amsterdam, un regroupement d’artistes, d’artisans et de designers. Début 2016, elle crée Artist Placement pour supporter les artistes et les orienter vers de nouveaux contextes de recherches et d’exposition. Daniel Buren est né en 1938 à Boulogne-Billancourt. Il vit et travaille in situ, c’est à dire avec et sur le lieu. Diplômé de l’école des métiers d’art en 1960, il choisit d’orienter son travail vers une économie des moyens artistiques. En 1965, c’est à partir d’une toile de store rayée qu’il va créer un outil artistique singulier des bandes verticales alternées blanches et colorées de 8,7 cm de largeur se répétant et se déclinant sur tous les supports. À partir des années 1970 les rayures de Daniel Buren vont se retrouver lors de centaines d’expositions personnelles et de groupe à travers le monde et occuper l’espace public. Les Deux plateaux inauguré en 1986, appelé communément les colonnes de Buren, est probablement l’un de ses ouvrages les plus célèbres tellement il aura fait couler d’encre de journalistes au moment de son édification dans la cour d’honneur du Palais-Royal. Ses supports et ses surfaces d’expression changent, l’artiste innove, expérimente le marbre, la pierre, le plastique, le miroir, le plexiglas, le verre, continuant à produire des oeuvres en deux ou trois dimensions. Les cabanes éclatées ou les pergolas en sont des manifestations, elles invitent dorénavant à l’expérience. Le spectateur se retrouve alors pris » dans la couleur, conquérant l’espace tridimensionnel. Daniel Buren intervient actuellement au Palais des Beaux-Arts de Bruxelles, et à partir du 11 mai , à la Fondation Vuitton à Paris avec une oeuvre intitulée L’Observatoire de la Lumière, travail in situ. Hicham Berrada est né en 1986 à Casablanca au Maroc, il est diplômé de l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris en 2011, puis poursuit ses recherches liées à l’activation de différents processus naturels au Studio national des arts contemporains, Le Fresnoy. Il participe à plusieurs expositions collectives à Paris, Bruxelles, Casablanca et Beyrouth. En février 2013, sa première exposition monographique, conçue avec Mouna Mekouar, curator, a lieu au Palais de Tokyo dans le cadre des Modules Pierre Bergé-Yves Saint Laurent. La même année, il est lauréat du prix de la fondation Schneider catégorie installation. Il est pensionnaire à la Villa Médicis en 2014. Son oeuvre éblouissante Mesk-ellil a été présentée à la galerie kamel mennour et lors de la dernière Biennale de Lyon. Il a rejoint récemment la prestigieuse collection du Centre Pompidou. Le Bristol Paris 112 rue du Faubourg Saint-Honoré 75008 Paris Tél. 01 53 43 43 40 epicure

Voiciquelques-unes des questions soulevées par le thème de la Nuit des idées 2019 : « Face au présent ». Un thème qui ne pouvait qu’entrer en résonnance avec l’ADN de la Fondation de France, qui fête cette année un anniversaire important : « 50 ans d’expérience de l’avenir ». Principe de l’opération : organiser débats DANIEL BUREN, "L'Observatoire de la lumière", travail in situ Exposition Du au Poursuivant son engagement en faveur de la création contemporaine et suscitant des rencontres inédites avec son architecture, la Fondation Louis Vuitton a présenté du 11 mai 2016 au 2 mai 2017 une œuvre temporaire de Daniel Buren. Conçue en dialogue étroit avec le bâtiment de Frank Gehry - dont l’architecture appelle l’inspiration des artistes L’Observatoire de la lumière » se déploie sur l'ensemble des verrières, élément emblématique de l' douze voiles, constituées de 3600 verres, ont été recouvertes en quinconce de filtres colorés qui étaient à leur tour, ponctués à distances égales les uns des autres par des bandes alternativement blanches et vides, axées perpendiculairement au sol. Les treize couleurs retenues faisaient apparaître et disparaître des formes colorées toujours changeantes selon les heures et les saisons. À travers un jeu de couleurs, de projections, de reflets, de transparences et de contrastes, à la fois intérieur et extérieur, Daniel Buren offrait un nouveau regard sur le bâtiment. Son œuvre répond magnifiquement à l’architecture dans la continuité d’un travail, initié dès les années 1970, où se croisent couleurs, transparence et lumière. » L'artiste Depuis plus de cinq décennies, Daniel Buren renouvelle les formes et les enjeux du médium pictural à travers une oeuvre radicale qui s’appuie sur une méthode dont il définit les principes au cours des années 1960. © Gehry Partners, LLP and Frank O. Gehry, © DB-Adagp, Paris 2020 / © Iwan Baan 2016 Daniel Buren, L'Observatoire de la lumière, travail in situ, Fondation Louis Vuitton, Paris, 2016 © Gehry Partners, LLP and Frank O. Gehry, © DB-Adagp, Paris 2020 / © Iwan Baan 2016 Prolongez la visite Rencontre entre Frank Gehry et Daniel Buren Revivez la rencontre entre Frank Gehry et Daniel Buren, animée par Hans Ulrich Obrist, le 14 septembre 2016, dans l'auditorium de la Fondation Louis Vuitton. Catalogue Daniel Buren "L'Observatoire de la lumière, travail in situ" Gehry-Buren dialogue à la Fondation
Apartir du 11 mai, La Fondation Louis Vuitton prend des couleurs grâce à une œuvre temporaire de Daniel Buren baptisée « L’Observatoire de la lumière ».
Expédié sous 7 jours Livraison à partir de 0,01€ dès 35€ d'achats Pour une livraison en France métropolitaine QUANTITÉ Résumé Éditions Xavier Barral Buren-Vuitton Titre Daniel Buren L'Observatoire de la lumière, travail in situ 17 x 24 cm 480 pages 45 ? À l'occasion d'une importante intervention de Daniel Buren à la Fondation Louis Vuitton à Paris, la Fondation et les Editions Xavier Barral publient un catalogue réunissant par décennie l'ensemble des travaux de Buren sur la transparence et la lumière, de 1970 à nos jours. L'ouvrage s'ouvrira sur le projet réalisé à la Fondation et conçu dans un dialogue étroit avec l'architecture de Frank Gehry, qui sera présenté à partir du 11 mai 2016. Ce livre inclura un entretien entre l'artiste et Suzanne Pagé. Caractéristiques techniques PAPIER Éditeurs Xavier Barral Auteurs Daniel Buren Collection Beaux Livres Parution 26/05/2016 Nb. de pages 256 Format 18 x Couverture Relié Poids 1260g EAN13 9782365111065 Avantages Livraison à partir de 0,01 € en France métropolitaine Paiement en ligne SÉCURISÉ Livraison dans le monde Retour sous 15 jours + d'un million et demi de livres disponibles Résumé Caractéristiques techniques Nos clients ont également acheté YrY8KAh. 176 189 160 60 211 319 47 416 219

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