Il marche en imaginant les mots qu'il pourra écrire dans son carnet ce soir, à la lueur des bougies que Joanne allumera. Il sait qu'il parlera de l'odeur salée des étangs, bien plus forte que l'odeur de la mer. Du soleil d'octobre, bien plus doux et agréable que celui de l'été. Des cercles formés par les mouettes dans le ciel, de leurs cris, des trainées blanches qu'elles Tout le bleu du cielfr Jeune homme de 26 ans, condamné à une espérance de vie de deux ans par un Alzheimer précoce, souhaite prendre le large pour un ultime jours plus tard, devant le camping-car acheté secrÚtement, il retrouve Joanne, une jeune femme coiffée d'un grand chapeau noir qui a pour seul bagage un sac à dos, et qui ne donne aucune explication sur sa chaque détour de ce périple naissent, à travers la rencontre avec les autres et la découverte de soi, la joie, la peur, l'amitié, l'amour qui peu à peu percent la carapace de douleurs d' à notre site, vous pourrez trouver ce produit au meilleur d'informationsPlus détails à propos produit accÚs aux informations officielles de Le livre de poche Il n'y a pas d'analyse de Tout le bleu du ciel , notre équipe travaille pour que vous puissiez bientÎt profiter d'une analyse de ce produit
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 » L’espoir De La CĂŽte D’azur 10/12/62 » On se souviendra de cette soirĂ©e qui aura Ă©tĂ© un bain de jouvence grĂące Ă  Leny Escudero, Ă  Guy Laurie, Ă  Harold, Ă  Sylvie Vartan, qui furent excellents ! »[/i] Le DauphinĂ© LibĂ©rĂ© 3/12/62 » Le fait est qu’elle est chouette ! Jeune, jeune, jeune ! Une jolie petite bouille spirituelle. Du twist, de l’abattage, une voix juste, une fine silhouette derniĂšre nouvelle vague . Si elle ne s’en laisse pas conter, elle peut faire son chemin, Sylvie ! Le Berry RĂ©publicain 1/6/62 » Tout rĂ©cemment descendue de sa voie lactĂ©e 17 ans, pour se joindre Ă  ce gala des Ă©toiles, Sylvie Vartan fait Ă©talage d’une assurance monstre ! Elle a de l’aplomb cette petite lĂ  et sait jouer de la prunelle ! DerniĂšre Heure – 29/11/62 » Quant Ă  Sylvie Vartan, elle a emballĂ© le jeune public, nous pensons, par ses 17 ans trĂšs affranchis, sa sveltesse nouvelle vague, sa blondeur dĂ©sordonnĂ©e, ses yeux candides et sa voix blasĂ©e. Multiples et impatients rappels dont elle remerciait timidement retrouvant au final sa vraie candeur de petite fille. Le Provençal 9/12/62 » En revanche, Sylvie Vartan fut tout Ă  fait dans le ton. Celle que l’on a surnommĂ©e Melle Twist » sut Ă  merveille exploiter les rĂ©actions du public. Ses 17 ans, son enthousiasme et son sens innĂ© du rythme, furent ses atouts majeurs
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 L’accueil du public havrais fut Ă©difiant sur la popularitĂ© de cette jeune Ă©toile. Presse Normandie 26/12/62 » Toute blonde dans sa robe blanche toute simple, voici Sylvie Vartan au milieu de ses trois guitaristes et du batteur
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 C’est le Johnny Hallyday au fĂ©minin mais c’est justement dans la chanson oĂč elle cesse de s’agiter qu’elle fut parfaite, Tous mes copains » qu’elle sait dire avec sentiments Angers – Courrier de l’Ouest 19/12/62 Et puis c’est Sylvie Vartan. La collĂ©gienne du twist, avec ses 17 ans, a changĂ© en quelques mois. Elle est devenue non seulement une fine jeune fille armĂ©e de distinction naturelle, mais une artiste dĂ©jĂ  racĂ©e
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 elle garde son dynamisme et sa voix jeune qui parle de vacances. Elle reste toute simple dans sa petite robe blanche. Oh surtout qu’elle ne vieillisse pas trop vite ! Qu’elle ne devienne ni bĂȘcheuse, ni sophistiquĂ©e ! Je ne crois d’ailleurs pas que cela lui arrivera. Sylvie Vartan, j’ai l’impression que c’est toute la gĂ©nĂ©ration des moins de 20 ans qui twiste et qui s’amuse, mais qui reste bien Ă©levĂ©e. Ouest France 21/12/62 Enfin apparaĂźt Sylvie Vartan, blonde et blanche dans sa robe de voile bleu. Quelques sifflets et des Ouh ! Ouh ! . A la premiĂšre chanson, du blacon tombe sur la scĂšne, un citron. Sylvie n’a rien vu. Elle continue Ă  chanter trĂšs fort dans son micro. On sifflera de moins en moins et on l’applaudira de plus en plus. On est tout de mĂȘme fidĂšle Ă  ses idoles Ă  l’Olympia. Il faut convenir que Sylvie a fait des progrĂšs et, surtout, elle est si jolie
 » Jean-Louis QUENESSEN Ă  propos du spectacle de Sylvie Ă  l’Olympia dans FRANCE SOIR » le 18 janvier 1964. Sylvie Vartan a eu un succĂšs spectaculaire hier au Monumental 
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 Profil lisse et dĂ©licat, cheveux d’or et visage fragile, Sylvie, en fait, est une vĂ©ritable question de fluide magnĂ©tique avec sa voix extraordinaire, qui excite l’assistance et qui sert si bien Ă  la fois, les rythmes de danse les plus enlevĂ©s que les chansons plus mĂ©lodieuses et romantiques
. Quotidien portugais Diario de Noticias » 14 mars 64 A l’évidence Sylvie Vartan possĂšde en tant que chanteuse populaire des qualitĂ©s de charisme exceptionnelles qui enchantent les spectateurs et elle fait participer activement et physiquement le public Ă  ses chansons dont le rythme est la raison d’ĂȘtre. Et lorsque qu’elle puise dans un rĂ©pertoire plus sentimental ou romantique, que ce soit en anglais ou en français avec une aisance apprĂ©ciable, elle dĂ©montre des qualitĂ©s vocales et stylistiques qui dĂ©passent nettement le niveau moyen dans le genre. DĂšs le dĂ©but avec sa silhouette Ă  la fois Ă©lancĂ©e et tendue, elle s’impose Ă  toute la salle grĂące Ă  sa voix chaude qu’elle accompagne presque toujours de mimiques et de gestes adĂ©quats. Son jeu de scĂšne est remarquable, sa prestation excellente en rĂšgle gĂ©nĂ©rale
 La Nacion », Journal argentin, le 5 juin 65 Le musicorama dont elle a Ă©tĂ© la vedette, le 8 avril, a Ă©tĂ© sans doute le meilleur jusqu’alors avec celui de Jimi Hendrix et Eric Burdon. 
 Et on dĂ©couvre une Sylvie chanteuse. Sa voix s’est Ă©toffĂ©e, a pris de l’ampleur. Une voix dont je ne soupçonnais franchement pas les facultĂ©s. Elle semble se dĂ©fier des difficultĂ©s. Il y a dans cette belle chanson, Le testament, des montĂ©es dangereuses dont elle se joue 
. Elle n’est plus une vedette pour magazine illustrĂ©, plus une idole. C’est une chanteuse. Elle a, ce soir-lĂ , mis Paris dans la poche de son smoking. Ce soir-lĂ , une chanteuse est nĂ©e ». Pierre CHATENIER Ă  propos du musicorama du 8 avril 1968 dans ROCK & FOLK » en mai 1968. Elle chante, elle danse, elle charme, elle se rĂ©vĂšle, Ă  l’égal de son mari, une bĂȘte de théùtre et de cinĂ©ma probablement, pour peu qu’un bon rĂ©alisateur veuille et sache utiliser l’éventail de ses dons ».LE MONDE, 5 dĂ©cembre 1968 Ă  propos de la sĂ©rie de concerts donnĂ©s Ă  l’Olympia en dĂ©cembre 1968. Au nouveau Gymnase, le show Sylvie Vartan du trĂšs grand music-hall ! 
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 Ne laissez pas Sylvie quitter Marseille sans aller l’applaudir ! Le MĂ©ridional du 28 novembre 1970 AgrĂ©able rĂ©vĂ©lation que cette Sylvie Vartan qui se produisait, vendredi soir, aux fins d’un film, au Jardin des Etoiles Ă  la Ronde. Comme la plupart des gens qui ne l’avaient jamais vue, l’auteur de ces lignes s’était dit Bien sĂ»r, cette petite rĂ©ussit Ă  survivre grĂące Ă  la rĂ©putation de son mari, Johnny Hallyday. ApprĂȘtons-nous donc Ă  ĂȘtre déçu ». Mais Sylvie Vartan a presque tout cassĂ©, ce soir-lĂ , comme disent les gens de scĂšne. Bien sĂ»r, cette petite Ɠuvre dans le rock le plus classique, secondĂ©e par des danseurs et des choristes on ne peut plus classiques, et parĂ©e, la belle enfant, des atours les plus classiques robe-lamĂ©e-bonbon-rose, robe sexy-lamĂ©e-argent – dentelĂ©e et qui vous dĂ©couvre une de ces belles cuisses! Mais il y a plus! Il y a plus qu’une mise en scĂšne. Il y a un charme Sylvie Vartan. Une façon certaine d’habiter toute la scĂšne. Toute, grĂące Ă  un sens du rythme aiguisĂ© comme une dague florentine. Cet espĂšce de vif argent permet Ă  Sylvie Vartan de faire renaĂźtre un rock d’une Ă©poque presque terminĂ©e. Mieux, affirmons d’un trait que Sylvie Vartan rĂ©ussit Ă  passer la rampe malgrĂ© les rythmes anciens qu’épousent ses chansons. Imaginez une petite blonde dont certains traits, certaines attitudes, rappellent une certaine Marilyn Monroe. Imaginez une petite pouliche qui caracole, galope, trottine, s’arrĂȘte et repart avec frĂ©nĂ©sie tout en multipliant les ruades qui obligeaient les hommes Ă  frissonner. Tout net cette petite a du chien! Elle le sait. Aussi use-t-elle de son adorable sensualitĂ© jusqu’à la plus exacte limite, de sorte qu’elle Ă©vite toujours de sombrer dans la vulgaritĂ©. Et Dieu qu’elle danse, cette dĂ©sirable gazelle! Tous s’accordent Ă  dire que voilĂ  un atout si prĂ©cieux que, sans doute, sauve-t-il tout le spectacle qui reposerait seulement sur une voix qui ne saurait souffrir trop de comparaisons 
Oui, il faut qu’à Sylvie Vartan Ă©galement soit ouverte la Place des Nations !
 » Article de Gilbert MOORE dans le journal MontrĂ©al Matin Ă  l’occasion du concert de Sylvie Ă  MontrĂ©al en aoĂ»t 1975 
 A 20h30, au lieu de 20 heures, sans doute pour rester fidĂšle Ă  la lĂ©gende, Vartan, la nymphe devenue vamp, Ă©merge des coulisses. Elle est tout en rose et en paillettes, les joues bien fardĂ©es, les cheveux fous et blonds ; le show commence, et du show il y en a pour votre argent, du show dans la meilleure tradition des music-hall amĂ©ricains, du show comme sans doute il ne s’en fait plus parce que cela fait dix ans que cela existe et que certains ont prĂ©fĂ©rĂ© passer Ă  autre chose. Choristes, musiciens. danseurs, couleurs, costumes, tout se succĂšde Ă  un rythme Ă©poustouflant alors que les spectateurs, d’abord surpris, se laissent progressivement Ă©tourdir par tout ce dĂ©ploiement d’énergie. Vartan passe du rock au country, revient Ă  ses anciennes amours La Maritza, Comme un garçon etc
 pour aboutir aprĂšs une parade de mode en bonne et due forme aux hits » traduits du palmarĂšs amĂ©ricain. Elle aura changĂ© quatre fois de costumes en une heure, le temps d’allumer une cigarette et la voilĂ  qui passe de la mini­robe chromĂ©e Ă  la tenue romantique, au collant provocateur qui en fait loucher plus d’un pour terminer le tout dans un superbe jean glorifiĂ© de diadĂšmes et de lamĂ©. A l’entracte, les portes Hallyday, Vartan, qui sont cĂŽte Ă  cĂŽte, restent rĂ©solument closes. Chacun reste dans son territoire et les retrouvailles ne se feront que sur la scĂšne, Ă  la vue du public pour qui on joue ce soir la trĂšs grande comĂ©die de l’amour. 
 » Article de Nathalie PETROWSKI dans le journal de MontrĂ©al Ă  l’occasion du concert de Sylvie Ă  MontrĂ©al en 1975 FERVEUR POPULAIRE POUR UNE IDOLE » Quelle Ă©motion intense sous le grand-chapiteau de Milliane lorsqu’apparut, somptueuse dans sa robe de gala, Sylvie aux cheveux d’or! Jamais une telle ferveur populaire de s’était manifestĂ©e devant cette scĂšne appamĂ©enne oĂč sont prĂ©sentĂ©s chaque annĂ©e les plus grands spectacles du moment. Éblouissante, divine, incarnation pure du mythe dionysiaque, Sylvie, nymphe et superstar emportĂ©e par le tourbillon d’un ballet fĂ©erique, nous a fait vivre trois heures de rĂȘve, d’émerveillement, et de beautĂ©. ParĂ©e de robes vaporeuses, de moulants corsages pailletĂ©s, d’évanescentes mousselines, Sylvie Vartan, reine de la musique et de la lumiĂšre, a fait de son spectacle la cĂ©rĂ©monie d’un culte Ă  l’amour, Ă  la jeunesse et Ă  la joie. Autour de la diva » Ă©clairĂ©e de mille feux, portĂ©e par une musique aux rythmes dĂ©chaĂźnĂ©s, les danseurs aux silhouettes parfaites amenĂšrent jusqu’au sublime ce spectacle, qui dĂ©passa tout ce qu’on pouvait imaginer. Les danseurs noirs, Gary Chapman et Peter Newton, imprimaient au show la pure tradition amĂ©ricaine du swing. Par leurs corps, leurs voix, la force Ă©vocatrice du spectacle se trouvait dĂ©cuplĂ©e. Les milliers de spectateurs qui avaient envahi le chapiteau, firent Ă  Sylvie Vartan et Ă  sa troupe un triomphe. Au cours du gala, des petites filles virent lui offrir des bouquets de roses. AprĂšs la revue finale, le public massĂ© contre la scĂšne ne cessait de rappeler Sylvie, qui chanta alors les chemins de mes chansons » Je suis nĂ©e dans une valise » NDLR. LA DEPECHE DU MIDI » en 1977 UN ETOURDISSANT ET SOMPTUEUX SPECTACLE Le mouvement, le rythme, la beautĂ© plastique, le chatoiement des couleurs, le luxe des costumes, le nombre des artistes prĂ©sents sur la scĂšne caractĂ©risent cette sorte de superproduction musicale menĂ©e sur un rythme Ă©tourdissant. 
. Mais ce somptueux et original spectacle n’est pas une simple copie des variĂ©tĂ©s amĂ©ricaines les meilleures, ce qui serait dĂ©jĂ  bien. Il porte la marque de Sylvie Vartan qui confirme, outre ses qualitĂ©s artistiques, son aptitude Ă  mener le jeu et Ă  diriger un tel spectacle. Le rĂ©sultat est proprement Ă©tonnant 
. C’est lĂ  que l’expression show-business » retrouve une noblesse depuis longtemps perdue ». Lucien PUCCIARELLI dans le quotidien LA MARSEILLAISE » en 1977 Si elle termine sur La Maritza » c’est sans doute pour Ă©voquer la silhouette gauche d’une petite Bulgare dĂ©barquant en France. Comme pour convaincre les derniers sceptiques que le vilain petit canard est dĂ©finitivement devenu ce cygne sensuel et flamboyant dont le nouveau spectacle dĂ©passe tous ceux qui l’ont prĂ©cĂ©dĂ© de dix bonnes longueurs. FĂȘte des yeux, rĂ©gal des oreilles, tout est parĂ© pour que ce paquebot illuminĂ© de tous les sunlights franchisse sans encombre l’ocĂ©an du triomphe. » Jean-Michel GARDANNE dans LE PROVENCAL » en 1977 Longtemps on a eu au cinĂ©ma le mythe Bardot. Maintenant on a en chair et en os dans le show-business le mythe Vartan. »Jacqueline CARTIER dans FRANCE SOIR » en 1977 SYLVIE VARTAN PREMIERE DE LA CLASSE Si quelqu’un doit Ă©crire un jour une anthologie du music-hall, il serait fĂącheux que Sylvie Vartan n’y ait pas une place de reine. 
 Sylvie Vartan entrera dans l’histoire pour avoir prouvĂ© que tout peut se faire n’importe oĂč, il suffit d’y mettre de l’intelligence et du courage. Sylvie Vartan la plus grande artiste française du music-hall. » Laurent CASTELLI dans LE QUOTIDIEN DE PARIS » en 1977. La premiĂšre fois on avait dit Elle ne remplira pas la moitiĂ© de la salle » succĂšs. La deuxiĂšme fois, on l’a plainte Elle a dĂ©jĂ  fait le plein de tous ceux qui voulaient la voir, ils ne se dĂ©rangeront plus » triomphe. Cette fois-ci, la quatriĂšme, personne n’a osĂ© avancer un pronostic car on sait que maintenant Sylvie Vartan rĂšgne sur les 3800 fauteuils du PDC. Il lui a suffi de dire Je reviens » pour que toutes les places soient louĂ©es pour les 14 reprĂ©sentations qu’elle donnera. Avant elle, aucune autre vedette n’a rĂ©alisĂ© cet exploit. C’est comme si elle avait entamĂ© une longue chanson en 1975 date de son premier show, qu’elle se soit interrompue plusieurs fois pour courir le monde, et qu’elle revienne parfois reprendre sa chanson au couplet oĂč elle l’avait offre mĂȘme indirectement un spectacle pour tous ceux qui ne pourront pas aller la voir au PDC les centaines d’affiches signĂ©es Helmut Newton et qui sont dĂ©jĂ  un show en elles-mĂȘmes Ă  peine vĂȘtue de haillons savamment dĂ©chirĂ©s, Sylvie s’offre au milieu d’une cible de lumiĂšre, un peu dĂ©esse, un peu fille de la jungle. Cette affiche est celle dĂ©jĂ  utilisĂ©e pour son show prĂ©cĂ©dent mais elle exprime tellement bien Sylvie Superstar, qu’il n’y aurait aucune raison d’en faire rĂ©aliser une autre. Sans doute durera-t-elle trĂšs longtemps pour devenir son image de marque, quelque chose d’inoubliable et de dĂ©finitif comme MarlĂšne dans L’Ange Bleu » ou BB dans Et Dieu crĂ©a la femme ». Le show qu’elle offre est le mĂȘme que celui du mois d’octobre; pourquoi changer un spectacle qui frĂŽlait la perfection dans sa mise au point?Sa robe la plus sensationnelle, celle qui semble ne tenir Ă  sa peau que par le miracle de quelques Ă©clats de strass, matĂ©rialise la continuitĂ© qui existe entre Sylvie et les stars les plus fabuleuses de l’histoire du spectacle. » Paul Giannoli, paru dans un Jours de France » Ă  propos des prolongations du show de Sylvie au Palais des CongrĂšs 1977/78. Her breezy vocals, without the slightest trace of an accent, are both sensuous and apealling. Vartan’s voice really shines on the rockers as they have been her forte ever since she started performing in France in the early 1960s ». Le magazine amĂ©ricain CASH BOX Ă  propos de l’album I don’t want the night to end » le 5 mai 1979. Dimanche 25 novembre 1979 De nombreuses surprises sont rĂ©servĂ©es Ă  Johnny pour sa derniĂšre au Pavillon de Paris. Sylvie, vĂȘtue d’un costume en daim ocre, monte sur scĂšne pour lui remettre un disque d’or et reprendre en duo Le bon temps du rock n’roll », avant de danser un rock endiablĂ© avec Carlos Reportage diffusĂ© le lendemain dans le journal TV Soir 3 ». Puis, Ă  l’initiative de sa maman, le petit blondinet – pĂ©trifiĂ© de trac- prend place Ă  la batterie pour une interprĂ©tation pĂȘchue de Rien que huit jours ». DĂ©couvrant son fils David, le papa chanteur reste un instant sans voix. Naturellement, le public exulte. Nous trois sur scĂšne, ce sera mon plus beau souvenir. » Sylvie, Paris Match, 7 dĂ©cembre 1979 Enfin, elle le tient son triomphe. Incontestable, incontestĂ©. Elle ne l’a pas volĂ©. On le sentait poindre depuis quelques annĂ©es mais il y avait encore bien des sceptiques
 Au Palais des Sports, elle rejoint les grandes lĂ©gendes du music-hall. »Jacqueline CARTIER dans FRANCE-SOIR » du 28 novembre 1981 Ă  propos du Palais des sports Sylvie Vartan se hisse d’un seul coup au niveau des plus grands. Du grand Art. »RICHARD CANNAVO dans LE MATIN » du 28 novembre 1981 Ă  propos du Palais des sports Cela faisait des annĂ©es qu’on attendait cela. Des annĂ©es qu’on sentait qu’elle allait nous donner raison d’avoir cru en elle, mĂȘme dans les moments oĂč tellement de gens la dĂ©criaient. Cette fois-ci, Sylvie Vartan a gagnĂ© d’une maniĂšre incontestable son pari le plus audacieux faire vibrer l’immense Palais des sports et apporter un spectacle vraiment et totalement personnel. DĂšs son entrĂ©e en scĂšne, tout en pĂ©tales de lumiĂšre, dĂšs les premiĂšres secondes, on a compris qu’il se passait quelque chose de nouveau chez Sylvie. Son visage tout d’abord, comme mĂ©tamorphosĂ©, plus mobile, plus spontanĂ© et Ă  la fois, plus visage qui, auparavant, s’efforçait sans cesse de poser, de ressembler Ă  l’image qu’elle voulait qu’on se fasse d’elle. La Sylvie d’aujourd’hui accepte sa vĂ©ritable image, celle d’une jeune femme de trente sept ans, qui chante depuis plus de vingt ans dĂ©jĂ , qui a aimĂ© et souffert et qui renonce enfin Ă  cacher sa fragilitĂ© sentimentale et son dĂ©senchantement. La vie l’a frappĂ©e mais en mĂȘme temps, l’a enrichie, lui a donnĂ© une sensibilitĂ© nouvelle dont elle se sert dans ses chansons qui ont parfois des refrains trĂšs autobiographiques Ă  travers des mots qui se veulent pour corps aussi a changĂ©. Comme tous les grands rockers, de Johnny Ă  Mike Jagger, Sylvie se sert, lĂ  encore, de cet atout plastique et sait donner une touche d’érotisme scĂ©nique de bon ton certes, mais nĂ©anmoins d’autre pourrait onduler en collant pailletĂ© et transparent, en pantalon aussi fin qu’une caresse, et tourner le dos Ă  son public pour le laisser Ă  loisir admirer de parfait cĂŽtĂ© pile. Sylvie, qui maĂźtrise maintenant les chorĂ©graphies qu’elle a choisies avec Claude Thompson, s’affirme aussi dans sa façon de danser. Aujourd’hui, soutenue par une Ă©quipe avec laquelle elle a travaillĂ© et vĂ©cu presque quotidiennement durant six mois, elle domine largement cette discipline qui lui permet de s’en dĂ©gager totalement, pour mieux chanter, notamment dans les fois-ci, Sylvie a su donner la vie Ă  son spectacle, un spectacle qui plaira Ă  ses fans de toujours comme Ă  ses fans d’aujourd’hui, ces enfants qui, comme son fils David, ont toujours un aussi grand besoin d’idoles. » Christine Gauthey Ă  propos du spectacle de Sylvie au Palais des sports dĂ©cembre 1981 La puretĂ© de la mĂ©canique de spectacle est au service d’une artiste qui assume son show d’un bout Ă  l’autre, avec une grĂące infinie, fait passer magnifiquement sa personnalitĂ© propre et lance son Ăąme dans des musiques diverses. »CLAUDE FLEOUTER dans Le monde du 28 novembre 1981 Ă  propos du Palais des sports C’est un mĂ©lange d’Ann-Margret, de Liza Minelli et de Cher ».BILL WILLARD dans DAILY VARIETY » dĂ©cembre 1982 20 ans aprĂšs, franchement la voir si rĂ©guliĂšrement belle, Ă©clatante d’énergie, d’entrain, de rythme, de savoir-faire, de courage et de toupet, si impeccable dans son boulot, si increvable dans la performance, on se dit que ça vaut le coup de la regarder en face et de reconnaĂźtre que c’est une drĂŽle de dame. Sylvie, Ă  Nice, lundi, vous avez Ă©tĂ© formidable. Et le public Ă©norme, de 16 Ă  60 ans, a d’entrĂ©e compris qu’il Ă©tait au spectacle, Ă  la fĂȘte, au mirage d’un soir, et qu’il ne fallait pas craindre de participer. Les places Ă©taient moins chĂšres que pour M. Iglesias, mais le plaisir autrement plus costaud. Et quand on sait le prix des choses et du lourd train-train du show-biz, on s’étonne qu’elle ait pu amener si simplement sous la toile du Théùtre de Verdure presque l’intĂ©gralitĂ© de ce que Nice ne voit jamais ou presque l’image des grandes soirĂ©es de Paris. Sylvie ne s’est pas moquĂ©e de la province. Elle a changĂ©. On dirait qu’elle ne craint plus personne, libĂ©rĂ©e en quelque sorte. Il y avait Ă  Nice une petite bonne femme qui a su durement travailler son corps et sa voix et qui a bien profitĂ©, cĂŽtĂ© maturitĂ©, des chagrins de la vie ». Arlette Sayac dans NICE MATIN » au lendemain d’un concert en 1982 Au beau milieu de l’impitoyable guerre des Ă©toiles » que se livrent les vedettes pour occuper l’antenne des radios ou l’écran des tĂ©lĂ©visions, les apparitions Ă©blouissantes de Sylvie Vartan sont pratiquement les seules Ă  n’avoir aucun rapport avec l’actualitĂ©. Sylvie est dĂ©sormais invitĂ©e pour le plaisir, Ă  la maniĂšre d’une guest-star » dont la prĂ©sence apporte forcĂ©ment ce supplĂ©ment d’originalitĂ© qui fait la sur les plateaux de tĂ©lĂ©vision, Ă  la une » des journaux n’a rien Ă  vendre » au sens strict de ce terme de mĂ©tier pas de promotion d’un nouveau titre, pas de lancement d’une nouvelle revue, pas de scoop » sur sa vie privĂ©e. En un mot, aucun Ă©vĂšnement pour justifier ce raz-de-marĂ©e des phĂ©nomĂšne qui Ă©chappe Ă  toute explication rationnelle, classe d’emblĂ©e Sylvie dans la catĂ©gorie des stars. Ce genre de personnage n’est pas tout Ă  fait conforme aux vertus gauloises Sylvie, pour devenir vedette Ă  100% tricolore, devrait enregistrer beaucoup de titres Ă  l’eau de rose pour contenter le mĂ©tier, sans oublier d’exposer son fils David Ă  la presse, ses relations actuelles avec Johnny, ses Ă©ventuels Ă©changes de cartes de voeux avec N. Baye, ou encore Ă©changer ses opinions sur les Ă©quipes de football ou de rugby. Or, Sylvie refuse ces arrangements en prĂ©fĂ©rant jouer franc jeu elle enregistre son sound » Ă  Los Angeles, elle importe ses chorĂ©graphies parce que l’art ne doit pas ĂȘtre chauvin mais cosmopolite, elle affiche sur le plan de sa vie privĂ©e une sĂ©rĂ©nitĂ© Ă©lĂ©gante et une certaine philosophie et – comble de l’insolence – elle prĂ©fĂšre se remettre en cause Ă  chaque nouveau spectacle, sans redouter un seul instant les consĂ©quences financiĂšres que son attitude novatrice pourrait dĂ©clencher. »Le projet de Sylvie pour 84/85 n’a pas variĂ© d’un pouce elle gravit lentement mais sĂ»rement les marches d’un gigantesque escalier en haut desquelles on aperçoit – dans l’ombre – les deux silhouettes de M. Dietrich et B. Streisand. On a beau lui crier casse-cou », Sylvie fait partie de celles qui ne renoncent jamais quoi qu’il arrive. Si le destin doit enlever un jour l’un de ces habits de lumiĂšre qui font briller les stars », Sylvie saura ĂȘtre son premier juge incapable de survivre Ă  la mĂ©diocritĂ©, elle changera – dans ce cas – de planĂšte, en choisissant Ă  la fois l’exil et l’ meilleur combat que celui qu’elle livre sur son terrain de prĂ©dilection »? Sylvie seule contre tous » Henri Chapier dans CinĂ©-Revue » en 1985 Article paru dans Marie-Claire aoĂ»t 2022 sur le Parc des Princes de juin 1993 Des milliers de fans dans le stade, mais ils semblent ĂȘtre seuls au monde. Elle pose maintenant sa main sur son torse. Il place la sienne sur son Ă©paule. La mise en scĂšne sensuelle, le jeu de regards Ă©lectriques, les paroles romantiques les anciens amoureux racontent au public une histoire qui l’émeut, le rend nostalgique, l’enchante
 Et lui donne envie d’applaudir trĂšs fort. C’est l’ovation pour Sylvie Vartan Ă  chaque couplet. Vient d’ailleurs le suivant, a cappella, toujours Si mon cƓur ne peut ĂȘtre / Pour toi le premier / J’attendrai afin d’ĂȘtre / Dans ta vie la derniĂšre / Je serai dans ton avenir / Loin des souvenirs / Pour te faire oublier / Tes tendres annĂ©es ». Leurs corps se rapprochent un peu plus encore, leurs bouches ne sont plus qu’à quelques centimĂštres – seule la tĂȘte du micro les sĂ©pare -, mais Sylvie Vartan, concentrĂ©e dans sa prestation, ne s’arrĂȘte pas de donner de la voix. Un camĂ©raman zoome sur le regard bleu perçant de Johnny, et profondĂ©ment ancrĂ© dans celui de son invitĂ©e. Il ne peut s’empĂȘcher d’esquisser un sourire. La puissance d’une interprĂ©tation sans un mot de Johnny À la seconde oĂč Sylvie Vartan prononce le dernier mot du dernier couplet, les anciens mariĂ©s se tombent dans les bras. Elle l’embrasse sur la joue, lui tente un baiser au coin de la bouche. SincĂšre Ă©treinte, ils ne sont plus dans leur rĂŽle. Les sourires tendres ont remplacĂ© les regards charnels. Johnny n’aura pas entonnĂ© un seul mot de toute sa chanson. Comme s’il Ă©tait subjuguĂ©, sidĂ©rĂ© par ce mirage. C’est lĂ  la force de cette sĂ©quence, publiĂ©e en 2021 par Sylvie Vartan sur sa page officielle YouTube – et qui cumule plus de 2,6 millions de vues. D’un Merci », elle salue ce public qui l’aime tant, depuis l’époque oĂč elle Ă©tait encore inconnue et assurait les premiers parties du taulier. Puis elle quitte la scĂšne, comme si ce qui venait de se passait n’avait jamais existĂ©, telle une parenthĂšse enchanteresse offerte aux spectateurs, en lĂąchant presque avec pudeur Happy birthday Johnny ! ». Lui prononce alors un seul mot Sylvie », pour rĂ©clamer de nouveaux applaudissements. Avant de quitter la scĂšne, elle lance un dernier baiser qui s’envole en direction du rockeur. Quel cadeau d’anniversaire
 Surtout pour le public. SirĂšne si reine sur scĂšne qu’elle s’y rĂ©vĂšle impĂ©riale comment ne saluer cette maĂźtrise du show, cette aisance dans le passage d’une chanson/dĂ©chirure Ă  un twist Ă  vous dĂ©raciner les chĂȘnes hi-fi, s’offrant au passage une chorĂ©graphie glamour pour une version du lĂ©gendaire Bette Davis Eyes » ? Sur Ă©cran gĂ©ant, dĂ©filent photos et extraits de films qui ressuscitent les heures et les ors d’une carriĂšre phĂ©nomĂ©nale celle d’une femme de coeur et de tĂȘte qui songeons Ă  L’Ange noir » eĂ»t fait une actrice en platine pour Hitchcock et qui avec Jodelle » inspira au Belge Guy Peellaert la premiĂšre bande dessinĂ©e pop artiste. Du feu sous la glace, a-t-on pu dire de la Vartan comme on l’a dit parfois de la grande Catherine Deneuve. Samedi, c’est de mille Ă©toiles qu’elle rayonnait, la lionne, pour un Cirque qu’elle fit tanguer, puis chavirer de bonheur. Quant Ă  nous, sirotant du mĂ©lanco, comment n’eĂ»mes pu nous souvenir qu’il y a quarante et un ans – mars 63 – nous venions l’acclamer lors de son premier concert Ă  Bruxelles, Ă  L’Ancienne Belgique » ? Sylvie, vivant dĂ©fi au temps. » La Libre Belgique aprĂšs un concert Ă  Bruxelles en 2004 Critiques recueillies par l’album Soleil Bleu » en 2010 Le Figaroscope Ce disque ambitieux apparait comme une indĂ©niable rĂ©ussite. Une Sylvie Vartan au meilleur de sa forme » Be On adore son nouvel album » Ce Soleil Bleu rĂ©concilie les fans de la chanson tragique Ă  la Barbara, les nostalgiques de Gainsbourg, les amateurs de mĂ©lodies acidulĂ©es tendance Swinging London et, last but not least, les amatrices des idoles indĂ© telles que Lily Allen ou Kate Nash. En un mot le nouveau Sylvie Vartan est l album pop francais transgĂ©nĂ©rationnel de cette fin d annĂ©e » Grazia Nouvel album exemplaire qui concilie comme au premiers jours science des Ă©lĂ©gances et accessibilites grand public » RevigorĂ©e par un casting chic et jeune » Rencontre avec une gĂ©nĂ©ration qu’elle inspire » Le Parisien A fleur de peau, Sylvie Vartan tient dans ses mains l’un des beaux disques de sa carriĂšre
 Une autre Sylvie Vartan » Le Journal du Dimanche ElĂ©gance et modernitĂ© » Ouest France Sur le nouveau Cd de Sylvie Vartan, les gĂ©nĂ©rations se bousculent avec des chansons de Keren Ann, Doriand, Etienne Daho, La Grande Sophie, Julien Doré  » » Paris Match Plus qu’étonnant, Sylvie vient tout simplement de faire l’un de ses meilleurs albums » Ce Soleil Bleu’ Ă©blouissant » L’union Sylvie Vartan Plus en forme que jamais » TĂ©lĂ©rama sortir Sur son nouvel album des signatures chics et branchĂ©es comme celle d’Etienne Daho, de La Grande Sophie ou de Keren Ann. Le rĂ©sultat est assez surprenant » Platine Album du mois La preuve que la Star Vartan transcende les influences et les styles musicaux » Ozap EntourĂ©e de Keren Ann et de Doriand, l’artiste retrouve de l’énergie et de la modernitĂ©, sans tomber dans l’excĂšs d’un disque ni trop produit, ni trop branchĂ© » Paulette Buzz de la semaine ComposĂ© de douze chansons trĂšs cinĂ©matographiques, Soleil bleu dĂ©peint tour Ă  tour la Vartan comme une femme fatale, espiĂšgle, dĂ©sinvolte ou icĂŽnique. Un bel opus rĂ©alisĂ© par le duo Keren Ann-Doriand. » Nouvel Obs Un disque ou l’on trouvera quelques perles comme »Sous ordonnance des Ă©toiles », »Soleil bleu » ou » Tous ces garçons » Critique du quotidien Le Monde suite au concert donnĂ© Salle Pleyel le 23/11/2011 Toujours la plus belle pour aller chanter Fille du rock dans la bande de Salut les copains en France dans les annĂ©es 1960 ; premiĂšre, dĂšs 1970, Ă  prĂ©senter des spectacles avec chorĂ©graphies et mises en scĂšne bien avant que Madonna ou d’autres n’aient mĂȘme l’idĂ©e d’exister ; parrainĂ©e dans les annĂ©es 1980 par Frank Sinatra ou Gene Kelly pour une carriĂšre aux Etats-Unis dans les salles fĂ©tiches de la grande chanson amĂ©ricaine ; cĂ©lĂ©brĂ©e en 1994 pour son rĂŽle dans L’ Ange noir, de Jean-Claude Brisseau – en »une » des Cahiers du cinĂ©ma ; et toujours chanteuse active dans les annĂ©es 2000
 autant d’élĂ©ments d’un parcours quasiment sans interruption pour Sylvie Vartan, 67 ans depuis le 15 aoĂ»t, qu’un film de montage rĂ©sumait en ouverture de son concert Ă  la Salle Pleyel, Ă  Paris, mercredi 23 le public, les fidĂšles depuis les dĂ©buts, lorsque la jeune fille, nĂ©e Ă  Iskretz, en Bulgarie, donnait la rĂ©plique Ă  Frankie Jordan dans Panne d’essence en 1961 cĂŽtoient des auteurs et compositeurs de ses succĂšs Jean Renard, Jean-Jacques Debout, Jacques Revaux
, le ministre de la culture, FrĂ©dĂ©ric Mitterrand, l’ambassadeur de Bulgarie et le ministre de la culture bulgare, des proches, des amis
Sur scĂšne, l’Orchestre symphonique de Sofia, au piano GĂ©rard Daguerre, trois choristes, une petite formation Ă©lectrique avec notamment le guitariste Claude Engel. Le tout filmĂ© et enregistrĂ© pour de futurs tĂ©moignages en CD le 16 dĂ©cembre de ce ne fait pas dans le »symphonisme » mais s’en tient, Ă  raison, Ă  des arrangements d’une variĂ©tĂ© bien tenue, insensible aux modes, aux airs du temps. La chanteuse, qui dĂ©bute par La Plus Belle pour aller danser, a puisĂ© dans des romances Ă©crites pour elle, se fait l’interprĂšte sensible et juste de Mon enfance, de Barbara, ou de Quand on a que l’amour, de Jacques Brel. Son passĂ© yĂ©-yĂ© et rock Un p’tit je ne sais quoi, Est-ce que tu le sais ?, Locomotion, Si je chante
 est visitĂ© avec humour, avec des esquisses de pas façon les beaux moments, une chanson bulgare, Moya Goro, Sous ordonnance des Ă©toiles, une nouveautĂ© avec la voix d’Arthur H, ou la touchante Mon pĂšre. Un parcours rĂ©trospectif en une quarantaine de chansons qui a Ă©vitĂ© le piĂšge de la soirĂ©e commĂ©morative. A Pleyel, Sylvie Vartan aura Ă©tĂ© une prĂ©sence simple et chaleureuse » Sylvain Siclier Nous Ă©tions en 1968 quand nos Ă©crans de tĂ©lĂ© noir et blanc servaient de cadre Ă  une jeune blonde qui chantait avec un lĂ©ger et dĂ©licieux accent français. Auparavant, Sandie Shaw nous avait dĂ©jĂ  ouvert Ă  d’autres paysages musicaux . Mais si l’anglaise allait pieds nus, c’est parfaitement chaussĂ©e que Sylvie Vartan s’installa dans notre imaginaire. Talons ou bottes, fĂ©minine jusqu’au bout des ongles, masculine ou Ă©mancipĂ©e, androgyne, totalement insolite pour l’Italie des annĂ©es 60. A cela il faut ajouter une musique alors considĂ©rĂ©e comme moderne », un rock-twist qu’on appelait yĂ©yĂ© ». Bien-sĂ»r nous avions Mina, Nada, Cinquetti, Zanicchi, de grandes chanteuses mais encore prisonniĂšres d’une Italie dĂ©mocrate-chrĂ©tienne et bigote. L’apparition de la petite française qui dansait et chantait Comme un garçon mes cheveux sont dĂ©faits, je porte le pull que tu portes aussi et une ceinture Ă  mon pantalon » fut une dĂ©flagration 
 1968-1969, deux annĂ©es seulement et il y a si longtemps. Deux annĂ©es oĂč Ă  20h30 elle Ă©tait la reine de nos samedis soir. Come un ragazzo, Due minute di felicita, Irresistibilmente, Buonasera buonasera, Una cigale canta ou Zum zum zum , une poignĂ©e de chansons Ă  jamais gravĂ©es dans notre mĂ©moire 
 Laura Putti – La Republica – 20/02/2011 Critiques recueillies par l’album Sylvie in Nashville » en 2013 PurePeople Une nouvelle preuve qu’à 69 ans, Sylvie Vartan est toujours au top de sa forme, trois ans aprĂšs la sortie de »Soleil Bleu », son prĂ©cĂ©dent opus ». Le Figaro Sylvie opĂšre un recentrage bienvenu. Sylvie Vartan n’est ni Emmylou Harris ni Dolly Parton, mais elle chante le country avec un enthousiasme qui rĂ©jouit. Le choix des compositions est pertinent. EspĂ©rons que la popularitĂ© de Sylvie Vartan permette au public français de revenir sur un malentendu tenace au sujet de la country music. » Olivier Nuc Femme Actuelle Depuis cinquante ans, Sylvie a quelque chose en elle du Tennessee. Sur fond de country-pop, elle Ă©voque le rĂȘve amĂ©ricain de sa jeunesse dorĂ©e motos et limousines, Stetson et blue-jeans peuplent ces treize chansons adaptĂ©es par Eric Chemouny EtrangĂšre » David Mc Neil, Patrick Loiseau, Didier Barbelivien et Philippe Swann. » Marie-France Rythme enlevĂ©, compositions sous influence country-rock, l’album Sylvie In Nashville porte le sceau de la capitale de ce style musical, loin des chansons slow tempo de son dernier album. Se rĂ©inventer, sans doute la clĂ© de sa longue carriĂšre ». TĂ©lĂ©7 Jours Son Tennessee Ă  elle, c’est la country rock, Ă©nergique et gaie. Sylvie est retournĂ©e lĂ -bas enregistrer quinze titres. Des reprises, des adaptations en français de standards US et de nouvelles chansons. Epatant ! » Maxi Piano guitares et batterie accompagnent l’icĂŽne sur ce nouveau disque dĂ©diĂ© au country-rock qu’elle affectionne. On y retrouve, Ă©videmment, son inimitable voix grave et son Ă©nergie contagieuse et des textes en français Ă©crits pour elle par de grands noms dont Didier Barbelivien. AccompagnĂ©e par des musiciens Ă©galement triĂ©s sur le volet. Sylvie Vartan le dit elle-mĂȘme Cet album, c’est la fraĂźcheur, la gaietĂ©, la joie dont nous avons tous tant besoin ! ». CĂ©cile Rudoff Le Nouvel Observateur Sylvie In Nashville »n°2 produit par Michael Lloyd, enregistrĂ© aux Studios Starstruck, est donc un hommage Ă  la country-rock de ses 20 ans. Soit une suite rĂ©jouissante de treize chansons, amĂ©ricaines pour la plupart, adaptĂ©es par des fidĂšles auteurs, Eric Chemouny, Patrick Loiseau ou David McNeil, qui s’approprie »Against the wind » de Bob Seger et redessine le portait d’une Ă©poque bĂ©nie, les annĂ©es 1960, oĂč la jeunesse Ă©coutait chanter ses idoles »Cheveux au vent » ! Sophie Delassein Le Nouvel Observateur De la pure musique country-rock, Ă©mouvante, anxiolytique, rĂ©solument positive. L’album s’ouvre en beautĂ© avec »Against the wind » signĂ©e Bob Seger et adaptĂ©e par David McNeil sous le titre »Cheveux au vent ». Ce parfum qui Ă©mane de cette chanson va conserver toute sa puissance jusqu’à la derniĂšre chanson. » Pierre Andrieu RFI Musique Un fructueux exercice de nostalgie. L’essentiel du contrat est rempli des chansons qui fleurent le bon vieux temps – le temps oĂč la musique amĂ©ricaine pouvait se rĂȘver en version light. » Bertrand Dicale Le Monde FidĂšles Ă  leurs amours, Sylvie Vartan et Eddy Mitchell publient deux albums oĂč l’AmĂ©rique demeure un eldorado. Sylvie In Nashville est le quarante deuxiĂšme album studio d’une chanteuse dont la carriĂšre avait dĂ©butĂ© avec une »Panne d’essence » presque innocente. Il s’appuie sans honte sur les arcanes de la dĂ©contraction rock des annĂ©es 1960 – guitare Ă©lectrique, tempo binaire, mine de teenager, une touche de violon country – Le temps passe, les fantasmes perdurent. Ces croisements amĂ©ricains sont instructifs. L’ñme est amĂ©ricaine le cƓur français ». VĂ©ronique Mortaigne Juke Box Magazine Dans une forme resplendissante, Sylvie rocke ave joie dans »I like it I love it » en français »Le feu sous la glace », »Sandy » ou »Non merci qu’elle cosigne au rythme parfait. Elle fait merveille sur tempo moyen, »Cheveux au vent », idĂ©alement placĂ©e en ouverture. »En rouge et or » et deux thĂšmes plus folk »Mr. John B. » dont Sylvie ne se lasse dĂ©cidĂ©ment pas et »EtrangĂšre » Wayfaring Stranger ». Ce rĂ©jouissant disque de country-rock-pop est proposĂ© en diffĂ©rents formats. » Jean-Michel Thoury Platine Au rang des autres rĂ©ussites de cet album cohĂ©rent, qui rĂ©concilie Sylvie avec le Rock flamboyant de ses dĂ©buts aprĂšs avoir explorĂ© ces derniĂšres annĂ©es le grand rĂ©pertoire Barbara, FerrĂ©, BĂ©caud
 on mise surtout sur »EtrangĂšre », touchante version française d’un titre du folklore traditionnel sur le thĂšme de l’exil, »En rouge et or », Ă©mouvante Ă©vocation du tourbillon de ses »annĂ©es Johnny », ou encore »Non, merci » dont elle a signĂ© la musique autant de chansons finalement trĂšs autobiographiques, qu’elle s’approprie avec conviction et une bonne humeur trĂšs communicative. » Questions de Femmes Un demi siĂšcle aprĂšs son album culte »Sylvie A Nashville » vendu Ă  plus d’un million d’exemplaires rien qu’au Japon, et restĂ© dans toutes les mĂ©moires. MĂȘme le grand LĂ©onard Cohen l’a Ă©voquĂ© dans ses MĂ©moires parues l’an passĂ©. Sylvie nous offre un nouvel album country-rock, qu’elle considĂšre comme l’un de ses meilleurs et qui lui va comme un gant. » Chansons A La Une Le 41Ăšme opus de la chanteuse française, intitulĂ© »Sylvie In Nashville », est sorti en octobre dernier. AprĂšs 40 millions de disques vendus en quelques 1300 chansons, Sylvie Vartan nous ramĂšne avec bonheur Ă  ses premiĂšres amours la country-rock » Fnac Paris Saint-Lazare 50 ans aprĂšs »Sylvie A Nashville », Sylvie nous revient avec dans ses bagages un superbe »Sylvie In Nashville », aux rythmes blues rock entraĂźnants, en passant par des ballades nostalgiques. EntourĂ©e de musiciens hors pair, l’interprĂšte s’est offert une production Ă©lĂ©gante et Ă©nergique Ă  son image. » Site »Onsortoupas » On peut ĂȘtre surpris Ă  la premiĂšre Ă©coute, mais plus on l’écoute et plus on l’aime. Cet album est un des plus rocks depuis longtemps, et j’ai hĂąte de voir Sylvie Vartan interprĂ©ter ces chansons sur scĂšne. On savait dĂ©jĂ  que Sylvie Ă©tait Ă  son aise avec des titres au son country, avec des chansons comme »L’heure la plus douce de ma vie », »Melody Man », »Les chemins de ma vie », parmi bien d’autres. Mais cette fois, elle rĂ©ussit Ă  nous surprendre et Ă  nous envoĂ»ter. Un superbe album, vraiment ! » Guy CourthĂ©oux Critiques de la piĂšce Ne me regardez pas comme ça ! » Sylvie VARTAN que beaucoup attendaient au tournant de cet exercice
 incarne avec justesse Victoire CARLOTA, une vieille gloire du cinĂ©ma, cloitrĂ©e dans son silence comme dans son passĂ©, apparement incapable de partager quelques Ă©motions ou souvenirs. Et c’est prĂ©cisĂ©ment lĂ  oĂč le choix de Sylvie pour ce personnage s’avĂšre intĂ©ressant. VARTAN donne, par son interprĂ©tation volontaire et d’une grande sincĂ©ritĂ©, une vraie dimension Ă  son personnage. C’est une vraie star qui est aussi une vraie femme, pudique, abimĂ©e par la vie mais aussi enthousiaste et naĂŻve lorsque les sentiments s’en mĂȘlent. De façon trĂšs pertinente, sur le plateau, Sylvie VARTAN ne se pose pas de questions et joue. Elle est Victoire. TantĂŽt drĂŽle, tantĂŽt dĂ©testable, tantĂŽt Ă©mouvante. Bref, touchante. A moins que ce ne soit aussi Sylvie qui le soit. C’est ce qui fait toute la richesse de sa prestation. » La surprise vient de Sylvie Vartan qu’on attendait bien sĂ»r au tournant. Eh bien elle ne se dĂ©fend pas mal du tout. Moi qui ai Ă  peu prĂšs son Ăąge, je mesure pleinement le travail accompli, pour une premiĂšre fois sur les planches avec une prĂ©sence sur scĂšne ininterrompue et un texte consĂ©quent Ă  retenir. Une belle performance. Elle se montre convaincante, jouant l’autodĂ©rision 
. Et se paie mĂȘme le luxe d’un clin d’Ɠil Ă  sa cĂ©lĂšbre moue boudeuse. » Critique du concert donnĂ© au Grand Rex du 17 mars 2018 Le moment tant attendu est arrivĂ©. La voix puissante de Johnny Hallyday retentit sous le ciel Ă©toilĂ© du Grand Rex. Ses photos, celles des tendres annĂ©es, de l’époque de l’idole des jeunes dĂ©filent sur l’écran. En amoureux avec Sylvie Ă  la mer, en famille avec David, sur scĂšne, un brin d’herbe dans la bouche
 Il est beau comme un dieu. Des ballons rouges en forme de coeur jaillissent de toutes les rangĂ©es. Dos au public, face Ă  Johnny, Sylvie chante Tu as illuminĂ© ma vie. Elle se rappelle du premier baiser, qu’elle a Ă©tĂ© la plus belle pour aller danser. Les bravos» fusent quand Laura Smet Ă  diffĂ©rents Ăąges et Nathalie Baye apparaissent elles aussi sur l’écran gĂ©ant. MĂȘme si la vie nous a sĂ©parĂ© plus tard, rien n’a pu altĂ©rer notre amour et respect l’un pour l’autre», dit Sylvie. Le duo oĂč elle chante J’ai un problĂšme avec un hologramme de Johnny n’est pas trĂšs rĂ©ussi techniquement mais ce n’est pas grave. Si tu n’es pas l’amour, tu y ressembles», reprend la salle. La version de Retiens la nuit sous les Ă©toiles du Rex est une merveille de poĂ©sie. Quand arrive le medley rock avec Gabrielle, Vartan est littĂ©ralement habitĂ©e. La salle aussi. C’est Ă  qui croisera le plus haut ses poignets sur Mourir d’amour enchainĂ©. Quand elle entame Sang pour sang et L’hymne Ă  l’amour s’en est trop pour Alexandra, l’épouse de David qui pleure Ă  chaudes larmes entraĂźnant avec elle Ilona, Darina, Emma et mĂȘme Jacky Lombard. Une ultime dĂ©claration d’amour, Johnny, l’amour qu’on a eu l’un pour l’autre ne s’éteindra jamais», et Sylvie lance Salut l’artiste!» C’est fini. Il y a certes eu des passages durs mais elle qui avait si peur de craquer a tenu bon. Plus tard, vers minuit trente au cocktail au second Ă©tage, elle arrive toute fraĂźche derriĂšre ses lunettes fumĂ©es beiges. Pose avec Darina, Ilona et Emma dans un sofa rouge. Embrasse son amie ValĂ©rianne Giscard d’Estaing. Un photographe lui fait un baise-main. Ce soir Ă©tait une leçon d’élĂ©gance. » LĂ©na Lutaud le 17/3/2018 dans Le Figaro Critiques recueillies par l’album Avec Toi » en 2018 Le timbre de la chanteuse s’adapte bien plus aux morceaux doux, Ă  l’image des ballades Quelque chose de Tennessee 1985 et Je te promets 1986. On notera aussi la belle production de Michael Lloyd qui donne du relief Ă  ces classiques, sauce Vartan. Les chƓurs gospel de Oh! Ma jolie Sarah 1971, la guitare tango de Retiens la nuit 1961, coĂ©crite avec Charles Aznavour, offrent deux des plus beaux moments de cet album cathartique » Le Figaro. Oui, Johnny Ă©tait enterrĂ© Ă  St-Barth, oui, la bataille de l’hĂ©ritage rageait Sylvie rĂ©pondait Ă  tout ça sur scĂšne, avec ses fans. En chansons. En cĂ©lĂ©brant leur couple et leur parcours, depuis le temps oĂč ils Ă©taient les fiancĂ©s du yĂ©yĂ© ». Voici le fort beau disque en rĂ©sultant, illustrĂ© par les magnifiques photos d’époque en noir et blanc de Jean-Marie PĂ©rier, oĂč les interprĂ©tations les plus touchantes sont celles de ces tendres annĂ©es Retiens la nuit, Le pĂ©nitencier, Quand revient la nuit. Ça se termine sur une version mi-parlĂ©e mi-chantĂ©e d’In My Life, oĂč l’essentiel est dit In my life / I loved you more » Sylvain Cormier, Le Devoir. Japonais, Italiens ou AmĂ©ricains, tous ont jadis succombĂ© Ă  ses salves de blondeur slave et de suavitĂ© rauque. Ses chorĂ©graphies millimĂ©trĂ©es continuent Ă  pailleter le regard des papy-boomers. Adepte du dĂ©guisement, Vartan regrette de n’avoir pas Ă©tĂ© plus sollicitĂ©e par le cinĂ©ma. AprĂšs l’Ange noir de Brisseau, elle avait pourtant fait la couv des Cahiers du cinĂ©ma. Son staff surligne sa prĂ©venance. Tony Scotti, son mari et producteur, n’en a-t-il pas assez de jouer les passe-plats ? Entre deux plĂątrĂ©es de langoustines qui laisseront quelques traces, l’affable et chaleureux AmĂ©ricain nous confie qu’en rĂ©alitĂ©, le number one de la famille, c’est Muffin. Ce que le bichon confirme d’un sourire Ă©maillĂ© » Nathalie Rouiller, LibĂ©ration le 11/12/2018. Critiques recueillies par l’album Merci pour le regard » en 2021 Sylvie Vartan dit de son album Je pense que c’est mon meilleur. » Il a surtout l’avantage d’ĂȘtre cohĂ©rent avec la femme qu’elle est devenue, et la vertu d’adhĂ©rer au prĂ©sent. Car Sylvie Vartan s’est entourĂ©e pour l’essentiel de talents d’aujourd’hui la grande Sophie, Clara Luciani, Clarika ou encore Joseph d’Anvers. Davantage qu’une curiositĂ©, on sent chez chacun d’entre eux du respect voire une certaine admiration pour cette femme qui chante depuis soixante ans – elle a peut-ĂȘtre fait danser leurs parents. Ils semblent tous s’ĂȘtre passĂ© le mot, choisissant pour source d’inspiration non pas la star yĂ©yĂ© mais plutĂŽt le personnage mĂ©lancolique de La Maritza ». C’est tout de suite frappant avec Le bleu de la mer noire », un piano voix de Clarika et Jacques Nyssen, ballade le long d’une riviĂšre qui charrierait les peines accumulĂ©es d’une vie cabossĂ©e. Beau. TrĂšs beau. MĂȘme inspiration chez la grande Sophie qui fait chanter Ă  Sylvie Vartan Il y a un cĂŽtĂ© sombre sous ma chevelure blonde » et Eric Chemouny qui signe notamment Une derniĂšre danse », celle qui rime avec enfance. A noter les merveilleuses interprĂ©tations au piano de GĂ©rard Daguerre et Michel Amsellem. Alors, est-ce le meilleur album de Sylvie Vartan ? Oui, oui, oui ». » ! Sophie Delassein, Le Nouvel Observateur Le disque commence par un piano-voix, cette voix qui geint languissamment, si familiĂšre Ă  ceux qui traversĂšrent les annĂ©es 70 et grandirent devant la tĂ©lĂ©vision en regardant le samedi soir les shows orchestrĂ©s par Maritie et Gilbert Carpentier. Une voix d’effroi, mauve, qui, cinquante ans plus tard, n’a rien perdu de ses nuances. Sylvie Vartan vient de sortir un bel album mĂ©lancolique, sans amertume aucune. Au fil des quatorze chansons qui le composent, l’artiste rappelle, Ă  ceux qui l’avaient oubliĂ©, ou ne l’avaient point remarquĂ©, quelle superbe interprĂšte elle est, nette, ondulante, sensuelle, avec ce grain qui fit la joie des imitateurs jadis, et cette petite fleur blanche qui, au sommet de quelques syllabes, parfois, Ă©clot comme un sourire. Clarika Le bleu de la mer noire, Patrick Loiseau Ma tendre enfance, La Grande Sophie Du cĂŽtĂ© de ma peine se sont montrĂ©s dignes de l’idole, sans tomber dans le larmoiement. Leurs chansons dĂ©ploient la blondeur lacrymale des enfants de l’exil. Mais c’est avec la plume d’Éric Chemouny, taillĂ©e sur mesure, que son phrasĂ© chatoie. GrĂące aux mots simples de Chemouny, Sylvie chante comme une actrice joue, tout en sobriĂ©tĂ©. Qu’on Ă©coute Une derniĂšre danse musique Michel Amsellem et l’on voudrait entendre La Maritza. L’effet Vartan. Qu’on dĂ©couvre On s’aime encore, mais autrement musique M. Amsellem et l’on pense Ă  Nicolas. IndĂ©modable. Enfin, avec Ce jour-lĂ  musique Michael Ohayon, ceux qui connaissent le music-hall se remĂ©moreront la dĂ©licatesse opaline de Cora Vaucaire. Une chanteuse, c’est d’abord une voix, dont la caresse, la chevelure vous accompagnent. Celle de Sylvie Vartan se pose-lĂ . Baptiste Vignol De la fenĂȘtre d’en haut, Janvier 2022 Critique du quotidien Le Monde, suite au concert donnĂ© au Théùtre Edouard 7 en octobre 2021 Sylvie Vartan prĂ©sente au Théùtre Edouard-VII, Ă  Paris, Le RĂ©cital, spectacle qui lui ressemble le moins et lui correspond le plus. Dispositif trĂšs sobre, ce lundi 11 octobre, dans cette salle Ă  l’italienne de sept cents places. Le RĂ©cital accompagne – pour une tournĂ©e qui comprend notamment un concert Ă  la Salle Pleyel, le 20 novembre –, son nouvel album en studio, Merci pour le regard Columbia/Sony. Merci pour le regard se compose des premiĂšres chansons inĂ©dites depuis 2011, de la star internationale nĂ©e en Bulgarie – cela se sait, elle a quelques compatriotes dans la prĂ©cieuse salle. Le RĂ©cital ? Construction raffinĂ©e de ses chansons, sans souci de la chronologie. Deux heures vingt de confidences, de douceur et d’élĂ©gie pudique. Un triomphe. Vingt-six chansons dont les titres subtilement enchaĂźnĂ©s feraient poĂšme Le bleu de la mer noire ; Je croyais ; Novembre Ă  La Rochelle ; Par amour, par pitiĂ© ; Tout bas, tout bas ; Les vents contraires
 On monte imperceptiblement vers les grands secrets Le Dimanche ; Mon pĂšre ; Mon Enfance ; Je chante encore l’amour ; Merci pour le regard ; Je n’aime encore que toi
 ; Les chemins de ma vie ; La Maritza
 avant d’atteindre une interprĂ©tation bouleversante de Quand on n’a que l’amour Brel plus ce rĂ©citatif qui dit tout Ma vie c’est moi qui l’ai choisie. Bouquets de fleurs et dĂ©clarations C’est si rare, une autobiographie aussi lavĂ©e de tout nombrilisme que portĂ©e par une sensualitĂ© sensationnelle. Tous les sentiments qu’elle traverse, elle les a vĂ©cus. Plusieurs standing ovations en cours de route, bouquets de fleurs et dĂ©clarations d’amour dans les rangs. Un grand moment d’émotion, de simplicitĂ© et d’intimitĂ© dĂ©licate. Allure, robe bleu nuit, mouvements aussi gracieux que maĂźtrisĂ©s, commentaires dictĂ©s par l’élĂ©gance et l’émotion palpable du public
 Les lumiĂšres Jacques Rouveyrollis assistĂ© de Jessica Duclos ne font pas tout. Les micros non plus. La voix est lĂ , retenue ou capable d’éclats soudains, laissant poindre ses voix anciennes, rock ou de soie
 des voix aimĂ©es. Les chansons ignorent la chronologie et le style. Elles n’ignorent pas la vie. La plupart ont Ă©tĂ© Ă©crites par des auteurs qu’elle cite et remercie, toutes semblent venir d’elle – Mon enfance, par exemple de Barbara. Sa voix, le timbre de sa voix n’ont que faire du narcissisme
 Certes, elle vit ses chansons, les interprĂšte, les habite, mais sa vie les dicte. Aimer de Jean-Loup Dabadie, 1982 la rĂ©sume en quatre-vingt-un verbes Ă  l’infinitif Aimer, aimer, aimer/Marcher, courir, voler/RĂȘver, blondir, donner/Garder, serrer, trembler/Pleurer, chĂ©rir, aimer
 » Rien d’un exercice de style qui tournerait autour de l’Oulipo, simple dĂ©claration personnelle Ă  deux voix. D’ailleurs, combien de fois Sylvie Vartan dit-elle, dans les chansons ou leurs prĂ©sentations, aimer », amour », pendant ces deux heures vingt sans coupure ? Quatre-vingt-une fois ? Cent soixante-deux ? On ne va pas tout compter
 Quand on aime, c’est connu
 Elle entre en scĂšne comme elle entre dans chaque chanson luciditĂ© intacte, luciditĂ© et tourbillon, choix et abandon
 Spectacle millimĂ©trĂ© et prĂ©sence sans rien cĂ©der sur la volontĂ©. Star sans doute, mais artiste avant tout mise en place au cordeau le grand art des chanteuses de jazz, diction des Ă©trangers si amoureux de la langue française Aznavour, cet art de sculpter le phonĂšme, d’alanguir la syllabe, de balancer les mots, mis Ă  nu ce soir par le dispositif volontairement rĂ©duit. Mots sous le signe de l’amour Des mots futiles, des mots de tous les jours, des mots sous le signe de l’amour, une vie en musique sans la moindre plainte
 Sa vie, comme Aznavour la sienne, c’est elle qui l’a choisie, seul moment oĂč elle dit moi » – les autres Ă©crivent je » Ă  sa place. La plus belle pour aller danser, chanson qu’elle doit Ă  Aznavour 1964 et Georges Garvarentz, ArmĂ©nien nĂ© en GrĂšce. Souvent, elle chante, les yeux fermĂ©s. De jardin Ă  cour, un cello je voulais un violoncelle », dit Sylvie Vartan – BenoĂźt Dunoyer de Segonzac est aussi Ă  la contrebasse – ; l’inoxydable GĂ©rard Daguerre au piano qui a accompagnĂ© Barbara, Depardieu, fidĂšle compagnon de route, metteur en ondes idĂ©al ; MichaĂ«l Ohayon Ă  la guitare ; et la choriste Isabelle Staron, Ă  la trĂšs belle attitude. Comment sort-on d’un rĂ©cital de deux heures vingt ? Comment a passĂ© le temps, sans qu’on y pense jamais ? Aurait-on appris ? Oui et non on a partagé  on s’est laissĂ© embarquer
 La vie d’une femme transmuĂ©e par une artiste, c’est une sacrĂ©e expĂ©rience. Une expĂ©rience sacrĂ©e. L’expĂ©rience de la communication – la communion, pour certains Les heures de ma vie, je les ai donnĂ©es sans jamais compter
 », prĂ©cise Sylvie Vartan. On le sait. » Francis Marmande
toutle bleu du ciel critique tĂ©lĂ©rama Please Share This Share this content. producteur poule noire du berry Opens in a new window; fatmagĂŒl histoire vraie Opens in a
ï»żAllĂ©chĂ© par les nombreux papiers dithyrambiques lus sur la toile Ă  propos de Tout le bleu du ciel, c'est en confiance que je me suis attelĂ© Ă  la lecture du premier roman de MĂ©lissa Da Costa. Malheureusement, je ne dois pas avoir lu le mĂȘme livre que les auteurs desdits papiers, car je cherche encore la magnificence du rĂ©cit annoncĂ©e partout...Atteint d'un Alzheimer prĂ©coce, Émile dĂ©cide de refuser l'essai clinique que les mĂ©decins lui proposent pour fuir l'hĂŽpital et la compassion de sa famille. Avant son dĂ©part, il a postĂ© une petite annonce sur internet Émile, 26 ans, condamnĂ© Ă  une espĂ©rance de vie de deux ans par un Alzheimer prĂ©coce, souhaite prendre le large pour un ultime voyage. Recherche compagnonne pour partager avec moi ce dernier pĂ©riple ».À son grand Ă©tonnement, il reçoit rapidement une rĂ©ponse. Trois jours plus tard, il retrouve Joanne sur une aire d'autoroute aux abords de Roanne avec le camping-car achetĂ© secrĂštement peu de temps auparavant. Ainsi commence un voyage hors du BOFSoyons clairs, Tout le bleu du ciel n'est pas un mauvais roman, loin de lĂ , mais il me semble qu'il ne mĂ©rite pas toutes les louanges Ă  son endroit. Car entre les longueurs et les bons sentiments dĂ©goulinants, j'ai parfois trouvĂ© que l'auteure en faisait trop. C'est dommage car l'idĂ©e de dĂ©part est bonne et originale, les deux personnages principaux plutĂŽt intĂ©ressants, et le dĂ©nouement assez poignant, en effet. Si MĂ©lissa Da Costa avait un peu Ă©laguĂ© son manuscrit, le roman aurait, Ă  mon sens, gagnĂ© en le bleu du ciel n'est pas un mauvais roman, donc, mais n'est pas non plus le roman extraordinaire que l'on nous LIRE AUSSI SUR LITTÉRATURE & CULTURE Cequi fait tout le charme de ce roman, c'est aussi d'ĂȘtre le tĂ©moin de l'Ă©lan crĂ©ateur du peintre (un petit conseil : se munir d'un support numĂ©rique ou papier avec des reprĂ©sentations des oeuvres de van Gogh pour apprĂ©cier au mieux la description qu'en fait l'auteur). C'est une incitation Ă  revisiter l'univers pictural de ce grand peintre, dans ce roman aussi agrĂ©able Dans son hors-sĂ©rie de 84 pages, TĂ©lĂ©rama, Ă©claire non seulement la rĂ©trospective du Louvre mais aussi la manifestation imaginĂ©e par le musĂ©e Delacroix
 Patrice Giorda contribue Ă  ce numĂ©ro, dont voici un court extrait DELACROIX OU LES TERRITOIRES DE LA COULEUR “Pirates africains enlevant une jeune femme” Ils tiennent la femme fermement dans leurs bras. C’est une tĂąche jaune verte qui vainement se dĂ©bat, crie et dĂ©nude son Ă©paule et sa poitrine en partie. Ce jaune est le centre du tableau, il attire l’Ɠil tout autant que le dĂ©sire. Il Ă©lectrise la surface de peinture, fait un arc de lumiĂšre autour de la tĂȘte d’un des hommes, suggĂšre une tĂȘte de christ. C’est comme un Ă©clair qui se rĂ©percute dans le bleu du ciel, qui agite les verts de l’eau, les roches bronzes et celles bleutĂ©es au lointain. Le noir est partout, dans les roches sombres et dans le cƓur des hommes. Six hommes enlĂšvent une femme et l’entraĂźnent de force dans leur barque
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Javais peur qu’il bascule dans le romantisme : ce n’est pas le cĂŽtĂ© que je prĂ©fĂšre chez lui, mais il existe. Le film est Ă©loignĂ© du livre. On sent que FrĂ©dĂ©ric Beigbeder aime le cinĂ©ma, qu’il a trouvĂ© son Jean-Pierre LĂ©aud avec Gaspard Proust qui est trĂšs bien. Image de L'IdĂ©al. - FrĂ©dĂ©ric Beigbeder.
Tout le bleu du Jeune homme de 26 ans, condamnĂ© Ă  une espĂ©rance de vie de deux ans par un Alzheimer prĂ©coce, souhaite prendre le large pour un ultime voyage. Recherche compagnonne pour partager avec moi ce dernier a dĂ©cidĂ© de fuir l’hĂŽpital, la compassion de sa famille et de ses amis. À son propre Ă©tonnement, il reçoit une rĂ©ponse Ă  cette annonce. Trois jours plus tard,
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